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 Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett

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Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett _
MessageSujet: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMer 26 Nov - 2:20

Petite Soirée au Travail


On dit que la violence ne règle rien... Celui qui a dit cela n'a pas frappé assez fort.







7e Jours en ville.




Sans un bruit, sans conflit, doucement il s’enfuit à l’horizon. Laissant ses derniers rayons, caresser la cime des édifices.  Prolongeant les ombres de chaque chose qu’ils frappent sur leurs passages, comme des mains, des bras, qui cherche à agripper le sol de leurs ongles afin de rester encore un moment de plus dans notre monde. À Cet heure, le ciel semble déchiré, par une guerre interminable. Lumière, contre noirceur. Mais on sait clairement qui termine toujours pas gagner. Le ciel est découpé de plusieurs variations de mauve et de rose, tournant légèrement vers le bleu foncé. Annonçant une belle soirée, pour les oiseaux de nuit.

Tel un tableau, je regarde ce paysage de la fenêtre de ma chambre. Les yeux encore mi-clos, les cheveux en bataille et aucun vêtement sur le dos. Ce tableau aurait été parfait, si le ciel n’aurait pas été coupé par une ruelle dégoutante, ou la fumés s’échappent des bouches d’égouts, ou les arbres sont remplacés par des escaliers et que le pavés est remplis d’eau usé et de détritus. Doucement, j’étire mes bras en direction du plafond en poussant un petit soupire.

Un regard furtif en direction de mon cadran qui m’annonce que je dois me préparer pour aller travailler. Posant le pied sur le plancher, je reviens difficilement à la dure réalité. Il fait froid, rien n’est encore chauffé et je devrais peut-être penser à changer d’appartement. Complètement geler, je cours dévêtu, dans l’appartement pour me rendre dans la petite salle de bain et ouvrir l’eau de la douche avant de fermer le rideau derrière moi.

Posément, l’eau chaude coule sur ma peau, emportant avec elle les cauchemars, les peurs et les doutes. Les yeux fermé j’écoute la musique qu’elle produit en tombant sur mon corps, jusqu’à mes pieds. Cette douce mélodie est rapidement accompagner de mon cadran qui vient de comprendre que je dois me lever. L’alarme est un poste de radio que j’aime plutôt bien. Et la chanson est entrainante. Passant calmement les mains dans mes longs cheveux, je retire les savons de sur mon corps en dansant, plutôt aisément sur le rythme.  Même si cela pourrait sembler choquante, je suis seule chez moi et je fais bien ce qui me plait. Comme je pouvais mis attendre, l’eau devient subitement froide. Ce qui ne termine pas bien une douche non ?

Le temps passe calmement, rien ne semble troubler mon esprit. La journée, enfin la soirée semble bientôt bien commencer. Même si le voisin n’arrête pas de taper dans le mur en criant de fermer ma musique.

Un simple regard en direction de la fenêtre, le soleil venait de complètement disparaitre, emportant avec lui ses rayons, sa lumière apaisante. Laissant un voile obscure envahir la ville. Ce voile obscure était ma couverture préféré.  Je venais de terminé de me préparer pour le travail, les cheveux attachés sur le coter de ma nuque, laissant une partie de mon coup à vue,  des leggins moulant avec un short déchiré. Un chandail au dos ouvert avec des bottes de cuir à talon haut, qui arrivaient sous les genoux. Plutôt classe la mode de cette ville, un grand changement de chez moi ! Je complétai mon look, avec un maquillage simple, des lèvres légèrement mauves, une ligne de crayon noir sur les yeux avec du mascara et j’étais finalement prête à sortir.
Je fermai finalement la musique de ma radio, avant de prendre mon sac et de sortir de mon appartement. Comme à son habitude, mon voisin était sorti de sa chiote, le regard sur moi, appuyé contre le mur

- Tu pars travailler… Tu reviens me voir par la suite ?

Les yeux au ciel, un soupire aux lèvres je fermai ma porte à clé en poussant un simple ‘’ Dans tes rêves’’ Il se mit à rire avant de me reluqué de haut en bas, se mordant la lèvre inférieur, il me regarda partir. Ce que je fis rapidement sans même me retourner. Il me faisait peur ce mec… Ce n’est pas possible d’être Pervers comme ça !

La nuit, que dire de plus, la nuit est quelque chose d’inévitable, comme la mort, elle est sombre, éclairé par des lumières artificiels, pleins de gens y vivent, y dorment, y cherche de la chaleur, y cherche quelque chose à faire. Une forte odeur m’accompagne dans la rue. Je marche tranquillement les mains dans les poches, en direction du bar ou je travail. La nuit est fraiche, il ne me reste que quelque pas avant de commencer à travailler.

****

Douce musique, lorsque j’entends ta mélodie, je sans enfin mon cœur battre de nouveau. Mon regard se porte autour de moi, un moment de nostalgie, la musique me transporte au loin. Debout derrière le bar, j’arrête de laver un buck. Le regard perdu dans la pièce plutôt petite. J’avais passé beaucoup de temps dans les bars, même si je n’avais pas l’âge. Je me sentais si bien dans ces endroits sales, remplis de gens mystérieux, amer et désemparé.  

Pourquoi est-ce que j’aimais autant ses lieux non convenables pour une jeune femme ? Pour le danger, oui j’aimais le danger que procurait ses lieux, les disputes, les engueulades, mais surtout les rires, les réunions autour d’un bon vers avec les gens qu’on aime. Mon regard transperça la pièce, il y avait quelque personne assit autour des tables rondes, d’autre autour des deux tables de pools et quelques personnes assit au bar sur les haut tabourets. L’alcool coulait ce soir et la nuit semblait encore jeune.  Je repris doucement mes esprits, un beau et large sourire aux lèvres. C’était bien d’être dans une ville où personne ne me connaissait, personne ne connaissait Scott… Scott ici tu n’étais rien parmi tous ses grands maitres de l’art. Mais je devais rester sur mes gardes, certes Scott avait voyagé, il devait donc avec quelques contactes ici et je devais me faire toute petite.

Un homme s’approcha rapidement du comptoir, déposant son haut du corps légèrement penché dans ma direction, il devait être de petite taille et cherchait à se rapprocher afin que je puisse comprendre sa commande.

- Hey Ma belle, donne-moi deux Budweiser avec un beau sourire

Mon regard se plongea un moment dans celui de l’homme, avant de plonger mes mains dans le frigo pour lui sortir sa commande

- Ça va faire un gros 10 !

Sortant le billet de sa poche il le dépose sur le comptoir et me regarde

- Et mon sourire ?

Je pris le billet en me tournant pour mettre l’argent dans la caisse et lui redonner son change

- J’ai toujours un sourire aux lèvres

Il pencha la tête sur le coter un peu dessus de ma réponse, prenant son change, il laisse un 2 sur la table

- Oui mais un seulement pour moi

Je me suis donc mise à rire en lui faisant un clin d’œil

- Faut les mérités les sourires privé mon cœur

Il se mit à rire avant de repartir en direction de la table donner la bière à une fille, ce qui me fit encore plus rire.  Prenant une lingue humide, doucement je nettoyai le comptoir comme à mon habitude, prenant le pourboire et le mettre avec le reste dans ma poche.  Du monde venait encore d’entrer, prenant place aux tables écoutant la musique. Mais en cette soirée, j’avais un drôle de sentiment dans le cœur. Comme si quelque chose clochait. Comme si j’étais observé. Les filles avec qui je travaille disent de moi que je suis paranoïaque, mais c’est complètement faut.

Avez-vous déjà pris la peine de vous assoir à une table, un simple vers à la main, le regard perdu la pièce à imaginer, à comprendre, pourquoi l’être humain a besoin de se regrouper dans un endroit pareille.  C’est si simple de noyé la peine, le doute, la douleur, l’incertitude et de voir sa vie disparaitre au fond d’un vers. Sarah terminai bientôt son servis, je n’étais pas encore assez bonne pour fermer seule, donc je faisais un simple entre-deux chiffres. Il me versa un shooteur de Fort et on le prit ensemble avant qu’elle me laisse seule avec la maison pour deux petites heures.









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Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett _
MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyJeu 27 Nov - 22:32

Petite soirée au Travail.

Mirage Valdroff & Damian Bennett

| 8 mois plus tôt. : Russie |

« C’est ta mission, tu n’as pas le choix et encore une fois tu laisseras tomber une autre personne tout comme tu avais fait avec Anna et tu le sais bien Damian qu’elle méritait bien mieux que ça. Écoutes-tu parles de nous comme d’une équipe et tu me vois comme ton allié, mais tu ne veux jamais m’amener et ce peu importe ce que tu fais, je suis peut-être jeune, mais tu m’as appris pratiquement tout ce que tu sais, alors je ne vois pas où est le danger d’autant plus que je sais me battre. Donne-moi une chance, laisse-moi te prouver que je vaux mieux qu’être toujours laissé de côté.»

Il n’avait pas tort, toutes les personnes que je laissais entrer dans mon entourage, ils partaient tous et tous par ma faute. Depuis la mort de mes parents, j’avais l’impression d’avoir perdu le cœur et ne plus avoir de réels sentiments, mais peu importe, il valait mieux que je les laisse partir avant que ceux-ci meurent. Maxime n’avait pas l’âge pour me suivre, mais il avait les habilités et la volonté de le faire et malgré plusieurs refus de ma part, je sais qu’il ne ferait qu’à sa tête et qu’au final il me suivrait alors pourquoi ne pas accepter, il croyait que j’avais gagné de la confiance en lui suite à son petit discours, mais il aurait pu ce manger une flèche dans le cœur pour avoir parlé d’Anna. La mission n'était pas la plus simple, mais je savais qu’il survivrait à ce petit assassinat, du moins c’est ce que j’avais cru, jusqu’au moment où une balle perdue vint l’atteigne. J’avais abattu son assassin, mais j’avais dû le laisser sur le sol glacé, le laissant pour mort.

| Retour au Présent : Gotham City |

Je n’arrivais pas à croire les choses que la vie pouvait nous réserver. J’avais beau repenser à cette histoire et me dire que c’était impossible, mais j’avais une preuve sous mes yeux et il ne faisait aucun doute que c’était Maxime, la photo ne trompait pas et l’homme que j’avais fait parler non plus d’ailleurs. J’avais pris le temps de désinfecter cette blessure, alors que j’avais été me changer, laissant ma combinaison d’archer au placard pour la troquer contre celle d’un homme tout à fait respectable. Le sang qui coulait encore avait taché un peu mon t-shirt, mais ma veste cachait la tache que le sang avait causée. J’avais été atteint par un couteau, mais rien de très grave, une simple petite coupure qui aurait fait souffrir n’importe quel homme, mais pas moi.

J’avais pris place dans un petit bar, camoufler dans le noir que le peu de lumière offrait. J’avais le dossier du légiste à la main, celui qui avait confirmé la mort de mon ancien bras droit et le seul d’ailleurs. Tous les papiers étaient en ordre, Maxime avait même été enterré, j’y étais, mais désormais la vie s’acharnait à me faire croire que j’avais manqué quelque chose et quelques choses d’assez important. J’ouvris le second dossier que j’avais trainé dans une petite mallette noire. À l’intérieur s’y cachaient toutes les preuves qui réfutaient le premier dossier. L’ambiance autour de moi était à la fête, mais moi je restai perdu dans ma tête cherchant le moyen de comprendre la raison du pourquoi. Mon attention se porta sur une serveuse, elle devait avoir terminé son quart de travail, car elle venait tout juste de quitter l’édifice laissant sa collègue seule pour le reste de la veiller. Après tout je m’en fichais un peu, j’avais mieux à faire que penser à combien de serveuses pourrait m’apporter une nouvelle bière quand ma première serait finie.

Si les informations que j’avais eues étaient vrai, mon ancien collègue se cachait dans Gotham, attendant le bon moment pour passer à l’action, mais quelle action? Logiquement sa sera un contrat d’assassinat, mais la mort change tellement une personne, tellement qu’il pourrait simplement chercher à se faire une nouvelle vie, un peu comme moi. Je restai fixé sur la photo qu’on avait portée à mon attention, fixant le visage du jeune homme, tout en apportant ma bière à mes lèvres, m’apercevant qu’elle était déjà terminée, aucun liquide ne coulait, mais justement je vis la jeune serveuse arriver vers moi. Élégante, jolie et surtout en retard étant donné que ma bière était déjà terminée. Je m’empressai de fermer les dossiers que j’avais puis je l’attendis. Je la regardai arriver, elle souriait, surement le métier qui l’oubliait, je la laissai me demander si elle pouvait m’apporter quelques choses, puis je répondis rapidement qu’une autre bière serait très apprécié. Je n’avais pas choisi ce bar au hasard, selon l'un de mes sources c’était ici que Maxime se tenait régulièrement et cette serveuse pourrait surement m’en dire un peu plus longue sur sa présence. Je devais juste attendre le bon moment. Elle revena et déposa la bière sur la table, toujours aussi souriante, je la regardai une autrefois, puis je me raclai la gorge. « Dites-moi, vous voyez plusieurs personnes passer, mais pensez-vous que vous seriez capable de me dire si vous avez vu un ami? J’ai une photo de lui, ça pourrait forcément vous aider.»
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Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett _
MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyVen 28 Nov - 7:17

Petite Soirée au Travail


Suivre nos règles pour survivre.







7e Jours en ville.



La musique donnait le rythme, le rythme l’ambiance et les lumières indiquaient le chemin. On ne doit jamais sous-estimer l’effet que la musique peut avoir sur une personne. Vous n’avez jamais pris le temps de voir les réactions des gens quand une chanson passe à la radio. Le petit mouvement répétitif de la tête qui suit le beat, le pied qui commence à marteler le sol, le corps quand sans contrôle commence à suivre la mélodie, le haut du corps commence doucement à bouger de gauche à droite, puis le mouvement de la tête se fait de plus en plus violemment, suivant l’évolution de la chanson. Ou encore lors d’un morceau calme et triste de piano, les gestes lents, le regard pensif, la bouche détendu des gens? Le corps et la musique sont faits pour s’entendre.

La musique suit l’évolution du monde, elle existe depuis bien longtemps, elle inonde le monde, transportant chaque personne bien loin. C’est ce que je pense, c’est ce que je vie. Vivre sans musique, sans vibration, je n’y arriverais pas.  Chaque moment de ma vie, je pourrais la mettre sur une musique. Il n’existe aucun moment dans ma vie qui n’a pas été chanté. C’est sûr que cela me fait sentir encore moins spécial, de savoir que je ne suis pas unique, enfin je veux dire que des gens vivent également les mêmes choses que moi. Mais au finale, cela me fais sentir moins seule. Et de plus, c’est la preuve qu’on peut réussir à sortir des mauvais pas.  À moins que la chanson se termine par une mort violente, je pense que je vais éviter. Une chance pour moi, mon travail se trouvait justement au cœur de la musique. Et Le DJ était plutôt potable.

Ce soir, un remix d’enfer jouait et comme à mon habitude le son me faisait sourire. Non que j’aie envie de pleurer, mais cela ne faisait pas longtemps que j’étais en ville et mon cœur était toujours resté dans mon petit village.  J’affichais quand même l’un de mes plus beaux sourires. Surtout après ma courte discussion avec le mec qui flirtait devant sa petite amie ouvertement avec moi.

Me déhanchant derrière mon bar, de façon normale je dirais, je savais très bien danser pour attirer l’attention, mais le but était autre. Je dansais uniquement pour suivre le son et me changer le moral. En fait, j’aimais biens dansé un peu, remué le corps en versant les vers. Les clients aimaient cela aussi, mais sans plus. Aucune  danse osé je ne suis pas une danseuse nue quand même.  Mes clients habituels servit, je regardai les quelques tables ou se trouvaient des clients encore sans breuvage. Je pris donc un grand respire, en quittant le derrière de mon comptoir. Maigre protection contre les soulons, les pervers et les gens un peu trop allumé.  Un homme assit seul à une table, le regard plongé dans des dossiers, un bar n’étais pas un endroit pour avoir la paix, afin de lire des documents. En une fraction de seconde ce dernier me fit penser à un policier. Mais je devais me faire des idées.
Avant de m’approcher, je fis semblant de frotter une table, elle était déjà propre, mais ni vu ni connu, j’observais l’homme un moment. Plutôt beau, légèrement plus vieux que moi en apparence. Il semblait habiller normalement.

 Tout le contraire des mecs avec qui je me tenais autre fois. Il n’était pas déplaisant à regarder, mais mon cœur en n’étais pas encore rendu à flirter avec des hommes. Aucun badge, aucune arme à la ceinture, enfin de mon point de vue. Il ne semblait pas être de la police, je me trompais forcément.
 
Je repris donc le chemin vers sa table. Il leva son regard dans ma direction. J’avais un large sourire non forcé aux lèvres. Allait-il penser que ce sourire était pour lui ? Mais non mon beau, la chanson était juste très bonne et me donnait envie de danser comme une folle un ver à la main. Sa bière était vide, ce qui arrivait souvent. Le servis au table n’était pas ma principale tâche.  Je pris donc la commande de l’homme, une autre bière. D’un signe de tête, je retournais derrière le bar afin de prendre une bière bien froide. Toujours avec le sourire, je déposai la bière devant l’homme. Mes doigts glissèrent sur le ver encore humide et je regardais un peu plus proche l’homme en question. Ce dernier ce racla la gorge, ce qui annonça qu’il voulait parler.  Je restais calme, même si tout mon corps me disait de repartir en direction du bar.

« Dites-moi, vous voyez plusieurs personnes passer, mais pensez-vous que vous seriez capable de me dire si vous avez vu un ami? J’ai une photo de lui, ça pourrait forcément vous aider.»

Je fus légèrement surprise de la question, mais en même temps non. On était dans une grande ville, alors cela ne m’étonnait d’aucune façon qu’on pouvait perdre du monde dans les nombreuses rues et ruelles. Je pris donc le temps, théoriquement parlé, on ne peut prendre le temps…Bon bref de philosophie, j’ai donc fais le choix de rester debout à la table de l’homme afin de l’aider. Peut-être que je pourrais l’aider à retrouver la personne cherché. Mais en ce moment je dois faire attention. Devant moi, un policier, un homme de justice. Si j’indique la personne sur l’image, ce dernier peut se faire arrêter et cela serais ma faute. S’il est un vendeur de drogue et que le type en question lui doit de l’argent, il se fera tuer et cela serait de ma faute. S’il est un… Bon je vais loin, mais il faut penser à plein de chose dans la vie que je mène. S’il montre la photo d’une personne, cette personne aura des conséquences. Un ami, j’ai des doutes, car s’il serait réellement son ami, il ne le recherchait pas, il aurait juste à prendre son téléphone et l’appelé. Donc S’il le recherchait c’est que la personne était partie, ne donnait pas de nouvelle, donc  ne voulait  pas être trouvé.  Alors quoi faire dans un moment aussi difficile me direz-vous…

- Je vais faire mon possible.. Je suis nouvelle ici et j’ai encore un peu de mal avec les visages des gens…

J’avais l’air complètement désolé, mais ce n’étais pas le cas. Lorsqu’on ne veut pas de problème ou attirer des problèmes… Surtout si cela ne me rapporte rien, on joue les ignorants. Petit truc plutôt facile, mais à éviter lorsqu’on se fait torturer… Enfin je pense, ça mets jamais encore vraiment arrivé. Enfin bref…  Peu importe le visage de l’homme, ou de la femme, je dois faire comme si je ne l’avais jamais vue… Et j’espère par pitié que la personne n’est pas présentement dans ce bar et où que ce n’est pas mon débile de voisin. Quoique si c’est un policier, c’est peut-être une bonne chose qu’il emporte ce mec loin, très loin de moi… Bon je m’écarte encore un peu.  Un bref regard en direction des gens autour de moi, la guerre n’était pas éclatée lors de mon deux secondes d’inattentions, une bonne chose.






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Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett _
MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyLun 1 Déc - 23:47

Petite soirée au Travail.

Mirage Valdroff & Damian Bennett

J’étais dans ce bar depuis un assez long moment, dossier en main et la tête ailleurs, je n’arrivais pas à croire encore les informations qu’on m’avait livrées, je l’avais vu mourir, je l’avais même enterré, il était impossible que Maxime soit encore vivant, impossible que mes démons du passer reviennent me hanter encore une fois. Néanmoins je devrais me faire à l’idée, l’image que j’avais était d’une bonne résolution et très bien centrée sur le visage du jeune homme qui m’avait secondé durant plusieurs semaines.

Je passai ma commande à la serveuse, celle-ci ne resta pas très longtemps, rangeant son linge pour les tables dans son tablier, puis elle partit chercher ma commande, avant de revenir avec celle-ci. Je l’interpelai cherchant à voir si elle pourrait être d’une autre utilité, mise apport celle de m’apporter de nouvelle bouteille d’alcool pleine. Après mon long questionnement à son égard, la jeune barmaid prit la parole d’un ton timide, afin de m’indiquer qu’elle ferait son possible, mais qu’elle était nouvelle, connaissant ainsi pas beaucoup de personnes dans la région. Fallait que je tombe sur la petite nouvelle, comme-ci il y avait toujours une nouvelle dans ce genre de situation et fallait toujours que je questionne celle-là. Je la regardai quelques secondes lui pointa la chaise face à la mienne, peu importe qu’elle le reconnaisse ou pas, j’allais surement être plus avancé qu’à mon arrivée dans ce petit bar.

Je plongeai ma main dans les dossiers, que j’avais précédemment rangés dans la petite mallette que j’avais amenée avec moi, puis je ressortit les deux dossiers, posant ces derniers sur la table qui profitait de peu d’éclairage. « Avant tout, je tiens à vous rassurer, je ne suis pas un policier et la personne que je recherche est un, comment dire… un ami que je croyais mort, mais récemment on m’a soufflé à l’oreille qu’il serait encore vivant et si c’est le cas, j’aimerai biens le retrouver, j’espère que vous comprenez. Cet ami comptait beaucoup pour moi et le retrouver me faciliterai énormément la vie.» Je ne devais pas dire qui il était et encore moins la nature de nos liens, cette fille je la connaissais pas, elle ne devait pas connaitre les détails de mon passer comme personne d’ailleurs. Elle ne devait pas savoir non plus que Maxime pourrait tuer n’importe qui et qu’il était certainement là à Gotham pour moi.

J’ouvris le premier dossier, celui qui ne contenait rien d’autre que la photo de mon vièle ami, c’était la photo qu’elle devait examiner, je me doutais que le peu de lumière que la pièce offrait allait certainement pas lui faciliter la tâche, mais elle devrait faire son possible, histoire que je ne passe pas mon temps ici pour rien. Si les informations que j’avais eues étaient vraie, Maxime pourrait rentrer dans ce petit bar à n’importe quel moment et je devais avouer que ça serait certainement la meilleure situation, nous serions forcément confrontés à un face-à-face sanglant, mais au moins j’en aurais le cœur net. « Je ne sais pas si la luminosité de la pièce t’aidera, mais l’ami en question est l’homme sur cette photo, si les ce qu’on m’a dit est vraie, il est un habituer de ce bar et la photo daterait d’environ cinq jours.» Elle se mit à regarder la photo, je gardais espoir qu’elle reconnaît Maxime, mais son statut de nouvelle dans la ville et certainement dans le bar me laissa quelques doutes sur la possibilité qu’elle se rappelle de lui, d’autant plus qu’elle doit voir plusieurs dizaines de personnes par semaine. Pendant qu’elle regardait la photo, je tombai dans la lune, repensant au dernier moment de Maxime.

| 8 Mois plus tôt. : Flash-Back en Russie |

Nous avancions, moi et Maxime, dans la noirceur de la nuit et dans la fraicheur du vent de la Russie. La cible que nous avions à abattre était très payante, les groupes n'étaient toujours plus payants que les simples personnes. Un groupe très précis était visé et ce n’était pas juste un message qu’on allait lancer, nous allions devoir démonter un cartel complet de drogue, ne laissant même pas de traces de notre passage. Pas à pas, silencieusement, nous continuâmes d’avancer, cherchant à garder le camouflage que la noirceur nous offrait, au loin on entendait déjà les discussions des hommes tous plus imbus d’eux-mêmes les uns, les autres.

Après quelques minutes de couverture, je regardai mon complice, lui faisant signe de ne pas bouger, attendant que je lui donne le signal, puis pour ma part je pris de l’altitude, prenant un meilleur angle sur la dizaine de personnes qui se trouvaient en bas, mais Maxime décider de faire à sa tête encore une fois, ce déplaçant et m’obligeant à agir plus rapidement.

| Fin Flash-Back en Russie |
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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMar 2 Déc - 0:43

Petite Soirée au Travail


Et merde….







7e Jours en ville.


Est-ce que c’est normale, de prendre le temps, notre temps, afin d’aider les gens ? Je l’ignore et cela me fais penser, qu’habituellement, j’aurais refusé D’aider. Surtout si je n’avais rien au bout du chemin. Je dois réussir à vivre dans le néant. Et pour cela il y avait des règles à ne pas contourné. Aussi simple que : ne jamais aider une personne si cela mets sa vie en danger. Mais j’imagine que répondre à une simple question, dire oui ou non était quelque chose de facile. Mais si je connaissais cette personne…

Il allait pouvoir le lire sur mon visage. Certes j’étais une bonne voleuse, une fille de parcourt or paire, mais une menteuse… Loin de la… Et je redoutais la suite.

Les gens entraient et sortaient, la musique continuait de rouler et les conversations alentour de moi m’étourdissait un peu, les gens parlaient de chose bien, de chose, de blague et de fille, de moto et de crime.

Je devais rester vigilante, quelque regard en direction du bar, afin d’être sûr que personne ne se servait seule. Vous savez, je ne voulais pas perdre mon travail parce que j’étais occupé à aider une personne. Mais j’imagine que je trouverais mon comble à la fin de cette histoire, sinon je m’arrangerais pour me payer moi-même. J’étais plutôt douer, pour souler les gens et fouiller dans leurs poches à la fin de la soirée.  Et cet homme, était troubler par les dossiers devant lui, donc il était une cible facile et payante.  

Je pris donc un grand respire et ensuite je pris place sur la chaise qu’il m’indiquait, la plaçant de façon à pouvoir avoir un œil sur mon bar, mais toujours en gardant un visuelle avec l’homme et ses dossiers.  Il prit ses derniers avant des mettre sur la table. Mon regard le scruta rapidement. Soit c’était des documents d’un particulier, ce qui veut dire un homme engagé pour filer une cible, soit c’était des dossiers de policier… Donc cet homme devait faire affaire avec un détective privé ? J’aime bien m’inventer des histoires, vous auriez surement remarqué, mais bon parfois je suis assez proche de la réalité.  

Mon regard était toujours sur les dossiers, même si l’homme m’affirmait qu’il n’était point un policier. Est-ce que je devais le croire, c’est sûr qu’un policier ne dirait pas, regarde moi je suis un policier et tu dois coopérer ! Ahlala dans quoi je m’étais encore mise.  J’étais mal alaise et cela il devait le ressentir. Calme-toi… Bravo, un simple homme, avec des questions simple pouvais autant te paralyser… Je devais voir cela comme une pratique de ma nouvelle vie.  Il glissa donc une photo devant moi, que je pris entre mes mains, le regard plonger sur l’image de l’homme… Cet homme je l'avais déjà vu, certes, il me faisait pensé au jeune homme qui vivait dans l'appartement en face du miens. Je n'avais pas eu la chance de souvent échanger avec lui, Des simples regards échangés, mais il restait souvent enfermé chez lui...

Même si l'éclairage créait des fausses couleur à l'image, je ne pouvais me trompé. Pourtant, depuis deux jours je n'avais pas vu de mouvement dans l'appartement.

J’avais la bouche légèrement ouverte, et je cherchais quoi dire, enfin comment le dire… et je doutais qu’en ce moment précis, j’étais faite comme un rat. Si je lui disais qu’il était mon voisin, je devais donc lui dire où je j’habitais, mais en plus, ce dernier n’avais pas donné signe de vie depuis qu’il m’avait balancé son chat à la figure… Que faire…  Je déposais la photo sur la table, me mordant la lèvre inférieure, mon regard décrocha de l’image pour rôder autour de moi, comme si je surveillais la foule, mais je cherchais plutôt une échappatoire.  Puis je retournai mon regard sur l’homme, glissant l’image vers lui.

-‘’ Pardon je ne peux pas vous aidez… J’ai du travail qui m’attend ‘’

Je me redressais rapidement, sans même lui laisser le temps de répondre je partais déjà en direction de mon bar, le cœur qui se débattait encore plus dans ma poitrine. En ce moment précis, je voulais courir par la porte et partir loin. Pourtant je ne connaissais pas beaucoup mon voisin, mais laisser un inconnu connaitre ou j’habitais, non que non. J’avais déjà eu des problèmes avec trois hommes, un matin  à ma porte acause de l’ancien locataire de mon appartement. Je voulais la paix.

Je ne sais pas si je pourrais vivre avec un mort sur la conscience, mais je sais que si je veux rester dans le milieu, je serais un jour ou l’autre confronter à la mort. Mais pas ce soir, je ne veux pas participer à cela… Même si ce n’est sûrement pas le cas.






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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMar 2 Déc - 2:28

Petite soirée au Travail.

Mirage Valdroff & Damian Bennett

La femme était encore là, devant moi regardant la photo et si je me fiais à ses expressions faciales elle connaissait Maxime, restai simplement à savoir si elle sera honnête ou si elle tentera de camoufler ce qu’elle savait de l’homme que je recherchais depuis quelques jours déjà. Je la sentais nerveuse, elle cherchait une échappatoire regardant à droite et à gauche, cherchant à voir si elle ne pouvait pas trouver un bon moyen pour quitter la table. Après un court moment à regarder partout, la femme repoussa la photo vers moi, ce levant rapidement m’indiquant en même temps qu’elle ne pouvait plus m’aider, ayant beaucoup de travail, puis elle quitta rapidement sans même reporter son regard vers ma personne. Je la laissai quitter, ne tentant même pas de la retenir, elle tentait de faire comme –ci elle ne savait rien, mais j’étais certain maintenant, elle savait où se cachait Maxime, elle ne voulait simplement pas se mettre les pieds dans les plats et je la comprends, on ne sait jamais à qui ont à affaire, mais elle me connaît pas non plus, sinon elle me cacherait pas grand-chose.

Je laissai écouler quelques minutes, puis je me levai, plongeant ma main dans ma poche, car malgré son défilement la jeune femme se mériterait tout de même un bon pourboire. Je m’avançais vers le bar, regardant devant moi, ne faisant pas attention aux autres personnes qui venaient jusqu’à me percuter en dansent, puis je finis par arriver au bar. Mon portefeuille à la main, je sortis l’argent nécessaire et même plus, pour payer les deux bières que j’avais ingéré dans la soirée, puis je le déposai sur le comptoir, échappant mon portefeuille au contact d’une autre personne. Je remis l’argent à la jeune barmaid, lui indiquant qu’elle pouvait garder le change, soit presque sept dollars de pourboire, puis je quittai l’endroit, mallette à la main et malheureusement plus de portefeuille, m’étant pas rendu compte qu’il était tombé au sol.

J’entrai dans ma petite voiture sport, déposant ma mallette sur le siège passager, puis prenant place du côté conducteur. Je n’avais pas abandonné l’idée de faire parler la jeune femme, mais si elle ne voulait pas me parler à moi elle allait parler à l’archer et sa j’en doutais pas, disons qu’une flèche reste assez menaçante. Le costume de mon alter ego était dans la valise, encore percée dû à la balle qui m’avait atteint durant ma dernière mission de sauvetage. Il me resta plus qu’à attendre que la jeune femme quitte le bar, qui était sur le point de fermer, puis ensuite je la suivrais jusque chez elle. Si cette femme connaissait Maxime, alors les chances qu’elle soit en danger augmentaient et j’allais devoir utiliser l’ancienne vie de mon vieux collègue pour que cette femme crache le morceau.

Le temps s’écoula, près d’une heure s’était écoulé entre ma sortie du bar et celle de la jeune femme. J’avais profité de l’heure, pour me changer, passant de nouveau du linge d’un civil normal à celle de mon alter ego à capuche, puis je montai sur le toit du petit bar, profitant de l’altitude pour garder un œil sur les allers et venu des gens de Gotham. La femme marchait rapidement, certainement encore stressée de la petite discussion qu’on avait eue elle et moi. Une vingtaine de minutes à pied, voilà ce qui séparait l’appartement de la barmaid et le petit bar où elle travaillait. Je la laissai entrer dans le bloc, regardant pour ma part par les fenêtres, tente de voir vers quel numéro se dirigeait, mais ce fut en vint. Je la laissai donc entrer, profitant de son allée dans la chambre pour forcer la fenêtre du salon et faire mon entrée, restant tapis dans l’ombre. Je ne connaissais pas son nom, mais j’allais trouver le moyen de la surprendre. Je sortis une flèche de mon carquois, puis je la plaçai visant la porte de la chambre. Elle sortit de la chambre sursautant, alors qu’elle voyait la flèche prête à être lancée en sa direction. J’enclenchai mon modificateur de voix, puis je pris la parole. «Ne bougez plus, j’ai entendu dire qu’un assassin vivait dans votre bloc, mais je veux m’assurer que l’information est bien vraie, regarder cette photo et dites-moi si vous avez déjà vu cet homme.» Je m’avançai plaçant la photo de Maxime sur la table basse.

Après une courte discussion, je laissai tomber une petite pastille qui laissa sortir une épaisse boucane, me permettant ainsi donc de m’échapper par la fenêtre qui m’avait permis d’entrée plus tôt. Je retournai rapidement jusqu’à mon véhicule, n’ayant pas à marcher, j’en profitai pour courir, réduisant le temps nécessaire pour franchir la distance entre l’appartement et le bar. Je me changeai dans une ruelle, puis je quittai en direction de mon penthouse, satisfait des réponses que cette jeune femme avait fournies à l’archer. Elle m’avait affirmé que Maxime vivait bien dans l’appartement face au sien, je n’aurais qu’à rendre visite à l’homme le lendemain, tout en tentant de ne pas me faire voir par la jeune femme. N'ayant pas repassé par le bureau, je laissai tomber ma combinaison d'archer dans la salle de bain principal, celle qui était reliée à ma chambre, puis je fermai la porte, profitant du reste de la soirée, étant désormais en culotte courte dans mon salon, écoutant la télévision, jusqu'au moment où un petit bruit se fit entendre contre la porte de mon penthouse.
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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMar 2 Déc - 3:01

Petite Soirée au Travail


Petite balade nocturne.





8e Jours en ville.


Une fois l’heure arrivée, je mis les dernières personnes dehors. La musique encore forte, j’en profitais pour faire un peu de ménage, étant seule, je n’eue aucune gêne de chanter et de danser. Comme j’avais l’habitude de le faire. Chanter, me vidais l’esprit.  Une fois les tables placé, mon regard s’arrêta sur un portefeuille laissé sur le plancher. Je le pris donc en l’ouvrant afin de voir les cartes d’identité… C’était le bel homme qui m’avait questionné, un bref regard en direction des billets et j’eue un large sourire aux lèvres

‘’ Et bien merci Pour ce beau pourboire !’’

Le plancher propre, les tables biens placés, je mis clé à la porte avant de mettre mes écouteurs dans mes oreilles. Ce qui n’est pas super utile lorsqu’on marche dans la rue, mais c’était simplement pour faire croire que j’écoutais de la musique. Il était 2 heures du matin et les ruelles étaient bien animés, on peut dire qu’il y avait toujours des gens debout à n’importe quel heure dans cette ville. Je pris donc le chemin de chez moi, me retournant souvent, regardant derrière, devant, à gauche puis à droite.

Et oui je suis un peu paranoïaque, mais cela n’est point grave ! Ça fait mon charme non? Cela me prit donc 20 minutes avant d’arriver chez moi. Je pris les escaliers afin de me rendre à mon appartement. Avant d’entrée, j’accordai un bref regard en direction de l’appartement d’en face… Le silence total régnait dans le couloir. Je commençais à penser que mes voisins avaient eu peur de moi car il ne restait plus grand monde dans ce couloir. J’ouvris donc rapidement ma porte, la refermant aussitôt, verrouillant le loquait avant de laisser mon sac sur le sol. De ce fait, je partie rapidement la machine à café avant d’aller dans ma chambre retirer mes vêtements.

Je laissai mon chandail tomber sur le sol, puis mon pantalon avant de mettre une simple camisole.  Puis je sortie de ma chambre, avant de figer. Devant moi, un homme, pointant sur ma personne, une flèche.  J’ouvris doucement la bouche, mais ce dernier ne me laissa point parler, glissant une photo sur la table, d’un supposé assassin… Faut croire que plusieurs personnes recherchaient mon voisin… D’une voix tremblante, j’avouai que ce dernier était mon voisin, dans l’appartement D’en face. Une information aussi banale ne vaut pas le pris de ma vie. Et cet homme rechercher ne vaut pas ma vie non plus ! Puis, le brouillard total…. Je reculai, dans ma chambre. La Fumée se dissipa après un bref moment et il n’y avait personne… simplement la fenêtre du salon ouverte laissant entrer l’aire. Je poussai un soupire, encore une fois une personne était entré chez moi pour me menacer. Deux fois en une semaine. Je me suis donc mise à rire un moment avant d’aller refermer la fenêtre, un regard dehors afin de m’assurer qu’il n’y avait aucune présence.

Le temps avançait doucement, je laissai le portefeuille sur la table avec les deux autres. Et oui j’avais une belle petite collection de portefeuille d’homme. Quoi de plus ! Prenant place sur la chaise, je fixais la radio. J’étais encore sur le nerf, impossible de fermer les yeux. Il devait être 3hrs ou 4 hrs du matin, je venais de sortir de la douche quand dans le couloir un bruit ce fit entendre. Comme si on venait de défoncer une porte. Sursautant… J’approchai mon œil de l’œil magique… Vous avez déjà regardé dans cela ?ion ne voit vraiment rien !

Résultat, j’ouvris ma porte, pas trop, juste assez pour regarder. Quatre hommes, que je voyais uniquement de dos, venaient de défoncer la porte du voisin qui ne semblait pas être la…. Je refermai donc la porte, poussant mon meuble… unique gros meuble, devant la porte. Puis j’enfilai des vêtements plus respectables avant de faire les cents pas.

Mon cœur se débattait dans ma poitrine et les bruits dans le couloir ne m’aidait pas beaucoup à me calmer. Je devais quitter l’endroit, car s’ils venaient défoncer mon appartement j’allais passé toute une soirée.. Je pris donc le peu d’argent que j’avais, avec les peux de choses que je pouvais cacher dans mes poches… Entre les mains j’avais le portefeuille de l’homme du bar.. Je pris un grand respire avant de le mettre dans mes poches et de quitter l’appartement par ma fenêtre de chambre.

La nuit était toujours présente dans les rues, mais j’avais toujours aussi peur. Une peur que j’avais pas trop l’habitude de ressentir. J’avais sorti le permis de conduire de monsieur Bennett… J’allais lui rendre son portefeuille, prétexte pour être en sécurité loin de mon appartement le temps que les hommes terminent leurs salles boulottes.

Je fis une longue marche… Très longue même. Ce dernier n’habitait pas la porte d’accoter. Afin d’éviter d’être vu, j’avais même marché sur quelque murets, Faire du parcourt me manquait, mais ce n’était pas le temps.
Arriver devant sa porte… Je pris un grand respire avant de frapper.  Avec l’énervement causé par les hommes, je n’avais pas trop pris le temps de choisir mes vêtements j’avais pris les premiers trucs qui m’étaient tombés sous la main. Un chandail noir au dos ouvert à l’horizontale avec des petits shorts aux poches déchirés, avec des basquets bien confortable dans les pieds. Pour ce qui est de mes cheveux, sécher au naturel, alors légèrement bouclés. J’espère qu’il ne verrait pas que je m’étais habillé à la hâte.  Je fis mon possible, aussitôt que la porte s’ouvrit, pour ne pas avoir l’air de fuir quelque chose. En fait, j’étais terrifier de rentrer chez moi.





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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMar 2 Déc - 3:38

Petite soirée au Travail.

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J’ouvris les yeux, surprise qu’un visiteur cogne à la porte, je me tournai rapidement vers l’horloge, avant de me rendre compte qu’elle affichait quatre heures du matin. Il fallait vraiment une personne folle pour venir cogner à ma porte à cette heure. Le temps où je marche la distance qui séparait mon divan et la porte d’entrée, je me mis à me demander qui se pourrait bien être et évidemment je ne pus m’empêcher de croire que Maxime avait retrouvé mon adresse ou encore qu’Arianna, ma secrétaire, m’avais pris un rendez-vous très, très, tôt avec un client européen et que j’étais en retard, car oui heureusement, mon penthouse se trouvait à quelques minutes de l’édifice de ma compagnie, donc souvent Arianna marchait afin de venir me porter un café et me dire le déroulement de la journée. En tout cas, je m’approchai de la porte, ne prenant même pas soin de regarder au travers du petit œil magique, si ça se trouvait je n’aurais même pas reconnu la personne.

J’ouvris la porte, restant surpris de voir cette jeune femme, celle du bar, la serveuse. Pendant un instant je doutai de ma personne, avait-elle reconnu ma carrure, avait-elle fait le lien entre l’Archer et moi et si c’était le cas, combien allait-elle me demander pour garder le silence. Je la regardai de haut en bas, reconnaissant le code vestimentaire de la jeunesse grandissante, un vulgaire chandail noir, troué au niveau du dos, avec des shorts qu’on croyait d’anciens jeans déchirés au maximum, mais bon qui j’étais pour critiquer ses vêtements, je ne pouvais pas dire qu’elle en portait pas assez, car je n’étais vêtu qu’une paire de culotte courte, laissant ainsi mon torse totalement nu.

Elle était encore dans le petit corridor qui menait de la porte d’ascenseur jusqu’à ma porte d’entrée, puis moi je la regardai, incertain de ce que je devais dire, ne voulant pas éveiller des soupçons sur les raisons de sa présence et d’ailleurs comment avait-elle trouvé mon adresse? J’espérais qu’elle n’était pas une autre groupie, cherchant seulement à me faire tourner la tête. « Vous êtes perdu? Que faites-vous ici?» Je l’aurais bien appelé par son nom, mais je ne savais pas son nom, il était rare de trouver un bar qui forçait ses employés à porter un badge d’identification et le dernier que j’avais visité ne dérogeait pas aux méthodes des autres bars.

La température était déjà fraiche quand j’étais entrée dans mon penthouse, alors j’osais ne pas imaginer à cette heure. Elle n’avait toujours pas pris la parole, mais elle semblait avoir froid, elle qui grelotait quelque peu devant l’immense portail qui menait à mon intimité. « J’imagine que vous avez une bonne raison d’être ici, d’autant plus que vous ne saviez surement pas où j’habitais avant ce soir.» Je la regardai encore une autrefois de haut en bas, je ne pouvais pas la laisser là, glacer dans un petit corridor, je lui fis donc signe d’entrée tout en lui lançant l’invitation.

Je me dirigeai vers la cuisine, activant la cafetière au passage. « Vous voudriez peut-être un café, sinon je dois avoir quelques bouteilles, mais à cette heure ça ne serait pas très raisonnable. » Je la laissai s’approcher et prendre place, avant de lui redemander une autrefois la raison de sa présence et d’ailleurs comment elle avait trouvé ma localisation.
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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMar 2 Déc - 4:03

Vous avez Perdu quelque chose…


Fuir sa plus grande peur….





8e Jours en ville.



Avant que la porte ne s’ouvre, je sentie mon corps terriblement froid. En fait, je n’avais pas pris mon mentaux, ayant pris la fuite par la fenêtre de ma chambre. Je me trouvais plutôt stupide de venir me cacher chez un homme… Dans un appartement qui devait être sublime comparèrent à mon petit appartement merdique.  Personne ne me trouverais ici, ça c’est sur. Je ne sais pas combien de temps je devais rester loin de chez moi. Sûrement toute la nuit. Mais je me vois mal rester dans l’appartement d’un inconnu… J’allais donc lui donner le portefeuille et ensuite trainer dans les ruelles jusqu’au lever du jour. Je mordis ma lèvre inférieure toujours troublé. Pourtant, cela n’était rien de grave. Les hommes ne semblaient pas en avoir après moi. Mais que pouvais faire une simple femme contre cinq hommes…  Avez-vous déjà eu peur de quelque chose qui ne vous arrivais pas à vous, mais qui pourrait se retourner contre vous ? C’est dur a expliquer comme sentiment, mais en ce moment, si j’aurais fait le choix de rester chez moi. Les homme auraient bien pu choisir de défoncer mon appartement. Et ils auraient trouvé une jeune femme coucher dans son lit… Le viole c’est ma plus grand peur, stupide non ? Mais juste le fait d’y penser, ça me fait trembler. ET moi je me pointe chez un parfais inconnu ? Bravo.

Je pris en grand respire lorsque la pogner tourna et que le porte s’ouvrit. Mon regard se porta sur l’homme devant moi, torse nu, ce qui me déconcentra un peu. Je le regardai un moment, c’est sûr que je devais avoir l’air plutôt conne, comme cela devant sa porte, peu habillé, la peau pâle. Il me demanda pourquoi j’étais devant sa porte. Mais sur le coup je ne répondis rien, le fixant simplement.

Gentiment, il m’invita à pénétrer chez lui. Ce que je fis, le suivant dans la cuisine. Mon regard se sauva un peu partout, son appartement, si on pouvait dire cela, était magnifique. Il démarra la machine à café et me proposai un vers ce qui me fit légèrement rire. Je pris appui contre le comptoir.

- Ne vous donnez pas la peine… Et ne penser pas que je vous es suivi, Vous avez fait tomber votre portefeuille.

Je sortie le dit objet avant de le déposer sur le comptoir, la main légèrement tremblante. Enfaite j’étais un peu fatigué, mais la panique de la nuit, avec tout ce qui c’était produit. La drôle de personne avec son arc et ensuite l’appartement du voisin défoncé

- Dite… L’homme que vous recherchez est-ce qu’il est dangereux… Ou est-ce qu’il a des ennuis…


Je souhaitais qu’il ne se questionne pas trop sur mon soudain intérêt pour son ami. Mais je trouvais cela plutôt étrange, que deux personnes me parlent de lui et que son appartement soit défoncé la même soirée.

- Enfin ça doit pas me regarder…


Je lui fit un court sourire avant de croiser les bras dans mon dos et de pencher la tête sur le coter…

- Je ne voulais pas vous dérangez…. Je suis idiote j’aurais dû passer dans la journée…


Je passai une main dans mes cheveux toujours mal alaise, le regard un peu fuyant.  Je marchai un peu dans sa cuisine et regarda son appartement, les yeux grand ouvert, c’était très jolie et ça semblait couter cher par mois. Le problème de chaque personne qui n’avait pas les moyens. Je me demande qu’elle métier puisse avoir cet homme… J’aurais peut-être dû faire des recherches avant de venir frapper à sa porte en pleine nuit. Mon regard se posa sur lui, toujours torse nu… J’avais sûrement réveillé cet homme. Mais la vue n’avait rien de déplaisant bien au contraire… Je restais donc debout devant lui… Est-ce que je partais pour retourner à mon appartement ? Est-ce que je restais… Je ne me sentais pas à ma place à ce moment et j’avais l’impression de réellement déranger…







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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyJeu 4 Déc - 3:21

Petite soirée au Travail.

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MAUVAIS RP MODIFIÉ PAR ERREUR


Le travail était certainement la seule chose qui m’offrait l’impression d’avoir une vie, comment dire… normale et ce même si je savais très bien que ce n’était pas le cas. Si je n’arrivais pas à m’enlever l’histoire de Maxime de la tête, la présence soudaine de sa voisine, dans mon luxueux appartement n’allait pas aider plus, c’était même le contraire. La venue de cette jeune femme était plus qu’inattendu, mais les surprises font partie de la vie et fallait croire que je n’étais pas au bout des miennes ce matin. Je me rapportai dans mon vaste salon, prenant place dans mon divan noir portable à l’oreille. J’avais pris bon soin de montrer le chemin de la chambre à mon invitée surprise, la laissant aller se reposer ou du moins fouiller. Ma petite sieste devait m’avoir brouillé les idées, car je l’avais laissé seule dans la pièce à côté d’où j’avais laissé tomber mon équipement d’archer, équipement qui m’avait servis à la menacer plus tôt dans la nuit, afin d’avoir des informations qu’elle m’avait précédemment cachées.

Quelle erreur de débutant que j’avais faite? Je m’empressai de raccrocher mon cellulaire, me levant et me tournant, juste au moment où elle sortit de la chambre. Elle avait vu ce qu’elle ne devait pas voir, j’en étais certain, ça se lisait dans son visage et ça se comprenait dans le ton nerveux de sa voix. Je la laissai s’approcher de la porte de sortie, m’approchant pour ma part d’un petit coffre, dans lequel y était dissimulée une petite arbalète, se ferait certainement le travail pour le moment. Je levai l’arme en sa direction, puis je décalai de quelques pouces, afin de m’assurer de rater mon coup, si jamais j’avais à tirer. « Je vous conseille d’arrêter tout mouvement, le mensonge n’est pas fait pour vous. Je crois que nous avons une petite discussion à avoir tous les deux. » Cette femme ne sortirait pas d’ici pour le moment, il était hors de question que je la laisse partir sachant qu’elle avait découvert qui j’étais réellement. Je me mis à avancer vers elle, elle qui avait arrêté suite à mes paroles, je devais comprendre qu’elle tenait plus à la vie qu’à n’importe quoi d’autre dans ce monde.

Je posai finalement ma main contre la porte d’entrée, tout en passant à ses côtés, la vue de l’arbalète sembla la rendre un peu plus nerveuse encore, mais je lui fis finalement face, déposant mon arme sur l’un des petits meubles situé près de la porte. « Je sais ce que vous avez vu et ce que vous croyez en ce moment, mais je voulais aucunement vous tirer dessus dans votre appartement, j’avais besoin de cette information sur votre voisin, car il est un assassin expérimenté et je dois trouver le moyen de l’arrêter.» Je lui pointai l’une des chaises de la main, reprenant la parole sans même la laisser glisser un petit mot dans cette conversation, qui avait plutôt des airs de monologues de ma part. « Vous devez savoir qu’à première vue, il semble inoffensif, mais je sais ce qu’il peut faire, je le sais car c’est moi qui l’ai entrainée, mais maintenant grâce à vous je sais où il se cache.» Les explications avaient assez duré, je devais m’assurer qu’elle n’osera pas répéter ce qu’elle savait, mais d’une autre manière, comment lui faire confiance? La menacer serait surement mal vue, mais c’était certainement la seule chose que je pouvais faire, car la peur la gagnerait et elle n’aurait pas d’autre choix que de tenir sa langue, sinon la dernière chose qu’elle verrait dans sa vie sera une flèche. « Comme je vous ai dit, mon plan n’était pas de vous terroriser tantôt, ni de vous faire du mal, mais désormais que vous connaissez mon secret, vous devez comprendre que la situation change.» Je plongeai mon regard dans le sien, puis je repris la parole d’un ton sérieux. « Vous ne direz à personne ce que vous avez vu et encore moins mon secret, sinon vous ne direz plus rien de votre vie et la flèche qui était braqué sur vous, vous l’aurez directement dans le cœur, vous comprenez ce que je dis, n’est-ce pas?» Je continuai à soutenir son regard, tout en attendant qu’elle m’affirme, malgré la peur extrême qui l’habitait présentement, qu’elle allait conserver mon secret.
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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyJeu 4 Déc - 4:35

Vous avez Perdu quelque chose…


Pourquoi on dit ‘’Inconnu’’ tu le sais now !….





8e Jours en ville.



Un coup de pied en plein centre de la porte, cette dernière, affaiblie par le passage du temps, rend facilement l’âme. Le bois se fend, éclatant en morceaux pointues, en fin copeaux et en gros morceaux. Ce trou béant dans la porte, laisse passer un bras, qui déverrouille la pogner, avant de laisser entrer les hommes venus en quêtes d’argents, d’informations, ou autre chose. Personne ne sait vraiment ce qui pousse les gens à entrer là où il ne faut pas. Tout ce bruit, résonna dans l’espace du étroit couloir. Bien sûr, cela se produit souvent. Bien plus souvent qu’on peut le penser.  

La table fût mis sur la tête, les chaises éclatés contre le mur violemment et facilement. Les papiers déchirés, recouvrent désormais le sol.  Les quelques effets amassé sur la table du salon, projeté dans les airs par la furie d’un homme en rage. Les rires résonnaient dans toute cette mélodie.  Mais c’est cette même mélodie qui m’avait poussé à fuir mon appartement.  Vous ne pouvez comprendre la situation, si vous ne l’avez jamais vécu. Vous pourrez toujours imaginer, un homme entrant chez vous arme en main. Détruisant vos biens, vos possessions et jamais, au grand jamais, vous ne pourrez comprendre ses motivations. Lorsque j’ai entendu le vacarme, leurs motivations, c’était le dernier de mes soucis. J’espérais seulement que mon voisin ne se trouvait pas dans son appartement. Et qu’il était bien loin de cette ville. Au temps pour moi, si c’était réellement un assassin. Mieux qui se tienne loin.

Debout dans la cuisine d’un inconnu, en une fraction de seconde, le regard sur la tasse de café qu’il portait à ses lèvres, je réalisais complètement que mon action avait été bien futile. Mais surtout irréfléchis. Courir chez un homme, pour me cacher, sans pouvoir lui dire le pourquoi… Pourquoi lui cachez me demanderez-vous ? Si une jeune femme, arrive à votre porte, vous disant que le voisin se fait  défoncer sa maison, vous appellerez sûrement la police non ?

J’étais donc prise avec mes problèmes, moi qui n’aimais pas pour autant en parler aux gens. Mais en ce moment, j’avais seulement besoin de savoir quoi faire. En gros, est-ce que je prenais le risque de retourner chez moi, passant par ma fenêtre bien sûr, mais je prenais également le risque que les hommes soient en ce moment même dans mon appartement.  En fait en ce moment, je tournais en rond dans mon esprit, faut croire que je ne sais que penser d’autre.  C’est alors, contre toute attente, qu’il m’invita à rester… Pour me reposer. Je devais donc avoir une tête affreuse, pour qu’il comprenne que je sois fatiguée. Je n’étais pas venu en but de lui prendre plus de temps qu’il ne faut.

Mais ce dernier pris place sur son sofa, son portable à l’oreille, il semblait déjà avoir planifié sa matinée. Il semblait gentil, me faire croire que ma visite lui avait empêché d’être en retard au travail. Je ne pouvais pas lui infligé ma présence plus longtemps. Pourtant, j’étais de nature curieuse. Il m’avait indiqué sa chambre et je me demandais bien à quoi elle pouvait ressemblé. Quoi ? Vous me critiquez ? Si comme moi, vous n’aurez jamais vu une chambre luxueuse,  vous sauterez sur l’occasion vite faite. Je pris donc doucement la direction de le chambre, le regard un peu partout. Bien sûr, je n’avais pas l’intention de rester à coucher.  Tout en marchant dans le couloir, je pris un grand respire…  

‘’ Vous savez.. Vous avez une très jolie.. Euh appartement ? Si c’est le mot.. Je ne veux pas que vous pensez que je suis venu ici en quête de vous squattez, loin de là … ‘’

Tout en parlant, j’arrivai dans la chambre, puis mon regard se portait un peu partout autour de moi. Puis je continuai ‘’En fait, pour être tout à fait honnête avec vous, le portefeuille c’était un prétexte pour ne pas voir les invités surprise de mon voisin…’
Sa chambre était, suprenente, elle me coupa le souffla un moment, j’avais donc prononcé le dernier mot, légèrement plus faible que le début de la phrase. Les deux mains dans mes poches arrière, je regardais autour de moi, l’espace était ce qui me m’était l’eau à la bouche et la grandeur du lit ! Quelle chance ! de plus, la couleur de ses grands murs, ses fenêtres, tous était sublime, sa vie semblait être si luxueuse, que je me sentais légèrement de tâche dans le décor..  Je me tournai en direction de la sale de bain… Ce qui me donna un prétexte pour avoir entré dans cette pièce.

‘’ Puis-je simplement emprunter… vos ..euh ’En parlant, je mis le pied dans la salle de bain. Elle était aussi belle, que j’en rougie presque. Mon regard allait de gauche à droite, puis de droite à gauche. Et puis… ce dernier se posa sur… Des choses qui avaient été délaissé  et qu’il avait sûrement oublié de caché.

Je fis quelque pas en arrière… Sortant de la sorte de la pièce, toujours bouche bée, un simple ‘’euh’’ sortait de ma bouche avant que je sorte de la chambre.  Je fis aussitôt le lien et je sentis mon cœur débattre dans ma cage thoracique… Dans quel merdier je m’étais encore fichu ?

‘’ euh.. En fait je vais rentrez…. Je…je’’ [/i] je retourna dans la cuisine en me disant intérieurement, que je devais pour une fois, une seule fois, être capable de mentir. Mais mon visage en disait long et mon regard regardait intensivement la porte de sortie.  Je pris un grand respire, ce qui me calma un peu.  Puis je me tournai dans sa direction.
‘’ Merci pour votre invitation, mais je dois vérifier un truc chez moi je pense que j’ai laissé la porte ouverte et que mon chat, enfin le chat de mon voisin c’est sauver… En fait je ne sais pas mais si c’est le cas je dois le retrouver… Alors euh bonne soirée… Je veux dire matinée à vous ‘’


J’avais commencé ma phrase très calmement et l’avait terminé très rapidement, j’avais pris le temps de dire calment ‘’ a vous ‘’ avant de tourner les talons et marcher tout doucement, ne pas courir, en direction de la porte de sortie sans même attendre la réponse de l’homme…. Partir je voulais partir, mon esprit me jouais des tours et je préférais ne pas savoir la vérité… J’étais peut-être en danger en ce moment !  






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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyVen 5 Déc - 0:05

Petite soirée au Travail.

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Le travail était certainement la seule chose qui m’offrait l’impression d’avoir une vie, comment dire… normale et ce même si je savais très bien que ce n’était pas le cas. Si je n’arrivais pas à m’enlever l’histoire de Maxime de la tête, la présence soudaine de sa voisine, dans mon luxueux appartement n’allait pas aider plus, c’était même le contraire. La venue de cette jeune femme était plus qu’inattendu, mais les surprises font partie de la vie et fallait croire que je n’étais pas au bout des miennes ce matin. Je me rapportai dans mon vaste salon, prenant place dans mon divan noir portable à l’oreille. J’avais pris bon soin de montrer le chemin de la chambre à mon invitée surprise, la laissant aller se reposer ou du moins fouiller. Ma petite sieste devait m’avoir brouillé les idées, car je l’avais laissé seule dans la pièce à côté d’où j’avais laissé tomber mon équipement d’archer, équipement qui m’avait servis à la menacer plus tôt dans la nuit, afin d’avoir des informations qu’elle m’avait précédemment cachées.

Quelle erreur de débutant que j’avais faite? Je m’empressai de raccrocher mon cellulaire, me levant et me tournant, juste au moment où elle sortit de la chambre. Elle avait vu ce qu’elle ne devait pas voir, j’en étais certain, ça se lisait dans son visage et ça se comprenait dans le ton nerveux de sa voix. Je la laissai s’approcher de la porte de sortie, m’approchant pour ma part d’un petit coffre, dans lequel y était dissimulée une petite arbalète, se ferait certainement le travail pour le moment. Je levai l’arme en sa direction, puis je décalai de quelques pouces, afin de m’assurer de rater mon coup, si jamais j’avais à tirer. « Je vous conseille d’arrêter tout mouvement, le mensonge n’est pas fait pour vous. Je crois que nous avons une petite discussion à avoir tous les deux. » Cette femme ne sortirait pas d’ici pour le moment, il était hors de question que je la laisse partir sachant qu’elle avait découvert qui j’étais réellement. Je me mis à avancer vers elle, elle qui avait arrêté suite à mes paroles, je devais comprendre qu’elle tenait plus à la vie qu’à n’importe quoi d’autre dans ce monde.

Je posai finalement ma main contre la porte d’entrée, tout en passant à ses côtés, la vue de l’arbalète sembla la rendre un peu plus nerveuse encore, mais je lui fis finalement face, déposant mon arme sur l’un des petits meubles situé près de la porte. « Je sais ce que vous avez vu et ce que vous croyez en ce moment, mais je voulais aucunement vous tirer dessus dans votre appartement, j’avais besoin de cette information sur votre voisin, car il est un assassin expérimenté et je dois trouver le moyen de l’arrêter.» Je lui pointai l’une des chaises de la main, reprenant la parole sans même la laisser glisser un petit mot dans cette conversation, qui avait plutôt des airs de monologues de ma part. « Vous devez savoir qu’à première vue, il semble inoffensif, mais je sais ce qu’il peut faire, je le sais car c’est moi qui l’ai entrainée, mais maintenant grâce à vous je sais où il se cache.» Les explications avaient assez duré, je devais m’assurer qu’elle n’osera pas répéter ce qu’elle savait, mais d’une autre manière, comment lui faire confiance? La menacer serait surement mal vue, mais c’était certainement la seule chose que je pouvais faire, car la peur la gagnerait et elle n’aurait pas d’autre choix que de tenir sa langue, sinon la dernière chose qu’elle verrait dans sa vie sera une flèche. « Comme je vous ai dit, mon plan n’était pas de vous terroriser tantôt, ni de vous faire du mal, mais désormais que vous connaissez mon secret, vous devez comprendre que la situation change.» Je plongeai mon regard dans le sien, puis je repris la parole d’un ton sérieux. « Vous ne direz à personne ce que vous avez vu et encore moins mon secret, sinon vous ne direz plus rien de votre vie et la flèche qui était braqué sur vous, vous l’aurez directement dans le cœur, vous comprenez ce que je dis, n’est-ce pas?» Je continuai à soutenir son regard, tout en attendant qu’elle m’affirme, malgré la peur extrême qui l’habitait présentement, qu’elle allait conserver mon secret.
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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyDim 7 Déc - 3:56

Vous avez Perdu quelque chose…


Le Masque se brisera…..





8e Jours en ville.



Nous portons tous un masque. Que cela soit pour cacher son identité au monde, pour simplement manipuler les gens dans notre vie, pour empêcher les gens qu’on aime d’être blesser. Nous portons des masques afin de se protéger. Lorsqu’on ouvre les yeux le matin, on dépose sur notre visage un masque, celui d’un père de famille, d’une mère, d’une jeune fille innocente ou d’un jeune garçon qui rêve d’être policier. Les masques qu’ont affichés sons parfois indescriptible. Et à force de mentir au tous, on commence à se mentir à soi-même et à croire que notre masque est notre vrai nous. De ce fait, on arrive plus à se détacher et à revenir dans la réalité. C’est ce qui arrive souvent aux justiciers, aux criminels. On cherche à être une autre personne, parfois meilleur que l’originale, parfois pire.   En ce moment, enfin, depuis mon arrivé dans cette ville. J’ai mis sur mon visage un nouveau masque, afin de garder cacher la femme que je suis. La femme que je suis devenu grâce à Scott. Mais dès lors, parfois dans la nuit. Je l’entends crier du fond de mon esprit. La fille que je cherche à être, est loin d’être l’idéal. Et loin d’être moi. Je cherche à étouffer ma vraie nature. Mais je sais très bien, que taux ou tard, elle reviendra montrer le bout de son nez.

Je me donc en direction de la porte. Me disant, que j’agissais comme un faible. Prenant la fuite. En fait, lorsque j’avais les flèches sur le sol, avec l’arc adossé au mur. La seule idée que j’avais, c’était encocher une flèche et pointer cette dernier sur l’homme, un sourire aux lèvres, en lui lançait une belle phrase. Afin de voir la réaction dans son regard. Non, pas de la peur, mais une lumière autre. Au lieu de cela, je devais jouer la jeune fille innocente. J’en avais marre et C’est en marchant en direction de cette porte, que je décidai, de retirer une partie de mon masque, ce masque j’avais mis sur mon visage. Comme toute attente, et oui car je me doutais bien qu’il ne me laissait pas sortir aussi facilement de son appartement. Il m’indiqua d’arrêter de bouger. Je pris un grand respire, avant de me retourner, sur moi était pointer une arbalète.  Doucement je mis mes mains en évidence. Je devais lui faire croire que j’avais peur, même si c’était le contraire. Je me suis donc mise à trembler en prenant place sur la chaise que l’homme m’avait montrée. Il ne me laissa pas le temps de parler. Peu importe, car je l’écoutais d’une oreille discrète.

Ma vie, contre mon silence. J’aurais mis ma main au feu, qu’il allait me proposé une chose de la sorte. Pourtant je ne trouvais en aucun cas cela équitable. Lorsqu’il termina de parler. Me regardant toujours, J’affichai un large sourire. Et ne tremblait pu. Doucement je me redressai, le regardant toujours.  Je savais qui il était, l’homme qui m’avait menacé, pour avoir des informations sur mon voisin, un supposé assassin. Je pris un grand respire avant de poussé un petit rire suivi d’un ‘’Pardon’’ Doucement, je glissai mes mains dans mes poches arrière, le regardant de haut en bas.  ‘’ Si je comprends bien, vous me laissez vivante, mais je dois garder votre secret. ‘’ Je marquai une courte pause, bougeant légèrement mon corps de gauche à droite, l’air pensif. Avant de continuer ‘’ Mais si on parle de valeur, votre secret, sur qui vous êtes, à n’a plus que ma vie je ne trouve pas cela très équivalent ‘’ Se pencha doucement la tête sur le coter.

‘’Voici ce que moi je propose, je mets dans la balance ma vie et vous vous m’entrainez. ‘’


J’avais une chance sur deux qu’il accepte. De plus, je n’étais pas trop intéressé à avoir un nouveau modèle à suivre, à voir comment cela C’était passer avec ma première équipe. Donc qu’il refuse ou accepte, cette nuit aurait été pour moi plus importante que les autres. Je devais remettre mon cerveau en marche, ici ce n’était pas une cours de récré et Bennett me l’avais fait réaliser. C’était du sérieux. Ici c’était la vie ou la mort. Je devais donc m’adapter et arrêter de fuir mon passer. Je dois devenir plus forte, plus sûr de moi et plus maline que Scott, pour pouvoir le vaincre, pour pouvoir vaincre n’importe qui, qui se dressera sur ma route. Tout en le regardant, j’attendais sa réponse.  J’avais beaucoup de chose à apprendre, comment la ville fonctionnais, les recoins, mais surtout, apprendre à retirer une vie. Je l’avais souvent vu, mais je n’avais pas la force de supprimer une lumière de ce monde.






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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMar 9 Déc - 1:56

Petite soirée au Travail.

Mirage Valdroff & Damian Bennett

Cette femme était un vrai mystère, elle venait de passer d’une fille totalement gagner par la peur de la mort à une femme pleine de confiance, comme si elle venait d’arrêter de jouer un jeu qui avait trop duré. La confiance qu’elle venait de gagner lui permit même de me faire une contre-offre, m’offrant son silence contre un entrainement intensif. Je me mis à rigoler rapidement, elle croyait que mon offre était une blague. «T’entrainer? Tu rigoles de moi, j’ai l’air d’un entraineur? Je te promets que si tu ouvres ta belle petite bouche sur mon identité à qui que ce soit, tu finiras avec une flèche dans le corps et ce peu importe l’entrainement que tu auras reçu.»

Je me mis à marcher dans ma cuisine, buvant le café que je m’étais fait couler avant qu’elle commence à jouer au négociateur, je ne pouvais pas lui dire que Maxime était mon ancien élève et que sa présumé mort m’avait enlevé toute envie d’entrainer qui que ce soit, ça ne serait que lui donner plus d’arme contre moi. Je me tournai à nouveau vers elle, me disant que je pouvais peut-être lui laisser la chance de m’expliquer les raisons du pourquoi elle désira un entrainement, surtout d’un homme qui l’avait menacé à l’aide d’un arc et d’une flèche. « Pour négocier ce genre d’entendre avec un homme comme moi, tu dois avoir de bonnes motivations, tu aurais peur que l’homme sur la photo vienne pour toi? Je veux savoir, je veux savoir pourquoi tu mériterais un entrainement de ma part, mise apport le fait que vous connaissiez mon identité secrète. »

Désormais, la balle était dans son camp, du moins c’était ce que je voulais lui faire croire, car je ne voulais plus vraiment avoir d’acolyte, du moins pas de façon constante et encore moins un acolyte que je devrais vraiment me soucier. Je ne doutais pas de mes talents d’entraineurs, mais le sentiment de perdre quelqu’un à qui ont tien et que ça se passe sous nos yeux, je ne crois pas qu’il y a quelque chose de pire dans la vie. Elle ne parlait pas, elle devait être perdue dans ses pensées, je ne pouvais pas la blâmer, car mes souvenirs refaisaient souvent surface.


| 8 Mois plus tôt. : Flash-Back En Russie |

Il venait de faire le mouvement de trop, toute notre couverture venait de s’effondrer, laissant nos cibles nous identifiées et appeler des renforts. J’allais devoir agir de façon rapide et ce tout en faisant attention de ne pas heurter Maxime, qui avait déjà avancé fonçant vers les malfrats. Des bruits de tirs, des manœuvres d’esquives, des flèches et des balles perdues, voilà ce qu’on aurait pu voir et entendre de loin, mais j’étais bien trop prêt de l’action pour me laisser prendre par les petits détails de la scène.

« Sur ta droite! » Je laissai partir la flèche, sauvant Maxime d’un coup qui aurait pu lui être fatale, puis je me lançai en bas du petit toit qui me servait de piédestal depuis le début de la mission. J’étais maintenant à égalité, combattant au corps-à-corps les hommes qui transportaient les mallettes remplies de substances illégales. L’un des hommes se mis à courir, cherchant à prendre la fuite, je me tournai donc vers mon acolyte, lui indiquant que je m’occupais de la poursuite. Un tournant à droite, puis un à gauche est l’homme qui tentait de fuir se retrouva percer par une flèche. Je m’approchai de lui regardant son identité, quand un bruit de feu retentit, suivit du bruit d’un grincement de pneus sur la route. Je m’empressai de retourner vers l’endroit de la mission, trouvant le corps de Maxime inanimé au sol. « Maxime… Maxime, parle-moi reste avec moi, tu ne peux pas me faire ça.» Je restai les deux genoux au sol, regardant le regard inanimé de mon acolyte, puis je ferme ses yeux, lui portant un dernier salue, avant de m’enfuir au est des sirènes de police.

| Fin Flash-Back En Russie |
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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMar 9 Déc - 2:46

Vous avez Perdu quelque chose…


Un cri du coeur.





8e Jours en ville.



Assise sur le sofa, les deux mains sur les oreilles, je cherchais à changer le vacarme des hurlements.  Des hommes étaient entrés, il nous avait dit que c’était des amis. Il avait posé son regard sur moi, m’avertissent d’aller dans l’autre pièce. Je pouvais entendre sa rage, à chaque coup qu’il donnait. Est-ce qu’il frappait avec une barre de métal ses hommes ? C’était la première fois, que j’entends des cris de douleur, des gémissements et des bruits d’agonie. De plus Son rire, froid et sadique, semblait joyeux. Il aimait la situation, sa joie le faisait frapper encore plus fort et plus fort. Sens savoir pourquoi, les larmes se mirent à couler de mes yeux. Je fis entrer mes ongles dans ma peau, cherchant à ne pas entendre cette horreur. Qui ne voulais pas arrêter. Le bruit continuait dans mon esprit encore et encore. Au début, les hommes l’avaient supplié, mais il n’avait pas arrêté. Il n’arrêtait jamais.  Puis, au bout de deux longues heures, le silence arriva. Puis doucement la pogner tourna et il entra, lâchant sur le sol l’arme du crime. Il avait un grand sourire aux lèvres, son veston, sa chemise et son pantalon était maculé de sang. Il portait son regard vide d’émotion sur moi, avant de venir me rejoindre sur le sofa. Du bout du doigt, il chassa la larme qui coulait, me tachant la joue. Doucement, il porta ses lèvres couvertes d’éclaboussure sur les miennes. Le sang était encore chaud. Ma mâchoire du bas se mise à trembler, il me regarda déçu de voir la peur dans mon regard et il me gifla rapidement au visage.

Ce moment, était resté à jamais dans ma mémoire, car j’avais eu peur, très peur, mais en même temps, la curiosité m’avais envahis. De savoir ce que frapper une personne, de voir la vie quitter les yeux d’une personne. Mais j’avais finalement vu le vrai visage de l’homme que j’aimais en cachette. L’homme que je voulais tuer… Plus que tout au monde, celui qui m’avait tout montré, mais qui m’avait également tout pris.

Mon regard remplis de confiance, s’embrouilla dans mes pensées. Bennett voulait savoir ce qui me portait à lui réclamer de m’entrainer. Le pourquoi de cette raison.. Trop de parole, trop d’image dans mon esprit. Autant des bons moments que des mauvais. Il m’avait faite souffrir… Il s’était jouer de moi et aujourd’hui je voulais tout faire pour voir, la vie disparaitre des yeux d’une personne.

Je suivi du regard, Damian qui se prit un café, toujours l’arbalète en main. J’avais besoin de parler, mon secret était lourd et doucement me rongeait de l’intérieur. Pourquoi est-ce que cet homme, pourquoi est-ce que je demandais à lui. J’avais pensé avoir un pas d’avance sur lui. Mais je m’étais trompée.  Je pris un grand respire avant de me mettre devant lui, les mains toujours dans les poches arrières de mon short. Se je mordis doucement la lèvre inférieur le regardant.

- Une personne à gâché ma vie… Se servant de moi, me manipulant, il m’a fait voir d…ma faire voir des choses…. Qui ne sortirons jamais de ma tête… Aujourd’hui il me traque pour ses choses que j’ai vues. Je ne veux plus me laissez faire… Je ne veux plus êtres la jeune blonde qu’on utilise, qu’on sous-estime. Qu’on brime ! Je ne veux plus a avoir à fuir mon appartement en pleine nuit, car cinq hommes on défoncés la porte du voisin ! Mais avant tout,  Je veux lui montrer que je suis forte, plus forte que lui et je veux voir sa vie quitter son regard lorsque je vais appuyer sur la détente… Si.. j’y arrive car je suis faible.. trop faible pour tuer une personne j’ai besoin d’une personne qui à la mort dans le regard, comme toi. Qui n’a pas peur de pointer une arme sans trembler. Si vous ne voulez pas de moi, j’en ai que faire, je trouverais une autre personne ! Je n’ai pas l’intention de mourir avant lui. Alors je vais gardez votre secret.

Sans le vouloir mes larmes étaient montées dans mes yeux. J’avais la rage au cœur, pas après lui, pour l’instant je ne pouvais pas lui en vouloir… Mon état n’était pas de sa faute..  C’était Scott le coupable et ça restera toujours lui. Je n’avais pas réussi à rester calme, à dire peut sur moi, tout était sortie. Et mon cœur se sentait un peu plus léger. Mais aujourd’hui je voyais le début de ma quête.. La recherche d’une personne pour me sauver de ma dérive.

Bien sur ma vie avait encore quelque secret. Scott n’était pas le seul que je fuyais… Mais je ne voulais plus le fuir, je voulais lui faire face. Mais je savais, que lorsque mon regard plongera dans ses yeux, mon être fondera de nouveau et il pourrait faire ce qu’il veut de moi…






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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMar 9 Déc - 3:45

Petite soirée au Travail.

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J’avais repris l’arbalète depuis un moment déjà, m’assurant que cette fille devenait une cible facile si jamais elle tentait de quitter mon appartement. Je n’avais pas le choix de me tenir là devant elle et de la menacer, elle en savait trop pour quitter le seuil de mon appartement, du moins elle finirait par le quitter, mais pas sans m’avoir promis qu’elle ne dirait pas mon secret. Je croyais que sa vie était ce qu’elle avait de plus précieux, que de la menacer de lui prendre serait suffisante pour la faire taire, mais ce n’était pas le cas. Je cherchai donc à trouver sa faiblesse, la raison qui la forcerait à se taire, la chose qu’elle désirait le plus dans sa vie, mais tout comme moi elle semblait renfermée sur elle-même et restait hésitante à s’ouvrir. Être faible également, j’aurais surement hésité aussi, surtout si la personne me laissait une ouverture, mais se dévoiler, c’est dur et parfois même plus douloureux que de tout garder pour soi. Elle allait avoir besoin de temps, c’était sûr, tout le monde a besoin de temps pour ce genre de truc, je ne pouvais pas la blâmer.

Après quelques minutes d’hésitation et de combat intérieur, elle s’approcha de moi, faisant face à l’arbalète qui était encore levée en sa direction et qui semblait encore très stable, puis elle prit la parole, laissant la raison de sa demande ce dévoiler à moi. Voilà son point faible, elle n’avait pas peur de mourir en ce moment, car elle savait que tôt ou tard, l’homme qui avait gâché sa vie la retrouverait et lui prendrait sa vie, sauf si elle était capable de le faire avant lui. « Tu crois qu’un simple entrainement suffit pour prendre une vie? Alors détrompes-toi. Fuir ce n’est pas une option et la souffrance c’est optionnel, mais je ne peux pas t’aider, je ne peux plus t’aider.» Je baissai l’arbalète, la regardant dans les yeux. «Tu t’es ouvert à moi, alors laisse-moi faire de même.» Je pris une grande respiration, fermant les yeux une fraction de seconde, puis je me lançai. « Ton voisin, l’homme sur la photo, appelle le comme tu veux, mais moi je le connais sous le nom de Maxime … enfin peu importe, je mène cette recherche sur lui car il est mon ancien acolyte, je l’ai entrainé, mais je n’ai pas pu le sauver, c’est la raison pourquoi je refuse de t’entrainer.»

Un silence s’installa pendant quelques instants, je n’arrivais pas à croire que je venais de dire ça à une parfaite inconnue. Si je venais qu’à l’entrainer et que tôt ou tard elle tombe au combat, qu’elle parte comme Maxime, je ne m’en remettrai pas. Je la regardai, brisant le petit silence qui s’était installé. « Se venger et prendre une vie, on croit que ça fait du bien, mais ce n’est pas le cas, ça n’enlève pas les blessures que le temps et les gens ont faites. À chaque vie que tu prends, tu perds une partie de toi-même et la rédemption ne redonne pas nécessairement c’est partie.» Je soupirai faiblement, comme-ci je m’en voulais de la laisser dans cette situation assez difficile. « Je te demande de garder un secret, un secret qui me permettra de sauver des gens comme toi, qui vis ou qui as vécu des choses éprouvantes.» Je la regardai, incertain de ce qu’elle allait me répondre, mais je jouais la carte de l’homme confiant de ses moyens, confiant qu’il n’était pas là pour faire du tort à cette ville.
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MessageSujet: Re: Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett Petite soirée au Travail / PV Damian J. Bennett EmptyMar 9 Déc - 4:28

Vous avez Perdu quelque chose…


Aux larmes…. .





8e Jours en ville.




Chaque personne on leur problème, leur malheurs, leurs peurs et leurs moment de faiblesse. L’être humain, est un être faible. Il nait dans la faiblesse, grandit dans la faiblesse, se donne illusion d’être fort et meurt dans la faiblesse. C’est un destin crucial et inévitable.  Pourtant, je ferais tout ce qui est de mon vivant, pour combattre ce destin.  Planté devant l’arbalète, je savais que la flèche était pointée en direction de mon cœur. Qu’il avait en ce moment, le choix de vie et de mort sur ma personne.  Mais, il décida de ne pas pendre ce choix. Son regard intense, était plongé dans le mien, encore inondé de l’arme. Je me sentais idiote de pleurer devant un homme. Encore une faiblesse de ma part.  Dans toute ma vie, je n’avais jamais vu un tel regard. Je ne serai dire ce qu’il avait de différent, mais ses yeux avaient vu bien des choses.  Je retirai mes mains de mes poches arrière, afin de croiser les bras, je fis entré dans ma peau mes ongles afin de contrôlé les larmes qui cherchaient à venir mourir sur mes joues. De plus, la douleur que je me faisais, me gardais les pieds sur terre. Me rappelant la dure réalité. Méthode plutôt douteuse, qui avait fait ses preuves.  Mon regard ne pouvait pas quitter le sien, même quand il ferma les yeux. Je le fixai intensément.

Pourquoi, tout prenait un sens dans mon esprit, mais lui il ne voulait pas le voir. Ne pas comprendre. Comprendre la douleur qui était mienne. Je savais clairement que tuer une personne, ne me redonnera rien, n’effacerais rien.
 
On dit que la violence ne règle rien, pourtant notre monde est née de la violence et est détruit dans cette même violence. Je ne peux croire, qu’elle ne m’aiderait pas. A effacer ma douleur, à retirer le mal que me ronge. Tout ce que j’ai vu, à fait de moi ce que je suis, je pourrais avoir peur d’être blessé, avoir peur de mourir, mais on meurt tous un jour. Et je devais lui faire comprendre. Que la mort est quelque chose d’intouchable, d’inévitable.

Je lui avais ouvert mon cœur, il m’ouvrit donc le sien. Comment deux inconnus pouvaient, en une nuit, se dévoiler l’un à l’autre. Était-il plus facile de parler à des gens, don le jugement nous importait peu ? Je fis un pas, vers lui, puis un autre. Avant de m’arrêter. Je pris d’une main l’arbalète et enligna la flèche en direction de mon cœur.  Ce mouvement, fit couler les larmes de mes yeux sur mes joues. Mais mon regard était plongé dans le sien. Aucune peur dans les yeux, simplement une lassitude.

- On vient tous égoïstement au monde, on grandit en connaissance des causes… La mort vient pour tout le monde. Certaine personne plus vite que d’autre.  Certaine mort n’est pas mérité et d’autre se fait attendre. Je sais clairement que la mort tourne autour de tout le monde, elle est présente partout dans cette ville. Si je te demande de m’entrainer, c’est que je connais les risques, je sais que je peux mourir, Ton ami, les savaient aussi. Tu ne peux pas t’en vouloir de ce qui sait passer, sa mort lui appartient.  Je n’ai pas envie de rester à attendre qu’une autre personne choisie comment je dois mourir. Je veux me battre. Tu dis que la violence ne changera rien au passer… Mais je ne veux rien changer de mon passer, je veux me laisser une chance d’avoir un avenir.


Je marquai une pause, tenant toujours l’arbalète en direction de mon cœur, le regard plongé dans le sien.  Puis je prends un respire avant de continuer, je pouvais sentir les chaudes larmes coulés abondement sur mon visage.

- Tu sais pourquoi je le fui… Car je veux choisir mon avenir… Je veux laissez le passé derrière et avancer… Mais je sais qu’il reviendra un jour c’est pour ça que je veux être prête…  Je sais que de prendre la vie d’une personne ce n’est pas chose facile… Mais je préfère prendre la vie d’une personne qui menace de prendre la mienne…

Je lâcha l’arbalète, d’une main sur mes joues je chassa l’eau, cherchant à calmer les derniers sanglots, je détourna le regard un moment en regardant la porte.. Puis en le regardant.. Pleurer ainsi m’avait encore plus épuisé. Et toutes les émotions venaient de faire remonter des souvenirs dans mon esprit.  J’avais besoin de prendre un bain.. Ou de me changer les idées…  Je déposai mon regard toujours brouillé sur lui.. Croisant de nouveau les bras.  Afin de me réchauffé, le fait de pleurer m’avait fait perdre le peu de chaleur que j’avais…







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