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 We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley

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We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley _
MessageSujet: We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley EmptyMar 22 Avr - 1:07



« WE ALL NEED TO HAVE A LITTLE FUN! »

Ft. Jean-Paul Valley



Oh, j’aurais pu acheter juste les bâtons de dynamites mais comprenez moi, j’ai toujours privilégié l’artisanat que l’industriel! Aussi, j’avais fait ma liste de course, où ai-je eu l’argent ? Oh, mais est ce que je vous pose des questions ? J’ai mes secrets et vous les votre ! Je crois avoir vidé l’épicerie de ses stocks de saindoux et de soude. On aurait presque cru que j’allais ouvrir une usine de savon ! Détourner quelques produits avait été au final plus facile que prévu, je m’attendais à ce que cela soit plus compliquer. Beaucoup de nitrate de potassium et d’acide sulfurique (un de mes préférés en plus !). J’ai toujours adoré faire de la chimie, je ne sais plus exactement où j’ai pris mes connaissances (peut être d’expérience personnel ?), mais ça n’a à priori aucune importance ! Avant de commencer, je mets le cd de la 9ème symphonie de Beethoven puis je m’attèle à mon œuvre tandis que la musique résonne partout pour mon grand plaisir. Je mélange le saindoux et la soude pour obtenir la glycérine puis je finis par l’acide azotique avec le nitrate de potassium et l’acide sulfurique. Je suis tenté de sentir mon mélange mais je m’abstiens ! Je mélange les deux produits obtenus et je les mélange à des kilos de sciure. A certain passage de la musique de la musique je  fais de courtes pauses pour lever mes mains à la façon d’un maître d’orchestre. Je remplie des rouleaux vides de sopalin que je bouche avec de la pâte à modeler. Je commence à préparer le détonateur électrique et les fils nécessaire. Je relie le tout à un minuteur. J’ai toujours aimé la polyvalence, aussi, je prévois plusieurs télécommandes pour l’activer à distance si jamais l’ennui me prend !
Un masque de hockey que j’ai moi-même personnalisé (j’ai dessiné des cils sur l’embouchure pour l’œil gauche !). Je vais voir mes hommes de mains de fortune que j’ai trouvé, je leur ai promis du fric, plein de fric à la clef, je sais que ça appâte le commun des mortels. Mais y en a un qui semble un peu se dégonfler.
« Voilà, je me demande si c’est pas risqué m’sieur… Je veux dire…
- Oooh, Marthy, mon cher Marthy… Mes yeux le braquent et lentement je m’approche, je le prends par la nuque de manière plus ou moins sympathique, je le regarde bien en face, Tu sais ce que je déteste presque autant que les psy? Les mauviettes planteuses! Tu vas pas nous planter mon petit Marthy?
- Je pense pas que…
- Est-ce que je te paie pour penser ? Nan ! J’utilise le couteau de ma canne truquée et je l’égorge. Je me tourne vers les autres en liant mes mains d’un air souriant, Bon ! On va pouvoir passer à l’action ! »
Un petit mal aise plane sur le groupe, mais au moins ils savent qui est le patron. Primo, je fais toujours attention de prendre des lâches, les fortes têtes dans une équipe ça crée des mutineries, segundo, je fais attention de prendre des mecs qui ne se connaissent pas, on évitera ainsi de se regrouper contre le boss, c'est-à-dire moi. On arrive sur place, je prends le temps de cacher la bombe quelque part dans le centre-commercial situé dans les quartiers chics, je l’ai emballé dans un papier cadeau avant de l’activer : on a en tout 4 heures ! Je mets aussi d’autres paquets cadeaux mais ce sont des leurres ! C’est bien plus amusant ! Bien entendu, il n’y a que moi qui sache où elle se situe ! Question de principe, je ne partage pas mes secrets avec tout le monde ! Même pas vous, je suis sincèrement désolé ! Je sais où se trouve le point central de la sécurité, j’ai étudié les plans avant ! Pour qui me prenez-vous ? Je m’y dirige avec 3 de mes hommes, on élimine vite fait les agents qui gardent la pièce de mes désirs (bien entendu, nous ne sommes pas entré par la porte d’entrée du centre, personne ne sait encore que nous sommes là !). Je vire le corps froid du gardien pour m’installer à mes aises sur son fauteuil face à tous les écrans de surveillances. Je regarde en me moquant de deux, trois personnes. Je prends par la suite le micro, je m’éclaircis la voix et je lance d’un ton enjoué :
«  Mesdames, messieurs, les vieux, les jeunes, les chiens, les chats. Je me présente ! Eger ! Je vois sur mes écrans que tout le monde regarde vers le haut, étant interloqué, je continue sur ma lancée. Une bombe est cachée dans le bâtiment ! Dans 4 heures elle explose. Il y a 4 leurres également, faites attention ! Si vous ouvrez le paquet et que c’est un leurre, la bombe explose. Si quelqu’un entre ou sort d’ici, la bombe explose ! Donc je vous conseille de garder votre calme ! Je vois leur visage qui se déforme à cause de la peur, je sens mes boyaux remuer de plaisir, je finis alors par dire, je sens que l’atmosphère est un peu tendu non ? J’ai une idée ! Passons un peu de musique ! »
Sur ces mots j’insère un cd de la flûte enchantée de Mozart et la musique se met à se rependre partout comme la peste, en attendant, j’en profite pour appeler les flics et je leurs répète mon discours en ajoutant une petite information :
« Ce que nous voulons ? Un… Oh non soyons fou, quatre millions de dollars ! Cash s’il vous plait ! Inutile de vous préciser que ça presse. L’heure tourne ! »
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MessageSujet: Re: We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley EmptyMar 22 Avr - 21:08



We all need to have a little fun!

Jean-Paul Valley & Keymi Mouse



Jean-Paul venait de finir l'interview d'un riche patron de multinationale pour un de ses articles, traitant d'une des dernières innovations de cette même entreprise. Même si la teneur de cette découverte était encore tenue en grande partie secrète, le patron lui avait assuré que leur découverte, une fois commercialisée, allait représenter un vrai bond en avant pour la société. Le journaliste aurait bien voulu le croire, mais au final, il était ressorti un peu bredouille de l'interview. Mais il allait persévérer, jusqu'à ce qu'il réussisse à avoir l'exclusivité sur cette fameuse découverte.
Alors qu'il marchait tranquillement dans la rue, sa serviette en cuir contenant ses dernières notes passée en bandoulière, le journaliste prit la direction d'un des centre commerciaux du quartier. Pas qu'il ait une quelconque envie de faire les boutiques, mais en coupant par là, il gagnerait facilement une dizaine de minutes sur son temps de trajet. Surtout qu'il avait un gros coup de prévu pour ce soir. Une chance de porter un coup sévère à la mafia russe. Et il n'allait pas la laisser filer. Alors qu'il traversait le centre commercial, il jeta malgré tout quelques coups d’œil à droite et à gauche, mais sans véritable envie. Lui était plutôt du genre à s'habiller simplement, et à prendre le premier truc venu dans la penderie. Il savait bien s'habiller quand les circonstances le voulaient, mais sinon, il s'en fichait un peu. Pour l'interview, il s'était contenté d'un jean noir et d'une chemise dans les tons gris.
Jean-Paul fut tiré de ses réflexions par une voix un brin trop enjoué venue des haut-parleurs. Si le journaliste trouvait le début de son monologue était juste légèrement étrange, la suite le fit tout de suite moins rire. Celui qui parlait était un cinglé, qui venait de poser une bombe dans le centre. Rectification: cinq bombes, dont quatre leurres. Et si un des leurres était ouvert, la vrai bombe explosait. Retenant un juron, Jean-Paul adressa un regard furieux à la caméra de sécurité la plus proche. Évidemment, c'était lorsqu'il avait le plus besoin de son costume que ce dernier n'était pas à portée de main. D'un geste rapide, il sortit de sa poche une oreillette ainsi qu'un micro, glissa la première dans son oreille et épinglant le second au col de son sweat, avant de composer un numéro sur son téléphone. L'interlocuteur, décrocha presque aussitôt, et Jean-Paul cracha sans attendre:

- Michael, on a un problème.
« Quel genre de problème? »
- Prise d'otage au centre commercial du Downtown Gotham. Celui en face du Regent Hotel. Une bombe, quatre leurres, et quatre heures pour régler le problème.
« OK. Je pirate les caméras de sécurité du centre...et...ça y est! Je suis dedans. Je compte au minimum une demi-douzaine de types, mais y en a certainement plus. Leur boss est encore au PC sécurité. »

Marchant d'un pas aussi tranquille que possible, Jean-Paul s'empara discrètement d'une casquette, qu'il vissa sur sa tête, et d'un sweat posé sur un banc, dont il releva la capuche. Avisant une porte menant aux zones réservées au personnel, il l'ouvrit, avant de se glisser dans le couloir désert. Le journaliste se glissa jusqu'à un vestiaire, y entra, avant d'en bloquer la porte. Pendant qu'il le fouillait à le recherche d'un quelconque objet pouvant servir d'arme, il lança dans son micro:

- Tu me vois?
« Cinq sur cinq. Zone dégagée, tu peux faire tes courses en paix. Ah, et les flics ont été prévenus, ils sont en route. »

Crochetant les casiers l'un après l'autre, il finit par trouver un tournevis, ainsi qu'un câble USB. À défaut d'un vrai couteau,  d'une corde à piano et deux deux pistolets avec silencieux, il pourrait toujours faire un semblant d'Hitman. Laissant sa serviette dans le vestiaire, il en ouvrit légèrement la porte, s'assura que la voie était libre, avant de sortir de la pièce. Maintenant il pouvait commencer à travailler...


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MessageSujet: Re: We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley EmptyMer 23 Avr - 7:10



« WE ALL NEED TO HAVE A LITTLE FUN! »

Ft. Jean-Paul Valley



J’étais content, la journée s’annonçait radieuse ! Oh, oui ce serait peut être la dernière si la bombe explose, mais quelle importance ? Vous savez ce que j’ai remarqué ? Quand on n’a plus peur de la mort, on vit plus longtemps, c’est ironique non ? Les pieds sur le tableau de contrôle rempli de bouton avec de petites ampoules clignotantes, je prenais trois chewing-gums à la fraise que je croquais avec un malin plaisir. Soudainement, je me redresse et je pose mon doigt sur celui qui me fixe à travers l’objectif, pourquoi tant de haine ? Qu’ai-je fais de  « mal » ? Je n’ai pourtant pas été grossier, je le suis de mon doigt avant de me rejeter en arrière sur mon fauteuil, ma tête se penche sur le côté : « Mais que fais tu mon petit bouchon ? Ha ha ha. Ca s’annonce intéressant. » Je ne dois pas nier l’évidence, nous avons un joyeux luron qui joue les héros. Les autres me regardent en attendant des ordres, je ne lève pas mes yeux vers eux trop concentrés sur les écrans. Néanmoins je prends le temps de répondre : « Pas de soucis. » Le neutraliser ? Mais hors de question ! L’individu était trop amusant, et j’aimais ça. Je voulais sentir sa respiration, son pouls, voir ses veines battre tandis qu’il sert ses poings. Une partie d’échec ? J’adore les échecs ! J’ai toujours aimé le fou, allons savoir pourquoi. Si ce petit bouchon voulait que l’on joue, on allait jouer ! Je ne refuse jamais une partie ! Allons-y ! Je te laisse commencer mon petit bouchon ! Après tout, c’est toujours les blancs qui commencent la partie !
Pendant ce temps, je ne vais pas attendre le coup sans rien faire ! Je me lève, faisant tournoyer ma canne autour de mon poignet. « Je n’ai plus de chewing-gum, je vais aller me servir ! Si y a quelqu’un, faites vous plaisir, butez le ! » Sur ces derniers mots, je sors en sautillant de ma cachette. Je passe devant les gens qui se tournent vers moi. Un homme d’âge mur m’interpelle : «  Enf*iré ! Laissez nous partir d’ici ! Il y a des familles, des enfants ! Lentement, je me tourne à 90° sur la gauche pour être bien face à lui, j’avance d’un pas serein et d’un air rieur je dis
- Ha ha ha. Vous me rappelez mon psy et je ne sais plus où j’ai caché le corps. Peut être qu’en faisant une reconstitution très précise de sa mort, je pourrais m’en souvenir ? Voulez vous tenter l’expérience monsieur …  Je zieute la petite carte sur son torse, … Richard ? Il déglutit et fait un pas en arrière, je le fixe intensément dans le blanc des yeux, Oh, pas de réponse je prends ça pour un oui alors ? »
Il s’apprête à hurler un non, quand je pose la tête de ma canne devant ses lèvres pour lui intimer le silence. Puis je pars d’un pas rapide jusqu’à un paquet de chewing-gum en rayon, en gloussant je disais « Ah, fraise, mon préféré. Puis je lève le doigt en fermant les yeux pour me laisser bercer par la musique, la reine de la nuit… Hm… Bien, je vais vous emprunter ce paquet ! Inutile de préciser que je ne paierais pas. » Je les regarde, le dégoût et la peur que je leur procure est tellement saisissant, je sens tous mes sens s’éveiller un à un. Ils souviendront toujours de moi ! Car ces faits seront suffisamment marquant, rien qu’à travers le traumatisme et les cauchemars qu’ils nourriront en pensant à moi. J’ai l’impression de modeler leur visage en les tordant d’avantage, je saisis une gamine et je la rapproche de moi, assez  près pour sentir son souffle saccadé et irrégulier, sa mère veut intervenir , je lui souris « Deux minutes madame, hé ma petite puce, tu veux que je te raconte une histoire ? Quand j’avais ton âge … Je regarde vers le haut en y réfléchissant (signe du mensonge ?), … j’avais une mère presque aussi belle que la tienne. Je ne connaissais pas mon père car j’étais l’œuvre inachevé d’un viol. Le viol c’est quand un monsieur vient pour … Bref, passons, je disais donc qu’elle était belle, mais elle était aussi un peu dérangée et souvent dépressive ! Un jour, elle était dans le salon et elle a commencé à s’arroser d’essence et là, elle a craqué une allumette puis pffouuu. Elle s’est consumée sans que je puisse faire grand-chose, elle hurlait sa douleur, j’ai quand même saisi un extincteur pour l’éteindre, son corps était noir comme un charbon, elle qui avait une peau si blanche ! Sur son visage cramé était marqué toutes la douleur et la souffrance emmagasinées durant toute sa vie ! Et bizarrement je ne l’ai jamais trouvé aussi belle, elle était devenue une statue et grâce à ça je me rappelle encore d’elle ! Donc, si tu veux, je peux rendre ta mère plus belle ha ha ha. » La gamine hurle et s’enfuit de ma poigne pour aller contre sa mère en pleurant, je choque le monde autour de moi, j’aime ça, je marque les esprits. Je commence à me promener déci-delà à travers les magasins, je jette un coup d’œil de temps à autre, les gens me suivent du regard, terrorisé juste par moi. Je les marquais de ma signature, leurs angoisses, terreurs, dégoûts étaient mon œuvre, je sculptais leur expression tordu à ma façon ! Par la violence ! Je revenais au cœur de la sécurité, puis je me rassois, je sais que mon petit bouchon viendra me trouver et j’ai tellement hâte ! En attendant je sais que les flics sont arrivée, ils m’appellent et m’implorent de relâcher les enfants au moins. Je ricane : « Oh j’aimerais bien mon cher poulet, mais si quelqu’un sort, ça explose ! Ha ha ha ha ! Dites, avez-vous une femme ? Pas de réponse ? Donc vous en avez une, est ce qu’elle est belle ? Ne répondez pas, je suis sur qu’elle est magnifique ! Ca me rappelle une histoire… Avant j’avais une femme magnifique, elle était tout pour moi et … un jour, pas de chance, elle meurt dans un tragique accident, elle était tombé dans une bassine de cire chaude. On faisait la visite d’une usine de production de bougie ! Et sous forme de statue, elle restera belle à jamais ! Si vous avez peur que votre femme vieillisse c’est une bonne solution contre les rides ! Oh ? Il a raccroché ! Quel malotru ! »

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MessageSujet: Re: We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley EmptyMer 23 Avr - 12:07



We all need to have a little fun!

Jean-Paul Valley & Keymi Mouse



Continuant à avancer dans les couloirs déserts de la zone réservée au personnel, Jean-Paul se dirigeait d'un pas vif vers le PC sécurité. Avec de la chance il pourrait y trouver le cinglé responsable de tout ça, et le mettre hors d'état de nuire. Et une fois privés d'un chef, les sbires ne mettraient pas longtemps avant de se rendre, le justicier le savait parfaitement. Et si il avait vu juste, les mecs qu'il affrontait était plus là pour le pognon que pour autre-chose. Et si ils se rendaient compte qu'ils ne toucheraient pas leur pognon, ils n'allaient probablement pas aggraver les choses en continuant la prise d'otages. Mais pour mettre fin à cette histoire, il devait aussi trouver la bombe, la vraie, et la désamorcer. Et la localisation de la bombe, il ne la saurait qu'en capturant le chef, vivant. Et si jamais il ne trouvait que des sbires là ou il se rendait, il pourrait toujours pirater le réseau informatique pour que Michael soit ses oreilles en plus de ses yeux. Et pour foutre un peu la pagaille dans le centre commercial. Histoire qu'il évolue dans un environnement qui lui soit plus favorable.

« JP, ennemi dans le couloir sur ta gauche. Vingt mètres. »

Jean-Paul se cacha à l'angle du couloir, avant de se ramasser le plus possible sur lui-même. Faisant passer le tournevis dans sa main droite, il se prépara à attraper la brute avec son autre main. Ce dernier commençait à peine à être visible que Jean-Paul l'attrapa par la tête, avant de l'envoyer s'écraser tête la première contre le mur d'en face. Et pour compléter le tout, il lui colla un coup de talon dans le nez, qui craqua sans se faire prier. Fouillant l'homme, il récupéra un couteau, un pistolet semi-automatique, ainsi qu'une radio. Prenant donc possession de ses trois trouvailles, il traina le corps jusqu'à une benne, avant d'y cacher le type inconscient. Reprenant sa route, il souffla sans son micro:

- Des nouvelles de leur boss?
« Il est dans la galerie marchande. Et j'ai aucun visuel dans le PC sécurité. »
- Des infos sur la bombe?
« Toujours rien trouvé. L'algorithme cherche encore. J'te tiens au courant. »

Jean-Paul finit par arriver devant la porte du local de la sécurité. Avisant une caméra braquée sur la porte il réussit, après avoir trainé un carton pour lui servir de marche-pieds, à la désactiver. Se plaçant contre le mur qui jouxtait la porte, il attendit que cette dernière ne s'ouvre, avant de bondir. Le type juste en face de lui se prit son poing en pleine mâchoire, et les deux autres, surpris par qu'un civil les attaque, mirent beaucoup trop de temps à réagir. L'un finit la tête dans l'un des écrans de contrôle, alors que l'autre eut la jugulaire tranchée, et se vida de son sang sur le sol. Le premier gars, qui s'était remis du coup de poing, tenta de le ceinturer avec ses bras, mais Jean-Paul s'en débarrassa d'un coup de boule avant de l'achever d'un coup de coude en pleine tempe. Fermant la porte d'un coup sec, il la bloqua avec une chaise, avant de se mettre à pianoter sur le clavier. Usant de vieux tours de hackers qu'il avait apprit des années plus tôt, il mit à peine dix minutes pour pirater l'ensemble du réseau informatique du centre, tout en constatant sur l'un des écrans que la police était arrivée, mettant en place ses équipes d'intervention devant chaque sortie connue du centre. Son piratage allait permettre à Michael de ne pas être un simple intrus dans le système vidéo du centre. À présent, il pourrait contrôler les caméras aussi facilement que si il était assis à la place de JP. Alors qu'il finissait à peine son piratage, il vit sur un autres écran que des sbires du preneur d'otages se dirigeaient vers le PC. Laissant volontiers échapper un juron, Jean-Paul avisa une grille du système de ventilation, qui faisait environ un mètre sur un mètre. Trop pressé pour la retirer vis par vis, il se contenta de l'arracher de ses gonds, se glissa dans le conduit, avant de remettre la grille en place. Il eut à peine le temps de reculer dans l'ombre du conduit que sa maigre barricade cédait et que la porte s'ouvrait à la volée...


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MessageSujet: Re: We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley EmptyMer 23 Avr - 16:40



« WE ALL NEED TO HAVE A LITTLE FUN! »

Ft. Jean-Paul Valley



En revenant, je regardais mes hommes à terre, il y avait une grande flaque de sang au sol. Un rictus tordu sur le visage, je donne un coup de pied à un des cadavres pour le dégager plus loin : « Alors comme ça mon petit bouchon est passé par là ? Ha ha ha … Je sais qu’il m’entend. Je m’assois sur le panneau de control, je crois que c’est à mon tour de jouer ? Allons-y ! Mon petit bouchon ! Tu as dégommé quelques un de mes sbires, c’est vilain ça, un couteau planté dans le dos, je suis quelque peu déçu ! Tu veux trouver les bombes hein ? Tu vas avoir du mal, pour ma bombe artisanale, je n’ai pas utilisé des explosifs modernes décelables, j’ai usé de bâton de dynamite faites mains, c’est plus authentique tu vois ? Je me tourne vers mes hommes. Je choisis 10 personnes parmi les otages, vous les alignez et vous les descendez, n’oublions pas les bonnes manières. Je veux titiller notre petit justicier. »
Je fais tourner le fauteuil sur lui-même. Quand mes hommes sont sortis, je sors de ma poche une souris mécanique ressemblant plus à un jouet pour chat, je la pose sur le mur et je l’active. Elle fait de petits cliquetis et remonte le mur pour entrer dans le conduit d’aération, grâce à sa petite taille, elle passe la grille sans soucis. Je sors après ça, j’entends un petit « bip-bip » et boom ! La souris explose dans le conduit, une petite invention de ma part, j’ai toujours été doué de mes mains pour ce genre de création ! C’est une grenade revisitée à la sauce Eger ! Je sautille jusqu’au hall où mes hommes m’attendent. D’un pas lent et assuré, la musique de Mozart suit son cour tandis que je pointe du doigt quelques otages, après quoi, mes sbires les saisissent et les alignent à genoux. La plupart pleurent et les autres civils sont tétanisés, par lâcheté et par peur d’être les prochains ils se font tout petits. Je passe devant eux leur demandant leur nom à un à un, ils ont du mal à me répondre, ça me fait rire. Il y a donc : Barton, Steven, Yvonne, Abby, Clarice, Lawrence, Maxime, Laura, Kevin et Nils. J’approche de la dénommée Clarice qui semble dégoulinée de tous les pores de la peau de son visage, j’utilise le bout de ma canne pour lever son visage vers le mien et tout souriant je lui demande : « Clarice, ma choute, donne moi un chiffre compris entre 1 et 10. Et dit moi dans un livre tu préfères le début ou la fin ? Elle ne semble pas comprendre mais étant terrorisée, elle me répond quand même
- C-cinq et … et la…fin…
- Parfait ! Je la lâche et je lève les yeux vers le haut comptant sur le bout de mes doigts. Je dis enfin, voici dans quel ordre vous allez être descendu, ouvrez bien vos petites oreilles mes amis ! Lawrence, Abby, Laura, Steven, Barton, Clarice, Yvonne, Maxime, Nils et enfin Kevin ! Vous direz salut à vos dieux respectifs de ma part ok ? Bon Lawrence, une dernière volonté ? L’homme est sans voix, je hausse les épaules et je demande de même aux autres qui ne répondent pas mieux, Bon tant pis ! » Je fais signe à mes hommes pour qu’ils commencent.
Une première détonation qui fait hurler certaine personnes dans l’assemblée, parmi mes « heureux » élus, quelques un prie mains jointes en pleurant. Les parents cachent les yeux de leur enfant en les prenant contre eux, les proches sont effondrés et moi je jubile ! Je jette mon chewing-gum car il n’a plus de goût et j’en prends un autre. Le sang de Lawrence s’étend par terre et je passe mes pieds dedans comme si je patinais et que je faisais un dessin dans la glace.  La seconde détonation se fait entendre, et Abby la jolie caissière s’affaisse au sol. La troisième se prépare, Laura, une indienne ravissante se met à prier avec plus de ferveur. Sur leur figure est figée l’expression de la terreur, voir un humain face à la mort c’est tellement exaltant ! En outre, je sais que mon petit bouchon nous voit, alors ça me fait très plaisir ! Va-t-il se montrer pour les sauver ou me laisser les abattre un à un ?

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MessageSujet: Re: We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley EmptyJeu 24 Avr - 8:52



We all need to have a little fun!

Jean-Paul Valley & Keymi Mouse



Jean-Paul observa les hommes entrer, et il ne mit pas longtemps avant de comprendre qu'une simple grille de ventilation le séparait du responsable de la prise d'otage. Il n'avait qu'à bondir hors de sa cachette pour lui coller une bonne raclée. Mais une petite voix dans sa tête lui disait que c'était ce que le type attendait. Il devait se douter que le justicier était encore dans le coin, prêt à agir. Restant donc dans l'ombre du conduit, il écouta donc l'autre lui expliquer comment il avait conçu sa bombe. De l'artisanal donc? Ce qui voulait dire que son ennemi avait une formation en chimie. Et aussi une bonne dose de folie, vu le ton qu'il usait pour parler de son travail. Le journaliste se retint de crier lorsque il ordonna à ses hommes de choisir dix personnes, pour ensuite les exécuter une par une. Alors que les sbires sortaient, le chef resta, avant de déposer un objet près de la grille de ventilation. Retenant un juron, JP fit aussitôt demi-tour, avant de s'éloigner le plus vite possible. Alors qu'il tournait à un angle du conduit, l'objet, qui avait passé la grille, explosa dans le conduit, et la déflagration envoya le justicier au sol. À moitié sonné, il se releva avec difficultés, avant de sentir un liquide chaud couler le long de sa tempe droite. Un éclat lui avait entaillé les chairs, mais visiblement, seul le muscle avait été touché, et la blessure n'était pas sérieuse. Remontant le conduit aussi vite que possible, il trouva une grille qui donnait sur la galerie marchande, et l'arracha de ses gonds d'un coup de pied. Visiblement, il était au premier étage du centre commercial, près d'un escalator.
Soudain, il entendit une détonation provenant de sa gauche, et sans attendre, il piqua un sprint dans cette direction. Michael lui disait quelque-chose dans son oreillette, mais Jean-Paul n'écoutait pas ce qu'il disait. Lorsqu'il fut à moins d'une dizaine de mètres du point d'origine du tir, il entendit une nouvelle détonation. Finissant son sprint d'une glissade qui l'ammena contre un panneau en plexiglas noir, il jeta un bref coup d'oeil à ce qui se passait en bas, et vit deux corps baignant dans leur propre sang, alors qu'une troisième personne innocente allait aussi y passer. Laissant échapper un juron, il se retint de crier. Deux innocents venaient de mourir par sa faute. Il ne pouvait pas tous les laisser y passer simplement pour assurer sa propre survie. Mais si il se rendait, tous ceux qui étaient morts l'auraient été pour rien, et il privait la police du seul moyen d'en finir rapidement avec cette tragédie, à savoir lui-même. La troisième détonation arriva avant qu'il n'ait eut le temps de trancher, et ne fit rien pour l'aider à choisir. Finalement, il opta pour un plan d'action aussi dangereux qu'insensé. Cachant micro et oreillette dans sa chaussure, il attrapa le pistolet qu'il avait dérobé à un des sbires, en vérifia le chargeur, avant de saisir son couteau dans sa main libre. Aussitôt, il bondit par-dessus le panneau de plexiglas, le crocheta le temps de pivoter à quatre-vingt-dix degrés, avant de se laisser tomber sur un des hommes en bas. S'écrasant tout deux au sol avec un bruit sourd, Jean-Paul, qui n'avait rien vu que l'autre lui avait servit de coussin, agit aussitôt. Passant son bras qui tenait le couteau sous la gorge du malheureux qu'il avait écrasé, il s'improvisa un bouclier humain, avant d'abattre le sbire le plus proche. Puis il braqua le canon du pistolet sur le chef de la bande, avant de s'exclamer:

- Tuez-moi, y en a deux de plus qui partirons avec moi!

Puis il se releva, avant de faire deux pas sur sa droite, histoire de s'éloigner des civils, tout en mettant sa cible entre lui et les autres sbires. Prenant enfin le temps de regarder en détail son adversaire, il s'attarda à peine sur son visage caché par un masque de hockey, mais put deviner que l'homme était du genre à se maintenir en forme plutôt qu'à glander sur son canapé. Et il devait sûrement savoir comment se servir de la canne qu'il tenait.

- Approche, et t'y passe. Bref...ou est la bombe?

Jean-Paul assura sa prise sur son arme, tout en gardant le canon pointé sur sa cible. Du coin de l'oeil, il voyait les sbires restants se regrouper autour de lui, et autant d'armes braquées dans sa direction. Si l'un deux s'avisait de doubler son patron et de tirer, les autres feraient de même, et tous ses talents de justicier ne l'aideraient pas à se sortir d'une pluie de balles. Pas plus que le type qu'il lui servait de couverture...


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MessageSujet: Re: We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley EmptyJeu 24 Avr - 12:01



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Je faisais tourner ma canne autour du poignet quand soudain on entend un bruit sourd. Enfin, le héros sort de sa tanière, je me tourne doucement vers lui avant de me mettre à rire, les choses prenaient une tournure très intéressante ! Il prenait un de mes hommes comme bouclier, pas très malin, il devrait savoir que je n’en avais rien à faire et que j’avais de toute manière prévu de les tuer par la suite ! S’il le faisait à ma place cela m’allait parfaitement ! Mais à la situation, je ne peux m’empêcher de dire : « Enfin tu te montres mon petit bouchon ! Oh, c’est dangereux de pointer une arme sur quelqu’un ça peut blesser tu sais ?  Alors qu’avons-nous là ? Un jeune homme qui souffre du complexe du héros ? Tu t’en veux ? Après tout 3 personnes sont mortes pour toi ! C’est pas mal trois non ?  Je marche lentement vers un civil, une jeune femme sur qui rapidement je me jette avant que l’autre ait le temps de m’abattre, elle hurle et se met à chialer. Le couteau sous la gorge de la jeune rousse qui me servait de bouclier, je lui souris, Tu vois, moi aussi je sais faire ça ! Tu veux savoir où est la bombe ? Pose cette arme et on verra ensuite ! »
Je m’approche lentement tout en parlant pour mieux être face à lui, de ma poche je sors un petit spray lacrymogène et je lui asperge le visage avec (Oui je sais c’est de la triche, mais je n’ai jamais dit que j’étais fairplay !). Rapidement, je jette la jeune femme et je donne un violent coup de canne sur sa main pour le désarmer, je lui donne un coup de boule de suite avec la tête de ma canne (je profite un peu de l’avoir légèrement désorienté par mon coup bas) et je ramasse son arme à feu. Je vide le chargeur par terre et je lance ce qu’il reste dans la fontaine. « Maintenant messieurs, attrapez le ! Je le veux vivant ! » Sur ces mots, les hommes se jettent sur l’homme désarmé pour tenter de l’appréhender.  Mais je n’ai aucun doute que mon petit bouchon va s’en sortir ! Je reprends la jeune femme que j’ai jetée avec moi  avant de partir en courant dans les couloirs. J’ai toujours adoré jouer au chat et à la souris ! Bien entendu la souris c’est moi et la souris a plus d’un tour dans son sac ! Je prends les escaliers, je lâche une souris mécanique sur mes pas faisant sauter les escaliers histoire de le ralentir. La jeune femme me suit en pleurant, je la fait danser sur la musique à certain moment. J’étais hilare ! J’éprouvais tellement de plaisir dans mon œuvre, cette journée aura été très amusante !  Je regarde l’heure, ha ha ha. Il reste une demi-heure avant le feu d’artifice final. Les flics dehors avaient réuni l’argent déjà, mais je dois avouer que je n’étais pas intéressé puis il ne fallait pas se mentir hein ! Les billets verts qu’ils allaient donner seraient marqué pour pouvoir m’avoir juste après !
Je retourne dans le centre de la sécurité où j’observe à travers les écrans que mes hommes sont déjà à terre. Je suis seul maintenant ! Serait-ce l’heure du face à face ? En attendant j’appelle la police pour dire de poser la mallette pleine de fric près de l’entrée, un de mes hommes vient en voiture pour la récupérer et repart, je les ai prévenu que si mon coéquipier ne m’appelait pas dans les 5 minutes qui suivaient, je ferais tout péter, je ne voulais pas qu’ils l’abattent de suite ! Après ça, j’attache avec du ruban adhésif, la jeune femme sur le fauteuil et je m’éclipse. Pour mon évasion, j’ai tout prévu ! Un hélicoptère dérobé à un club  m’attend sur le toit de l’immeuble d’à côté, je n’aurais qu’à y sauter et je partirais de là ! Je prends un chewing-gum et je pars en courant, où vais-je ? Je suis en route pour les toits ! Mais voilà, mon petit bouchon va surement me rattraper avant ! Va-t-il m’arrêter ? Surement ! Je sais aussi que mon « coéquipier » va tenter de me rouler avec l’argent, je le laisse faire entièrement car j’ai piégé sa voiture.  Quand il sera arrivera sur l’autoroute, la voiture explosera ! Revenons au présent ! Je glousse en disant :
« Mon petit bouchon ! Tu veux que je te raconte une histoire ? »
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MessageSujet: Re: We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley EmptyJeu 24 Avr - 20:20



We all need to have a little fun!

Jean-Paul Valley & Keymi Mouse



Jean-Paul laissa échapper un juron lorsque face à lui, le responsable de la prise d'otage prit une civile comme bouclier humain, la menaçant avec un couteau. Il ne pouvait laisser une quatrième personne y laisser la vie, simplement pour pouvoir arrêter un fou furieux plus vite. Ça allait à l'encontre du moindre de ses principes. Déjà qu'il était un justicier qu'on pouvait aisément qualifier de borderline, vu que lui n'avait aucun scrupules à tuer si nécessaire. Mais de là à laisser des innocents périr, c'était une toute autre histoire. Si il voulait que cette histoire se termine au mieux, il allait devoir se plier au jeu du criminel. Relâchant sa prise sur l'arme, ne la tenant plus que par son pouce passé dans le pontet entourant la gâchette. Puis il relâcha son bouclier humain, qu'il repoussa d'un coup de pied.
Et dans les instants qui suivirent, il se retrouva à terre, presque totalement désarmé et à moitié sonné. Si il avait eu le réflexe de fermer les yeux lorsqu'il avait vu le spray lacrymogène, il s'était quand même prit le coup de canne. Il entendit son adversaire ordonner aux sbires qui lui restait de le capturer, mais Jean-Paul resta à terre, feignant d'être encore aveuglé par le spray. Évidemment, ils allaient s'en donner à cœur joie pour le tabasser et lui faire regretter d'avoir voulu jouer les héros. Jean-Paul aurait presque pu les plaindre. Si il avait eu affaire à des gars sans histoires, et si ils n'avaient pas eu affaire à l'Ange de la Mort.
Si il se contenta d'encaisser le premier coup, un banal coup de pied porté au ventre, la suite fut bien différente. Il attrapa à deux mains le pied qui filait vers son visage, avant de le tordre violemment, avant de faucher son propriétaire avec sa jambe tendue. Enchainant avec une roulade, il se releva sur ses deux jambes, avant de se mettre en position de combat. Voyant leur ami au sol, les cinq sbires restant eurent un bref moment d'hésitation. Qui leur fut fatal. Bondissant vers le plus proche, il passa ses mains derrière sa tête, avant de lui mettre un violent coup de boule. Se retournant vivement, il bloqua un coup, puis un second, avant de profiter de l'élan de son agresseur pour l'envoyer contre son copain blessé, les deux finissant enchevêtrés dans un tas de membres pathétique. Les trois restants, poussés par la rage et par la peur de voir leur part du butin leur échapper, oublièrent la consigne de leur patron. Face à eux, le justicier  s'était transformé en ce que ses anciens maitre avaient mit tant d'années à créer: une arme vivante. JP ne réfléchissait plus, se contentant de suivre son instinct et de laisser son corps faire le reste. Et avant qu'il ne le réalise, les trois autres étaient à terre, dans les vapes, avec leurs autres copains.
Prenant à peine le temps de vérifier si les civils allaient bien, il récupéra micro et oreillette dans sa chaussure, avant de s'élancer dans la direction prise par le responsable de ce foutoir.

« JP, ça va? »
- Ouais, grogna le journaliste. Ou il est?
« Il est...il vient de quitter la zone du PC sécurité. Il se dirige vers les escaliers, tout seul visiblement. Et...il monte vers le toit. Si ça continue, j'vais le perdre. »

Grimpant un escalator quatre à quatre, Jean-Paul prit à peine le temps d'ouvrir la porte menant au zones réservées au personnel qu'il remontait déjà le couloir à toute vitesse. Suivant les indications de Michael, il finit par arriver à un escalier de service, qu'il avala aussi vite que l'escalator. Ouvrant la porte d'un coup d'épaule, il déboula sur le toit, et vit à quelques mètres de lui sa cible. Alors qu'il aurait pu s'enfuir, ce dernier se tourna vers lui, avant de lui demander si il voulait qu'il lui raconte une histoire. Avisant un hélicoptère posé sur un toit proche du centre commercial, Jean-Paul s'exclama avec assez de clarté pour que Michael entende tout:

- Vous avez jamais eu l'intention de désamorcer la bombe, n'est-ce pas? Ni de récupérer ce que vous avez demandé au GCPD?

Voila le genre d'histoire qu'il voulait entendre. Il se fichait bien du reste, surtout qu'il y avait de grandes chances que l'autre lui raconte des bobards. Vu qu'il avait l'air d'être sorti du même moule que le Joker. Ce qui n'était pas pour rassurer le justicier. Se déplaçant de façon à se retrouver entre les toits adjacents et celui qu'il poursuivait, Jean-Paul se prépara au combat, jambe droite en avant et légèrement fléchie, prêt à bondir dans n'importe quelle direction, et les bras légèrement écartés. Autant se préparer à toutes les éventualités...



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MessageSujet: Re: We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley We all need to have a little fun! FT. J.P. Valley EmptyVen 25 Avr - 7:18



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Je lui souris, jonglant avec ma canne que je faisais passer d’une main à l’autre, je l’écoute parler avec un certain amusement. Je me lèche les lèvres et je semble réfléchir à sa question en levant les yeux au ciel. « Oh oui, bien sûr la bombe ! En effet, je n’avais nullement pas l’intention de la désamorcer ! Pour quoi faire ? Que ces gentes personnes vivent ? Ha ha ha. Tu as raison mon petit bouchon ! Je ne suis absolument pas intéressé par l’argent. C’est une valeur illusoire mais tu penses bien que je n’allais pas venir là sans rien demander, sinon aucun de mes hommes ne m’auraient suivi. L’appât du gain et la crainte, voilà ce qui marche à tous les coups ! Tu sais quoi. Je suis un bon joueur, battons nous dans les règles de l’art ! »
Sur ces mots, je m’élance en avant mais contrairement à ce qu’on peut croire, alors qu’on aurait dit que je m’apprêtais à attaquer de face, je pivote au dernier moment sur le côté pour lui asséner un coup à l’arrière du crâne, j’enchaine avec un autre coup de boule dans l’estomac avec la tête de ma fidèle canne pour l’envoyer à terre, je lève haut ma canne en riant. Il était vrai que j’avais de remarquable aptitude au combat, mais rien à voir avec un sport de combat pratiquée en club ou autres. J’étais aussi souple qu’un roseau, on aurait presque dit que j’entretenais ma forme physique régulièrement. Je me doutais bien que mon adversaire se laisserait avoir une fois mais pas deux et qu’il allait vite avoir le dessus. Je ne sais pas de quel école il sort mais il a des aptitudes physiques non négligeable et je ne doute pas un instant que mes coups, qui auraient pu assommer quelqu’un de banal, ne lui ont pratiquement rien fait. J’entends résonner dans ma tête, la symphonie 9 de Beethoven.
Quand il m’envoie valdinguer au sol, je mets mes mains au sol pour me propulser tout en faisant sauter ma canne en l’air afin de me relever et de rattraper mon arme. Je tente une nouvelle attaque mais cette fois il évite chacun de mes coups et je suis aussitôt rejeté en arrière, je ne peux pas m’empêcher de rire. Je ne sais combien de temps cela dura où je tentais des attaques qui n’aboutissaient pas pour encaisser des coups douloureux. Je m’arrête enfin quand je sens un goût métallique qui m’est très familier en bouche, je crache un filet de sang. Mon corps a ses limites malheureusement! Le cul à terre, je suis mort de rire alors que je recule doucement. J’ai le pif aussi en sang que mes lèvres en sont couvertes. Je dois dire qu’il m’a bien amoché, définitivement ce n’est pas un type comme les autres. Mon petit bouchon me fascine et il me donne de l’inspiration, je me sens vivre ! Je sors une montre à gousset pour lui montrer l’heure : « Mon petit bouchon, il te reste 10 minutes ! Je suis un bon joueur, je te laisse le choix. Soit tu décides à tes risques et périls à me poursuivre pour m’arrêter. Soit tu sauves ces gens car je te dis où est caché mon petit chez d’œuvre ! Attends que je me souvienne… Ah oui, je l’ai caché dans le boitier de contrôle manuel de l’ascenseur ! Tu le reconnaîtras de suite, c’est un joli paquet cadeau ! »
Sur ces mots, je bondis pour me relever et je prends mon élan en courant pour sauter de l’autre côté sur le toit adjacent pour atteindre l’hélicoptère. Je lui laisse à son loisir trouver ma petite bombe pour tous les sauver ! Sachant que j’ai un petit secret. Il n’y a rien à désamorcer ! Ha ha ha ! En effet, j’ai « oublié » un petit câble pour relier toutes mes dynamites au détonateur ! Un coup de bluff ! A quoi tout cela avait servi ? Pourquoi chercher quelques explications farfelues ? On vous dira simplement que je suis une espèce de taré sans vergogne ! Tout cela était mon œuvre ! Je l’avais signé d’un vigoureux Eger et bientôt on parlera de moi ! J’avais l’intention en tant qu’artiste maudit de marquer les esprits de tous ! Si je tuais tout ces gens, qui pourrait raconter ce qu’il s’est passé ? C’est du bon sens ! Quant à mes hommes de mains encore vivant, ils se feront attrapé sans aucun doute et ils ne pourront rien dire du tout car ils ne me connaissent pas, ils n'ont jamais vu mon visage. Quand mon petit bouchon trouvera ma bombe et qu’il ouvrira le paquet, il verra qu'à la place du câble reliant le détonateur aux dynamites il y aura une fausse souris (qui était initialement un jouet pour chat) et je suis sûr qu’il comprendra de suite ! J’espère de nouveau le rencontrer, j’espère même qu’il cherchera à me traquer pour mon plus grand plaisir ! J’ai toujours aimé joué à Chat, et moi je suis toujours la petite souris ! Je démarre l’hélicoptère prêt à quitter ce beau monde ! Ah la la, mon petit bouchon, tu es le chat de mon coeur!
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