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 « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy)

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« Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) _
MessageSujet: « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) EmptyVen 14 Juin - 18:24


Lucas & Red



▽ Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum...
Elle s’ennuie ! Bon sang ce qu’elle peut trouver le temps long ! Pamela est rentrée depuis quelques heures déjà, le sarrau de Wayne Entreprise ainsi que la perruque qu’elle met pour passer inaperçue sont depuis longtemps sur le sol. Quant à Pamela, elle s’était alongée sur le canapé et écoutait les bruits de la ville qui lui parvenaient de sa fenêtre entre-ouverte. Il fut un temps où, fraîchement évadée de l’asile, la belle rouquine se terrait comme un animal apeuré dans son terrier. Elle se sentait constamment sous surveillance comme dans son ancienne cellule aux murs blancs. Dans la lumière, elle voyait les gyrophares des policiers et dans les ténèbres, l’ombre d’une chauve-souris. Néanmoins, si la prison l’avait traumatisé et avait légèrement renforcé sa folie, Poison Ivy était plus forte que Pamela. Aussi, son caractère bouillant et ses envies de vengeance eurent bien vite raison de sa crainte d’un retour en cage. Il avait suffi qu’elle goûte à nouveau à la terre sous ses pieds, à l’air pure et au ciel bleu pour savoir que s’était son rôle de défendre l’environnement contre l’homme assoiffée de béton. Elle avait une mission et elle l’avait mise de côté trop longtemps. Parfois, ses envies de grandeurs faisaient peur à son coté rationnel, mais avec les toxines qui circulaient dans son sang, son jugement perdait de sa droiture avec le temps…

De plus, ce n’était pas comme si la belle n’avait jamais essayé de vivre normalement. Mais ce petit manège ne la satisfaisait plus. Aussi, faisant quelques emprunts de matériel aux entreprises Wayne, Pamela avait transformé les pièces de son appartement en laboratoire. Poudre, liquide, pommade, herbe en ébullition et éprouvette au contenu frémissant, tout son arsenal de poisons et autres attendaient patiemment leur heure. L’espace qui lui restait pour vivre ressemblait davantage à une jungle avec toutes ses plantes en pot. Ses enfants avaient besoin d’une mère pour prendre soin d’eux… C’était trop risqué de laisser ces pauvres plantes prendre racine où l’homme civilisé pourrait trop facilement les piétiner ou les déraciner. La jeune femme se leva du fauteuil et s’approcha d’un récipient ou tombait un étrange liquide rosé goutte par goutte. À l’odeur, cela ressemblait à de l’eau de rose, mais c’était tellement plus ! Un sourire énigmatique s’afficha sur les lèvres pulpeuses de la criminelle. L’avait-elle bien dosé cette fois ? La mixture méritait un second essai à son avis… Laissant le liquide rose s’égoutter, la scientifique alla changer de tenu. La chemise et le jean se transformèrent en robe de soirée dans les tons de rouge. Ensuite, attrapant un petit flacon de parfum vide, la jeune femme le remplit de ce liquide suspect et le mis dans son sac. En passant rapidement devant le miroir, elle se maquilla. Un rouge à lèvre vif et un peu de mascara feront l’affaire. Puis, l’empoisonneuse attrape une veste de cuir, ses clés et son sac à main avant de se diriger vers la sortie.

Elle marcha un bon moment, préférant les bars plutôt éloignés de son lieu de résidence. Une enseigne lumineuse attire son regard, ce serait donc là son terrain de jeu et ses cobayes. Le brouhaha ambiant couvrit le son de son arrivée, elle ne se donnerait donc pas en spectacle dès le départ. Au bar, un homme d’affaire plutôt âgé restait seul et regardait le match de sport que montrait l’écran derrière le comptoir. Parfait comme premier pigeon. Pamela sortit alors la fiole de parfum et s’en aspergea d’une seule dose alors qu’elle s’approchait de l’homme d’une démarche gracile...


« Bonsoir, vous m'offrez un verre ? » S’était plutôt direct, tout comme l’effet du parfum envoûtant. L’odeur de rose avait atteint les narines de l’homme d’affaire. Les pupilles du pauvre quinquagénaire se dilatèrent et un sourire béat apparu sur ses lèvres. « Un verre de vin rouge s’il vous plait… » dit-elle doucement au barman. Sa victime, quant à lui, sortit son portefeuille et quelques billets pour les déposer sur le comptoir. Il y en avait beaucoup trop pour un verre, mais discrètement, après que la boisson fut payée, Pamela mis la main sur le reste. « Je garde la monnaie… Oups ! »

Ne venait-elle de faire tomber une serviette de table ? Sa proie, toujours avec son air abrutit, se pencha pour la ramasser. Pendant ce temps, la jeune femme s’empressa de le soulager de son alliance et de sa montre en feignant de lui caresser le bras comme une vieille amie. Rapide comme l’éclair, les autres personnes présentes dans le bar ne virent pas son manège, supposant que cette jeune femme venait simplement de se trouver un client pour la nuit. Comme les bordels n’étaient pas loin, tout était possible... Du moins, l'astuce était bonne pour qui ne savait pas voir ce genre de chose. Pamela le remercia et cacha son butin dans son sac. Puis, sachant que les effets du sérum feraient effet sur le cerveau de l'homme encore quelques heures avant qu’il n’oubli absolument tout, elle lui demanda d’aller l’attendre dans le parking… Inutile de lui dire qu’elle n’irait jamais le rejoindre… Alors que l’homme d'affaire se levait, la demoiselle attrapa le portefeuille qui dépassait de sa veste et le laissa partir. Sa coupe de vin arriva enfin. Elle attrape son verre entre ses doigts fins et le porte à ses lèvres. L'odeur de son parfum se dissipait déjà de sur sa peau, une autre dose serait nécessaire d'ici quelques minutes. Ce n'était pas un cosmétique ordinaire, l'odeur ne restait pas. Cela dit, la soirée commençait bien, mais maintenant, qui serait le suivant ? Qui viendrait tenir compagnie à cette jeune femme seule au bar ?

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MessageSujet: Re: « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) EmptyDim 16 Juin - 6:20


Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum! Part I
Lucas Cole & Pamela Isley



Les bars, la place pour les hommes qui sont seuls et qui tentent de noyer leur chagrin dans l'alcool et également la place pour les femmes qui ne cherchent rien de vrai ou encore l'endroit pour les petits nouveaux. Les journées semblaient longues pour Lucas depuis qu'il avait commencé à faire un travail honnête. Il s'agissait d'une première pour lui, depuis sa tendre enfance il vivait dans le crime, s'il avait besoin d'argent il n'avait qu'à courser ou à faire les poches de quelques passant dans la rue, mais le travail honnête était autre chose, il pouvait au moins se satisfaire en se disant qu'il fessait quelques choses qu'il aimait chez Sal's Mechanic.

Son tempérament et son attitude parfois qualifié d'arrogante l'oubligait à fréquenter les endroits comme les bars, car depuis son arrivée en ville, il ne pouvait pas affirmer qu'il c'était fait beaucoup d'amis. Au garage il est le nouveau, alors on le met un peu plus à l'écart, d'un certain sens ça le dérange pas vraiment, mais par moment la solitude le frappe d'un bon coup. Il ne faut pas oublier la fille qu'il avait aidé à son arrivé, mais encore une fois rien de très marquant, du moins c'était ce qu'il disait.


Luke avait fini de travailler plutôt en cette journée pluvieuse, il avait dû se rendre chez un concessionnaire automobile afin d'officialisé l'acquisition de sa nouvelle voiture. Une voiture assez standard, totalement le contraire des voitures qu'il achetait pendant son long séjour en Californie.

Le Mécano commençait par la suite une tournée de la ville, il situait sur une carte des endroits stratégiques qu'il pourrait prochainement être victimes de ces actes puis les notais tout en les visitant de plus près. Le bruit d'un endroit l'attira vers l'entrée d'un bar. Il stationna sa nouvelle voiture à quelques pas de l'entrée puis il laissa tomber sa veste de cuir sur le siège passager avant de quitter vers l'entrée. Il n'était vêtu que d'une camisole et d'une paire de jean troué au niveau des genoux, rien qui allait attirer l'attention des gens vers lui. Il posa son regard sur les individus qui étaient dans le bar, personnes de très intéressant à première vue. Probablement des pauvres mecs qui n'avaient pas un sous à se faire dérober. C'est quand il tourna la tête vers le bar qu'il aperçut celle qui allait devenir pour lui une futur victime probablement.

Luke s'avança vers le bar et posa sa main gauche sur une chaise de chêne qui était libre. Il ne s'informa pas de la disponibilité de la place, puis il prit place sans dire un mot jusqu'à l'arrivée du barman.

~Je vais te prendre un cognac, le plus fort que tu as

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MessageSujet: Re: « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) EmptyLun 17 Juin - 21:39


Lucas & Red



▽ Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum...
Sous la lumière tamisée du bar, la belle rouquine fit tourner la liqueur dans son verre avant d’en prendre une longue gorgée, laissant la boisson à la fois amère et douce s’écouler dans sa gorge. Elle appréciait le rouge profond du vin, rappelant le sang. Un sourire bienheureux apparu sur ses lèvres, un sourire qui ne s’adressait à personne en particulier. La demoiselle aimait savoir qu’elle avait le dessus sur l’esprit fragile des hommes avec un simple sérum. Elle se sentait puissante et forte, rien ne pouvait lui enlever son génie lorsque ses plans se déroulaient à la perfection. C’était ses petites victoires, même dans des endroits peu réputés comme ce bar, qui lui redonnaient le courage et les convictions nécessaires pour continuer sa quête. L’idée d’être plus qu’une mortelle, mais bien la personnification de Mère-Nature, lui plaisait et la rendant différente de cette troupe de mâles qui rodaient toujours autour du plus joli lot. Dans la situation présente, la criminelle dans sa robe rouge et veste de cuir détonnait des autres, attirant les regards et les aguichants d’un simple battement de cils. Cela dit, Red n’était pas un prix à gagner, mais plutôt le genre à alléger les portefeuilles de ces messieurs...

Néanmoins, le siège disponible près de la jeune femme fut vite comblé. Par contre, si l’ancienne pensionnaire était une lumière, elle n’avait pas attiré de riches papillons, mais bien un moucheron dans des habits simples dont elle ne saurait dire si une fortune se cachait dans ses poches. Du coin de l’œil, Red détailla le nouveau venu avec son jean troué et sa camisole. On était loin des pigeons en costume-cravate. Son sourire disparu derrière son verre, ce n’était pas le genre de proie qu’elle préférait. Certes, il était plutôt beau dans le genre mystérieux et peu bavard. Cependant, les hommes mariés et en manque d’amour étaient souvent bien plus ''généreux''.


« Comment vous dire ça sans vous vexez… La place est prise. » dit-elle d’un ton détaché et sans émotion.

Red déposa délicatement sa coupe encore à moitié pleine sur le comptoir et replaça une de ses mèches rousses derrière l’une de ses oreilles. Son sac restait religieusement sur ses genoux, car sachant quel genre de produit s’y trouvait, sans parler de son butin, il valait mieux ne pas l’exposer aux regards. Parlant du parfum, celui-ci avait vu son odeur totalement dissipé depuis le temps. Par contre, en plus de ne pas correspondre aux attentes de la voleuse, l’inconnu l’ignorait et s’imposait simplement à ses côtés. Définitivement, il ne méritait sans doute même pas une goutte de son nectar aphrodisiaque. Enfin, un homme avait malgré tout d’autres qualités, ou plutôt, utilités. Il se la jouait peut-être au dur, mais il était possible qu'il soit un héritier d’une grande compagnie… En vérité, peu importe de quelle classe sociale venait le jeune homme, on n’ignorait pas Poison Ivy très longtemps.


« Enfin, tout dépendant si vous devenez suffisamment intéressant pour la mériter. »

Le timbre de sa voix devint plus sensuel, délaissant la froideur de sa première réplique. La demoiselle croisa les jambes élégamment et pencha la tête vers son interlocuteur pour lui montrer un minimum d’intérêt. Elle aimait bien avoir toute l’attention des gens, même si cela devait se faire sous l’effet d’une de ses créations. Son ego de criminelle était à la fois un de ses défauts et une qualité, car personne ne pourrait jamais se faire un titre dans l’ombre de Gotham sans être un minimum sûr de soi. Et personne n’était plus imbue d’elle-même que Poison Ivy…

« Cognac vous dites ? On a quelque chose à oublier ou on a passé une sale journée ? Ou les deux ? » enchaîna-t-elle en essayant d’entamer la conversation. En bonne comédienne, Red espérait ne pas avoir à feindre très longtemps la politesse, pourvu que le jeune homme se décide à desserrer les lèvres rapidement…


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MessageSujet: Re: « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) EmptyLun 1 Juil - 23:52


Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum! Part II
Lucas Cole & Pamela Isley



Bien assis sur la chaise haute qui fut fort probablement forgé dans un bois de basses qualités, vu la qualité du bar, Luke entrepris d'ignorer la dame vêtu de rouge qui séjournait à ses côtés. Cette dernière était très élégante et bien en beauté, mais certainement pas le genre de fille que Lucas c'était habitué à fréquenter. Pour faire un monde, sa prendre des gens de tous type et à première vue, la femme à la crinière rousse n'était pas le même type de personne que Lucas.

La surdité temporaire dont fessait preuve le mécanicien fût rompu au simple bruit que son verre de cognac fit sur le comptoir positionner devant lui. Il entreprit un déplacement de la main vers son verre quand la jeune femme le dérangea à nouveau.

« Cognac vous dites ? On a quelque chose à oublier ou on a passé une sale journée ? Ou les deux ? »

Lucas saisit donc son verre de la main gauche avant de porter sa tête vers son interlocutrice. Armé d'un regard qui voulait parler à la place de sa bouche, le mécano laissa un espace suffisamment grand entre ses lèvres pour que quelques paroles, assez cru, puissent s'en échapper.

Je ne savais pas qu'un homme avait besoin d'une raison idiote pour prendre un cognac, si vous préférez je peux commander un thé.

La tête du Californien refit le chemin inverse, puis Lucas porta le verre à moitié remplie au bord de ses lèvres afin d’en ingérer le contenu. Le verre n’eut à peine le temps de toucher au bois du comptoir que son propriétaire temporaire éleva la voix à l’intention de l’homme derrière le comptoir afin d’avoir un remplissage.
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MessageSujet: Re: « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) EmptyDim 14 Juil - 19:48


Lucas & Red



▽ Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum...
Enfin, le regard d’émeraude de Pamela croisa celui du jeune homme qui tentait soit de jouer les indifférents, soit il la snobait tout simplement. Elle n’arrivait pas encore à le dire. Malgré son air buté, la jeune femme se risqua à lui sourire, attendant une réponse ou simplement quelques mots qui auraient pu débuter une conversation amicale. Bref, n’importe quoi pour arrêter de se sentir invisible, car l’égoïste charmeuse préférait de loin voir les hommes tomber à ses pieds, plutôt morts que vivants et plutôt dépouillés que riches. Le silence n’était pas son bruit de fond préféré quoique, vu le brouhaha et la musique qui régnaient dans l’endroit, ce n’étaient pas les sons qui manquaient.

Et pourtant, elle se retrouvait là à le regarder comme une bonne poire alors qu’il se contentait de boire tranquillement. Les doigts de la demoiselle se mirent à pianoter sur le comptoir, envisageant de quitter son perchoir, puis d’aller voir ailleurs si elle n’obtenait pas plus que cet échange pour le moment froid et stérile. La rouquine fit mine d’ajuster sa robe ou de replacer une mèche de ses cheveux pour passer le temps. Décidément, elle faisait sans doute trop d’effort pour un type de son genre. Pas qu’elle avait du mépris pour les gens comme le beau brun, juste un manque d’intérêt à la longue. D’ailleurs, les quelques phrases qu’elle lui arracha péniblement lui confirmèrent qu’elle perdait son temps. Choquée, la demoiselle haussa le sourcil et lui lança un regard dans le genre : T’es pas sérieux ? L’empoisonneuse resta silencieuse un moment et se détourna. Elle vida le reste de sa coupe de vin avant de faire signe au barman de s’approcher.


« Un thé pour mon ami. » dit-elle en accentuant volontaire le mot. Ensuite, elle se tourna vers cet individu qui venait carrément de la vexer, car oui, elle était susceptible à ce point. Cette fois, elle s’assurait qu’il ne l’ignore pas. «Bonne soirée.» Il ne voulait pas lui parler ? Très bien. Elle descendit gracieusement de son siège, puis arracha le verre de cognac des mains de son interlocuteur et s’éloigna sans régler la note pour la future boisson chaude.

Son sac si précieux dans une main et le verre volé dans l’autre, la rouquine se fraya un chemin parmi les clients du bar. La demoiselle alla alors se réfugier sur la piste de danse parmi les couples qui se mouvaient avec une vulgarité outrageante suivant une musique plutôt forte. Pamela se retourna, examinant les alentours pour voir si l’inconnu l’avait survit ou pas. Peu importait en vérité, la jeune femme au caractère bouillant haussa les épaules, préférant déjà oublier cet incident de parcours. Après tout, elle n’était dans ce bar que parce qu’elle avait besoin de cobaye. Portant la boisson à ses lèvres, Pamela vida rapidement celle-ci, sentant la liqueur lui réchauffer la gorge, elle fit la grimace. Espérons que l’alcool ne lui monterait pas trop vite à la tête !


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MessageSujet: Re: « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) EmptyMar 16 Juil - 3:44


Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum! Part II
Lucas Cole & Pamela Isley



Le ton que Lucas avait utilisé pour répondre à la dame rousse assise à ses côtés ne semblaient pas avoir plu à cette dernière, qui commanda réellement un thé pour Luke avant de lui retirer son cognac des mains. L'audace de la femme pris le Californien par surprise. Ce dernier n'eut les moyens de la quitter des yeux, jusqu'au moment où il décida d'aller récupérer ce qu'il allait payer d'ici à la fin de la soirée.

Tous en restant discret, l’homme passa d’un autre côté afin de se retrouver derrière la voleuse de cognac, mais juste au moment où il allait poser sa main sur l’épaule de son ancienne voisine, cette dernière ne fit qu’une gorgée du verre qu’elle avait soutiré à Lucas quelques instants auparavant. Lucas ce racla la gorge puis déposa délicatement sa main droite sur l’épaule de la femme aux lèvres d’une couleur rouge.

« Désoler de vous déranger, mais vous avez pris quelques choses qui m’appartient.  »

Certes Lucas ne voulait pas ravoir le breuvage que la femme venait tout juste de boire, mais il serait volontiers de retrouver le comptoir afin de pouvoir boire le breuvage en une seule gorger comme cette dernière venait tout juste de faire.

«Je crois que j'ai mal commencé la soirée avec vous, vous désirez vous joindre à moi pour prendre quelques verres?»

Si cette femme fessait toujours preuve de la même audace dans la vie, elle pourrait fort certainement être un ajout considérable pour la futur organisation de Lucas. Une équipe pour terroriser la ville et dominer enfin les corrompus de ce monde.

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MessageSujet: Re: « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) EmptyJeu 18 Juil - 18:11


Lucas & Red



▽ Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum...
La jeune femme profita de ce moment de solitude parmi la foule de danseurs. On ne se préoccupait pas d’elle, car elle n’était qu’une ombre parmi d’autres. Les couples se tripotaient maladroitement alors que Pamela se contentait de fermer les yeux pour profiter du rythme. Elle goûtait encore au gout fort du cognac dans sa gorge et sur ses lèvres d’un rouge hypnotique. On aurait pu croire que la belle se cherchait forcément de la compagnie, mais outre pour son propre profit, la scientifique se savait mieux seule. En général, cela évitait bien des déceptions. De plus, la demoiselle aimait bien être sous la lumière des projecteurs grâce à ses crimes, mais l’anonymat avait des avantages. Ce n’était pas reposant d’être une des criminelles les plus recherchées de Gotham City, alors des petites mésaventures sans arme ni coups, comme celle avec le jeune homme, n’étaient que pure divertissement.

Soudain, elle sentit une main sur son épaule, un vague sourire naquit sur son visage angélique se doutant de l’identité de celui qui venait interrompre ses pensées. Comme quoi, au final, elle avait fait plutôt une forte impression ! Elle rouvrit les paupières et se retourna pour faire face à l’homme qu’elle ne craignait nullement. D’ailleurs, elle n’avait peur de personne. Ce qui l’étonna cependant, fut que l’inconnu ne l’avait pas agrippé, mais s’était gentiment approché avec une étrange politesse. Finalement, il y avait peut-être un semblant de gentleman dans ce curieux personnage…


« Certes… Mais si vous venez chercher des excuses en échange, autan passez votre chemin. »

Elle ne nia pas son vol, de toute façon, le verre vide était encore dans ses mains. Pamela ne regrettait pas non plus son geste, cela avait même été fait avec plaisir. On n’enquiquinait pas une grande voleuse sans le regretter au moins un peu. Et puis sur le coup, sachant ce que contenait la fiole de parfum dans son sac, elle aurait pu faire pire. Bref, à ses yeux, il avait mérité l’affront.

« Disons que vous m’avez offert celui-ci alors… Sans rancune ? »

L’invitation la tentait, pas parce qu’il était plutôt bel homme, mais parce qu’elle aurait peut-être une chance d’apercevoir quelques richesses à dérober. On n’invitait pas une femme à boire si on n’avait pas des billets verts pour payer les verres, non ? Cela dit, si le jeune homme comptait sur la participation financière de Pamela, il se mettait le doigt dans l’œil. Enfin, cela dépendrait s’il pouvait garder l’intérêt de la jeune femme assez longtemps pour qu’elle se sente généreuse. Sinon, pour s’assurer qu’on vous offre à boire, il fallait essayer d’être un peu moins sèche et rebelle. Alors, malgré son mauvais caractère, le rouquine se radoucit.

« Au fait, je m’appelle Red. » dit-elle assez fort pour que la musique ne couvre pas sa voix. Aucun nom de famille, aucune attache. Il valait mieux enterrer le nom de Pamela sachant quel genre de mystère il cachait.


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MessageSujet: Re: « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) EmptyJeu 25 Juil - 1:17


Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum! Part II
Lucas Cole & Pamela Isley



L’homme se tenait encore debout derrière la voleuse dans le troupeau de couple qui profitait de la musique pour s’offrir l’occasion de passer des moments chaleureux. Lucas retrouva son aspect d’homme muet pendant un léger moment, il avait pu lire sur les lèvres rouges de Pamela, mais le bruit de la musique ne cessait de s’intensifier coupant alors chaque parole qu’il désirait énoncer. Le bruit offrit par contre la chance à son interlocutrice de placer une autre phrase dans la conversation.

« Apprenez très chère que les excuses et la rancune ne sont que des prétextes pour les plus faibles de ce monde.  »

Lucas et Pamela ce mirent à avancer vers le bar qui les avait préalablement accueillit il y a quelques instants.

«Enchanté, appelez le mécano.»  Dit-il d’un ton neutre et quelques peu élevés, à cause du bruit ambiant.

Les deux criminels reprirent alors place au bar, ayant chacun leur idée sur le déroulement que la soirée pourrait bien prendre. Le seul but de Lucas était d'évaluer le potentiel de cette voleuse de drink. Lucas fit signe au barman qui lui indiqua d'attendre quelques instants, sa donna le temps au mécano de poser son regard sur la dame qui désirait se faire appeler Red.

Quelle raison mène une femme comme vous dans un endroit pareil?

Le barman arriva avant même que Red eu le temps de répondre. Ce dernier était enfin prêt à prendre la commande des deux criminels qui semblaient trop calme pour être vraiment ce qu’ils sont, fidèle à son habitude Lucas demanda un Cognac sec, laissant alors Red choisir de son breuvage.
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MessageSujet: Re: « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) « Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum. » (ft. Lucas&Ivy) EmptySam 27 Juil - 20:00


Lucas & Red



▽ Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum...
Ils quittèrent cet engouement de sons et de gens, préférant la tranquillité du bar pour entamer une vraie conversation. La criminelle se demandait vraiment si c’était sage de s’attarder sur une personne autre que pour ses expérimentations, mais c’était si fatiguant d’être constamment sur ses gardes qu’une soirée ordinaire à faire des rencontres ne lui ferait sans doute aucun mal. Les lèvres impeccablement maquillées de la demoiselle s’étirèrent dans un sourire amusé lors de la réplique sur les excuses. Les deux jeunes gens semblaient se comprendre sur ce point, demander pardon alors qu’on ne le pensait pas était aussi inutile que d’abandonner ce qu’on cherchait à faire par un affront. Comme si on provoquait pour ensuite se défiler. C’était lâche et, sans doute avait-il raison, seuls les faibles avaient ce genre de remords.

« Cela dit, la rancune est parfois une belle motivation… Le mécano, c’est plutôt original comme surnom. Vous possédez un garage peut-être ? »

Pamela ne faisait que retourner la politesse, car la réponse ne lui importait qu’un minimum. Le fait que le beau brun utilise un pseudonyme l’intriguait davantage. Qu’était-il pour se présenter à une jolie fille avec un pareil surnom ? Il voulait qu’on se rappel de lui ou, au contraire, qu’on ne puisse pas le nommer s’il venait à disparaître ? Arrivée au bar, la demoiselle se réinstalla gracieusement sur son siège, si ce n’avait pas été qu’un simple tabouret, on aurait dit une reine qui reprenait possession de son trône. L’attitude de femme fatale était plus une habitude maintenant que de la vanité, car le personnage de Poison Ivy lui collait de plus en plus à la peau. Cela dit, vu le genre de bar miteux et les réponses du mécano, la criminelle réalisait que ce type avait définitivement quelque chose de pas net. Tout comme elle. Néanmoins, l’idée d’alléger son porte-monnaie n’était pas encore exclue. Pour l’heure, il valait mieux simplement répondre à ses questions et tenter d’en savoir plus.

« Disons que je chasse l’ennui, mais c’est une peste qui revient rapidement à la charge. » Le barman arriva et leur demanda leur commande. Le cognac de son voisin ne la surprit pas et, se rappelant le goût agréable de son précédent verre de vin, la demoiselle commanda une autre coupe de la liqueur rougeâtre.

« Je cherche peut-être les ennuis qui sait. » dit-elle sur un ton énigmatique. Dure de mener une vie normale quand on n’avait qu’une envie et c'était de plonger la ville dans un chaos végétal. « Voler un verre à un inconnu, c’est soit être une idiote ou savoir parfaitement ce que l’on fait. D’après vous, je suis dans laquelle de ces deux catégories ? »

Pamela posa son regard émeraude sur le jeune homme et l’étudia. Elle n’arrivait pas à mettre le doigt dessus, mais quelque chose lui disait qu’ils avaient plus de point commun qu’elle ne l’imaginait. Leur commande arriva enfin et la jeune femme attrapa la coupe avant de la porter à ses lèvres. Sa colère s’était aussi rapidement envolée qu’elle s’était imposée.

« Alors, dites-moi monsieur le mécano, qu’est-ce qu’une femme comme moi et un homme comme vous devrions faire pour nous amuser dans un endroit pareil ? » demanda-t-elle sur un ton séducteur et en reprenant mot pour mot la question qu’on venait de lui poser.

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