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 Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue.

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Invité

may be a mutant
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Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. _
MessageSujet: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyVen 21 Sep - 1:05



Dante Gabrielli
Aidan Turner • Citizen • PI • Elphaba

Bonjour monsieur Alfred! On m'appelle plus souvent Dan même si en réalité je m'appelle Dante Gabrielli. J'ai 33 ans ans et suis né le 8 Janvier 1979 à Chicago. Je suis d'origine Americano-Italienne. On dit de moi que je suis calme, patient, capable de garder mes promesses, ouvert, amical et impulsif, trop franc, très mauvais à gérer mon stress personnel, trop enclin à introniser, impertinent. Je suis animateur radio et côté vie sentimentale je suis hétérosexuel et célibataire.

Il faut savoir que je suis aveugle. Depuis mes 7 ans à vrai dire. Ca ne m'a pas empêché d'apprendre le chant et la guitare. A me battre aussi. De plus, je suis le créateur et l'animateur principal d'une radio pirate défendant Batman. Oui, Batman, pas Harvey Dent..

Gotham, je m’y suis retrouvé un peu par hasard. J’ai erré pendant quelques semaines à travers les Etats-Unis dans l’espoir de percer avec mes talents musicaux. Puis finalement, j’ai dû m’arrêter à Gotham, l’argent se faisant rare (malgré une pension de l’état à cause de mon invalidité). J’y ai trouvé un colocataire, un véritable ami qui m’a aidé à trouver un travail qui j’aime et qui me permet de vivre. Aujourd’hui, j’y reste alors que je pourrais partir si facilement…Mais non, je ne m’y résous pas, pour diverses raisons ; premièrement j’ai mon travail ici et bien qu’ayant déjà un peu d’expérience, vu le mal que j’ai eu pour trouver ce job, hors de question que je le lâche comme ça. De plus, Mathias est mort à cause de mafieux de cette ville et je souhaiterais de les voir sous les verrous. Une dernière chose, j’ai décidé de prendre la défense de Batman à travers une radio pirate. Pourquoi ? Parce qu’il a été mis au bûcher pour la disparition d’Harvey Dent (qui a certes eu une fin tragique, le pauvre), mais tous semblent oublier qu’il a arrêté et mis sous les verrous le Joker et avant lui, l’Epouvantail. Ce n’est pas rien. Alors oui, je souhaite au moins remettre ça au clair. Même si on ne peut pas l’excuser pour la mort d’Harvey Dent, c’est vrai…

Toutes les personnes qui croisent un jour Dante vous diront la même chose : C’est un homme possédant un calme olympien. Ah ça…C’est l’une des plus grandes qualités de Dante, avec sa patience. Il n’est cependant pas à l’abri de coups de sang qui peuvent le rendre agressif; en effet, c'est plutôt quelqu'un qui a le sang chaud, alors si vous mentionnez quelque chose qu'il ne faut pas mentionner, ça risque de faire des étincelles...Ça n’ira pas jusqu’aux mains, il sait se contrôler dans la plupart des cas, mais faites attention tout de même, ce n'est parce qu'il est aveugle qu'il est manchot, oh dieu non. Aveugle…Ça aussi c’est quelque peu déstabilisant pour les personnes qui le rencontrent. Il possède une paire d’yeux marron, profonds, clashant avec sa peau étrangement pâle pour quelqu’un avec des origines italiennes, mais des yeux qui ne convoient rien. Aucune émotion, aucune lueur ; à dire vrai, ils ne peuvent pas se fixer sur un point précis. Pouvant en énerver certains, la plupart ne disent rien, de peur de le vexer. D’ailleurs, une autre chose qui l’aide beaucoup c'est son self-control ; il ne panique que très peu, sachant parfaitement que paniquer pourrait aggraver la situation dans laquelle il se trouverait. Ce self-control lui vient en partie de ses années à tenter de prouver qui il était et à essuyer les brimades dues à son handicap ; elles lui ont forgé un mental d’acier face aux attaques extérieures, mais il n’est pas infaillible. Loin de là. Disons que si vous l’insultez sur des choses triviales, que vous le jugez, ou même que vous lancez des rumeurs sur lui, vous récolterez sûrement des réponses minées d’autodérision (art qu’il se plaît à manier même lorsqu’il n’est pas provoqué) ; en revanche si vous vous attaquez personnellement à lui par l’angle de son ancien colocataire, par exemple, soyez certain de le voir se défaire devant vos yeux. C’est une chose qui l’a grandement traumatisé et si il en ressorti avec une carapace d’acier en surface, il existe encore à l’intérieur des endroits à vif.

Dante est un homme de parole ; il ne brisera jamais une promesse sauf pour des raisons de hautes importances. C’est quelque chose à laquelle il tient. Gardez cela en tête : Dante est quelqu’un de très franc et très direct, qui ne se gêne pas pour dire ce qu’il pense lorsque la situation le demande, alors ne vous étonnez pas si parfois il vous sort des phrases auxquelles vous ne vous attendiez pas. De plus, bien qu’étant habituellement quelqu’un d’agréable à vivre, si vous entrez dans sa liste noire, il pourrait se montrer sec, cassant, voir méchant et cruel avec vous. Cependant il ne juge personne. Les gens sont comme ils sont, on ne peut pas y faire grand-chose malgré ce que pensent certains. Oh, bien sûr il a des opinions et se fait une joie de les donner si on les lui demande ; mais pas de jugement sans preuve ou juste sur un passé. Il aime à penser que tout ce qu’a vécu et fait une personne durant sa vie aide à construire la personne qu’elle est maintenant, c’est vrai (lui-même est un excellent exemple d’une telle philosophie) ; cependant il faut juger une personne sur ses actions présentes et non pas sur son passé; de même il ne juge pas par rapport à des choses auxquelles personne n'y peut rien; il n'a pas décider d'être aveugle par exemple, c'est donc idiot de juger quelqu'un pour cela à son avis. Il a fait les frais d’une telle façon de penser, il ne veut pas faire les mêmes erreurs aujourd’hui qu’il a pu s’en sortir.

Etant quelqu’un de naturellement ouvert, Dante n’a aucun mal à aller vers les gens pour leur parler. C’est quelqu’un de fondamentalement amical, qui aime rire et faire rire, qui aime les ambiances conviviales en somme. Ne croyez non plus qu'il soit du genre à se vexer à la moindre réflexion sur son handicap; certes si vos l'insultez franchement ou si vous le prenez pour un idiot là il s'énervera, mais autrement, il serait plutôt du genre à rigoler avec vous qu'autre chose. Il a appris à vivre avec et a appris à relativiser la chose. Charmeur à ses heures il reste cependant plus dans la subtilité et les sous-entendus que dans le rentre-dedans bien voyant. En fait, Dante est quelqu’un de profondément gentil qui le cache par réflexe.

Bien qu’étant quelqu’un de connu pour son calme avoisinant l’inébranlable et sa gentillesse, il n’est pas bon de l’énerver. Certes, Dante ne frappe jamais sans une bonne raison, mais vous apprendrez très vite qu’il n’y a pas que ses points et ses pieds qui font mal chez lui. Sa posture, qu’il a généralement accueillante et chaleureuse peut devenir aussi dure et froide qu’un mur de glace. Le pire étant lorsque vous le rendez vraiment fou de rage. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne se met pas à crier comme un poissonnier, en insultant tout le monde et même les absents. Oh non…Il n’empêche qu’il fait peur à voir ; il restera muet généralement, ou alors posera des questions rhétoriques, juste pour mettre mal à l’aise son adversaire désigné. Le langage corporel de Dante est alors empli de rage et de rancœur, la violence prenant le pas et détruisant totalement son self-control, le poussant à tout détruire ou à tenter du moins, avec un calme terrifiant ; une méticulosité proche du maniaque et une cruauté que vous n’auriez pas imaginé chez lui.
Vous voulez savoir ce qui est le plus effrayant ici ? C’est qu’il ne le regrettera pas. Il ne s’en vantera pas non plus, il vous répondra franchement. S’il s’est mis dans un tel état de colère c’est qu’il avait une bonne raison, alors pourquoi regretter lorsque c’est une nécessité ?

Cet homme a un très gros problème pour gérer son stress lorsqu’il y est soumis ; si dans une situation plus qu’hasardeuse voir dangereuse sur le terrain il arrivera à rester calme, si en revanche il s’inquiète de trop pour une personne qui lui est proche, il ne se privera pas pour lui hurler dessus à la première occasion sans oublier de s’arracher quelques poignées provenant de sa tignasse brune. Des cheveux longs, bouclés, qu’il rabat régulièrement en arrière pour ne pas les avoir devant les yeux. Ce n’est pas parce qu’il ne voit pas qu’il doit cacher ses yeux aux autres. Chez lui, le stress s’accumule jusqu’à ce qu’il explose. C’est l’une des rares fois où il haussera vraiment la voix là où habituellement il est plus à jouer les médiateurs qu’autres choses. En fait s’il vous crie dessus un jour, c’est parce qu’il tient (vraiment) à vous. Dante est quelqu’un de très protecteur avec les gens qu’il aime (à tous les niveaux), mais n’aime pas spécialement le monter. Il est du genre pudique de ce point de vue-là, alors il tente d’être subtil ou bien de détourner les pistes ; d’où les cris, bien que cette partie-là soit plus inconsciente qu’autre chose…
Après il n’y a pas que lorsqu’il vous aime bien qu’il vous criera dessus ; si vous vous engagez dans un débat sur un sujet qui lui tient à cœur, là il pourrait se montrer très déterminé et plus que vocal. Mais bon, comme tout le monde.

Très fier, Dante est du genre à refuser toute aide extérieur lorsqu’il a un problème d’ordre personnel à régler. Là ce n’est pas question de protéger qui que ce soit, c’est vraiment question de pure fierté masculine, celle qui montre son petit côté macho qui n’est, fondamentalement, pas très flagrant au premier abord. Il pourra vous en parler si vous le pousser vraiment à vous répondre, mais il ne vous demandera pas d’aide et sera très prompte à vous remettre à votre place si vous tenter de vous immiscer dans ses problèmes.

Nous le disions, un petit peu plus haut, pas manchot. Et bien c'est vrai; il sait se battre, malgré son handicap, et plutôt bien avec ça; bien évidemment, il a ses limites, quelqu'un expert en un art martial ou du combat quelconque le mettra rapidement au tapis, mais il aura donné du fil à retordre. Mais la plupart du temps les gens hésitent à l’embêter. Sa carrure intimide un peu, surtout lorsque l’on le voit sans manche. Il a du muscle et il s’entretient, refusant de se laisser aller parce qu’il travaille dans une radio. Les temps actuels sont tels qu’il vaut mieux pouvoir se défendre en cas de problèmes plutôt que de se retrouver démuni.

Un soir d’hiver, pas de neige, mais un froid terrible, un froid qui ne rassurait en rien la jeune future mère nommée Fiona. Ce ne fut pas un accouchement facile ou calme pour elle ; elle était inquiète pour son bébé, son petit arrivait trop tôt : huit semaines d’avance, c’est beaucoup trop. C’est beaucoup trop pour être sans risque pour l’enfant. Aussi bien la mère que les médecins en avaient conscience et à peine le bébé fut-il arrivé en ce bas-monde qu’il fut emmené loin de sa mère, afin de veiller son état de santé. L’enfant passa divers tests afin de vérifier que tous ses organes étaient suffisamment développés pour lui permettre de vivre, et, mis à part une légère faiblesse du système immunitaire impliquant une plus faible résistance aux maladies, tout allait bien. C’est ce qui apparaissait partout. Rien ne laissait présager le handicap qui suivrait.

Après six semaines garder à l’hôpital, le bébé nommé Dante fut rendu à sa mère et la petite famille rentra chez eux. Son père étant un militaire, il fut envoyé sur une guerre pour servir son pays, laissant femme et enfant chez lui, malgré son envie de rester avec eux. On aurait pu penser que les deux guerres mondiales avaient suffi à l’Humanité, mais visiblement non ; voilà les frères et sœurs de ce mondes qui déterraient la hache de guerre pour des raisons sottes.

Elle l’éleva toute seule, comme elle put avec son salaire et sa sœur, Valentina. C’est quand l’enfant atteint quatre ans que l’on commença à s’inquiéter pour ses yeux. Sa vue avait terriblement baissée, et l’ophtalmologiste qu’ils sont allé voir leur a donner un diagnostic sans appel : Rétinopathie, une dégénérescence de la rétine qui provoquera à terme une cécité totale. En effet, trois ans plus tard, l’enfant fut privé de la vue. S’adapter à cette nouvelle vie sans vision ne fut pas facile, il fallait sans cesse l’aider à apprendre et à reconnaître les différents stratagèmes pour se retrouver avec l’argent, avec ses vêtements, à manipuler sa canne d’aveugle et à éviter les obstacles…Fiona et Valentina l’aidaient, sa mère en lui donnant des leçon de guitare pour lui entraîner l’ouïe, et Valentina lui donnant des cours visant à utiliser les sons pour repérer un obstacle et l’éviter, un peu à la manière des chauves-souris en somme. Ca l’aidait beaucoup pour se retrouver géographiquement quand un gamin de son quartier s’amusait à lui voler sa canne d’aveugle et qu’il devait rentrer chez lui. Il finissait toujours par retrouver son chemin grâce à cela.

La guerre perdurait, mais plus aucune nouvelle de son père n’arrivait à la maison. Plus une lettre, plus rien. Ce fut lorsqu’un autre militaire vint sonner à la porte un jour, portant avec lui un drapeau Américain plié, que sa mère comprit. Son mari était mort pour sa patrie. Ce fut un gros coup pour le moral de toute la famille. Malgré la famille de Fiona qui venait les réconforter, malgré le reste de la famille de son père venant directement de l’autre bout du pays pour présenter ses condoléances à la femme et le fils laissé derrière, Fiona eut du mal à tenir le choc. Quant à Dante…La seule chose qu’il regrettait vraiment était de n’avoir jamais vu son père et de ne jamais savoir à quoi il ressemblait précisément. Mais la vie continuait malgré tout. La guitare et le chant (enseigné de même par Valentina), étaient des distractions qui aidaient à alléger le drame sans pour autant l’effacer des esprits.
Ses années d’adolescence se passèrent plus ou moins bien, son handicap n’étant pas quelque chose qui l’aidait beaucoup, dans un monde où toute différence était un sujet de raillerie particulièrement juteux. Malgré les nombreux combats conduits par des hommes tels Ghandi ou Martin Luther King, les gens n’apprenaient pas et continuaient à exclure ceux qui n’étaient pas dans la norme définie par la société. Dante en faisait partie, sa cécité le rendant incapable de totalement s’intégrer, il vivait jour après jour les brimades de ses camarades de classe sans rien dire. Il tentait pourtant de s’intégrer, prouvant qu’il pouvait faire bien des choses que tous les autres pouvaient faire: Il entra alors dans un cercle vicieux qui consistait à prouver sa valeur à tous, le conduisant à avoir des actions et des réactions stupides et dangereuses, mais peu importe, tant qu’il était accepté. Sa vie eut pour slogan sexe, drug mais pas rock’n’roll. Dante a même commencé des combats de boxe clandestins, sachant que s’il ne prouvait pas sa force aussi bien physique que mentale, il resterait dans la catégorie des outcasts. Il n’était qu’un ado de quinze ans, mais il en était là.

C’est vers ses dix-sept ans qu’il commença à sortir de ce cercle vicieux grâce à un autre homme se trouvant au club de boxe où avaient lieu les combats clandestins. Lors d’un combat Dante faillit tuer son adversaire, si ce n’est pour deux mains puissantes et large qui lui ont fait lâcher prise sur son adversaire juste à temps. Il ne le connaissait pas, son odeur ne lui était pas familière, sa voix de baryton était chaude, grave, mais inconnue. C’est pendant que cet homme parlait que le jeune homme se rendit compte de ce qu’il venait de se passer et du geste qu’il avait presque commit. La réalisation de ce fait le fit trembler de peur, ses jambes flageolant sous son poids lâchèrent alors que son cerveau se mettait en veille le temps de le calmer. Il s’évanouit. Ce fut une surprise pour tous, même d’autres adversaires, parce qu’il n’était pas connu pour être un couard, bien au contraire. Mais être passé si près de prendre la vie de quelqu’un…C’était plus que de la peur, c’était une vraie terreur qui vous glace les entrailles et qui remonte dans votre corps, dans vos veine jusqu’à votre cerveau.

Quand il se réveilla, ce fut sur une surface plane, relativement étroite, un banc des vestiaires sans doute. A peine se yeux furent-ils ouverts, par pur réflexe, que la voix inconnue retentit à nouveau, à un mètre à peine sur sa droite. Il se tourna en direction de la voix, ses yeux cherchant l’endroit précis alors qu’il n’avait aucun moyen de le savoir. Il s’assit, sur ce qui était effectivement un banc.

"Réveillé la belle au bois dormant ? Comment tu te sens ?" il sentit des mouvements dans l’air et quelques secondes plus tard, la chaleur d’un corps en face du sien sur le banc, il tourna la tête vers l’homme en face de lui.
"Secoué…Qui êtes-vous ? Votre voix ne me dit rien." Un rire, chaud, léger, sincère.
"Normal petit. Je ne suis que rarement près du ring. Toi en revanche, je te connais. Dante, le petit nouveau. Aveugle à ce qu’on m’a dit. Tu as du cran, mais tu es trop jeune pour venir dans un endroit pareil." Sa voix ne portait aucune trace de moquerie, juste un ton concerné qui semblait plus que sincère. Quand l’homme tenta de prendre son poignet, Dante se retira de sa poigne, surprit.
"Qu’est-ce que vous voulez ? Sans compter que vous ne m’avez pas répondu…"
"Je m’appelle Taylor, content ? Maintenant si tu voulais bien me montrer ton coude, tu t’es éraflé sur le ring." ouvrant ses yeux tout grand par pur réflexe, Dante porta sa main au coude qui devait être blessé et sentit effectivement un liquide poisseux et épais ; portant sa main près de son nez, il sentit l’odeur âcre et métallique du sang, et grimaça avant de tendre le bras.
"Voilà, c’était pas si compliqué. Quel âge tu as ?"
"21 ans" trop rapide…
"La vérité cette fois…Donne-moi ton autre coude."
"17 ans…"
"Même pas majeur et déjà ici, ah la jeunesse de nos jours. Qu’est-ce qui te pousse à venir dans ce trou à rats au juste ?"
"C’est facile de vous poser cette question…Vous êtes comme les autres…A cause de mes yeux, je dois tout le temps prouver que je suis capable de me débrouiller, que je n’ai pas besoin d’aide."
"C’est pour ça que tu viens te faire tabasser et tabasser en retour ? Pour prouver ta valeur ? Enfin petit, ce n’est pas à la force de ses poings ou à la qualité de ses yeux qu’on juge la valeur d’un homme…C’est bien plus que cela. C’est à ses actions…" il poussa un soupire puis relâcha le coude de Dante "Voilà c’est fini, rentres chez toi et que je ne te revois plus ici, où je te ferais sortir à coups de pieds aux fesses."
Il hocha la tête mais retint l’homme quand il allait partir.
"Je peux savoir à quoi vous ressemblez ?"
"Pardon ?"

Dante grogna devant le manque de compréhension flagrant de cet homme et le força à se rassoir d’un coup sec sur la manche qu’il tenait et posa ses mains de chaque côté du visage de Taylor. Il laissa ses mains comprendre les formes de ce visage. Un visage large, anguleux, fort. Il remonta ses doigt sur les joues, les yeux, le nez, la bouche, le front ; il découvrit des yeux fins, rehaussés de sourcil fournis mais pas trop, d’un nez légèrement cassé, d’une bouche pleine et sûre, un front lisse ou presque, une ride de réflexion ayant pris place sur ce visage, et pas de cheveux, rasé à ce qu’il pouvait sentir. Il hocha la tête, comme lorsqu’un enfant comprend une explication qu’on lui donne, et retira ses mains.

"Merci"
"Tu l’as fait un peu sans mon accord petit, mais c’est pas grave. Allez filer chez toi."

Dante ne se le fit pas dire deux fois. Il prit le chemin de chez lui en se promettant de ne plus remettre les pieds dans ce club clandestin. Il est passé trop près de la mort, même si ça n’avait pas été pas la sienne. Quelques mois plus tard, il reprenait une vie normale. Il n’était pas plus intégré qu’avant, mais quelque part les quelques mots échangés avec Taylor et le choc qu’il avait eu l’ont guéri de cette obsession…Il avait tenté d’être quelqu’un d’autre, quelqu’un qu’il ne pourra jamais être et ça ne pouvait que mal finir…Mais il a repris sa vie tranquille avec sa mère et sa tante, continuant à chanter et à jouer de la guitare quand l’envie lui prenait.

Il finit avec succès le lycée mais ne fit pas de plus hautes études. Dante savait ce qu’il voulait faire de sa vie. Vivre de la musique. Non pas de sa musique, mais de la musique en général. Peu lui importait sous quelle forme, que ce soit en tant que vendeur de disque, critique musical, faisant partie d’un orchestre quelconque…Il chercha dans sa ville natale, Chicago, the windy city, mais de même, son handicap bloquait les employeurs. Pourtant il avait des compétences en musique et sa cécité n’avait fait qu’améliorer son ouïe. Il connaissait la musique, connaissait les rythmes, les notes les accords. Mais engager un infirme était une chose que les gens avaient du mal à faire. Il finit par quitter Chicago, prenant ses économies et un peu d’argent que sa mère lui donnait pour l’aider. Elle aurait voulu qu’il reste à Chicago, inquiète pour lui, mais elle-même a quitté son pays, l’Italie, pour venir réussir aux Etats-Unis, alors elle ne pouvait pas l’empêcher de faire de même en espérant que cela lui réussisse aussi bien qu’à elle.

Pendant plusieurs semaines, il a erré de villes en villes, traversant plusieurs états, sans réel succès. Puis il arriva à Gotham. Un endroit où il dû s’arrêter, ses économies se faisant vraiment minces. Première chose qu’il fit (après la chambre d’hôtel bien sûr), mettre une petite annonce dans le journal pour dire qu’il cherchait un appartement en colocation. C’était encore le moyen le moins cher de se loger en ville. Puis il chercha du boulot. Encore. Il trouva un petit job comme guitariste de remplacement dans un pub local. Ce fut là qu’il rencontra Mathias, un homme qui allait l’aider plus que personne n’allait l’aider jusqu’à maintenant.

Un concert, un de plus. Le publique, ces hommes et ces femmes qui venaient tous les soirs écouter les chanteurs amateurs qui se présentaient sur cette scène un peu miteuse. Il ne pouvait les voir, mais il les ressentait ; il sentait l’odeur de corps, mélange de sueurs, de parfums subtils pour les femmes, de fortes eaux de Cologne qui vous prennent à la gorge pour ne plus vous lâcher, envoutantes, entêtantes des hommes ; il entendait les cris, les paroles chantées en même temps que la voix du chanteur du soir, les pas qui tapent le sol en rythme de la musique, et si il se concentrait suffisamment et que qu’il prêtait grande attention, il pouvait entendre le cœur battant d’une personne au premier rang, juste au bord de la scène. L’adrénaline courait dans ses veines, remplaçant le sang (si vital et pourtant superflu ici), le faisant tenir debout alors que ses jambes étaient traitres il y a à peine une heure. Mais dans ce public se trouvait un homme qui était là pour lui, pour le rencontrer. Alors, une fois le concert terminé, il s’assoit sur une chaise non loin le temps de reprendre un peu son souffle et ses esprits. Des bruits de pas s’approchent de lui, mais il ne se retourne pas. Ces pas ne sont pas sûrs ni suffisamment discrets pour signifier une menace. En fait, ils sont hésitants, comme s’il avait peur de le déranger, n’étant pas sûr de comment prendre contact avec lui. Finalement, c’est une légère toux qui lui fit tourner la tête, aussi futile cela soit-il pour ce qui est de voir la personne, mais au moins elle savait qu’il l’écoutait.

"Je peux vous aider ?" un ton neutre mais amical, il n’avait aucune raison de lui être inamical de toute façon.
"Vous êtes bien Dante Gabrielli ?"
"Oui c’est moi."
"Je suis venu à cause de votre annonce dans le journal, à la recherche d’un colocataire. Je cherche moi-même un colocataire, alors euh…"
Cet homme semblait d’une grande timidité.
"Vous me dites quand vous êtes disponibles et puis on trouve un créneau pour que je vienne visiter votre appartement." Se disant, il se leva, reprenant sa canne blanche.
"Vous êtes aveugle ?" Dante se crispa. Ça commençait toujours comme ça ; d’abord ils se rendaient compte, puis ils trouvaient un moyen plus ou moins subtile de lui dire que finalement il ne correspondait à ce qu’ils cherchaient.
"Oui. Ca vous dérange ?" il commençait à prendre la défensive.
"Juste une chose : vous n’avez pas de chien d’aveugle ?" pour le coup Dante fut surpris. Perplexe, il finit par répondre.
"Non, je ne voulais pas d’un animal."
"Ah, tant mieux, tant mieux, parce que je suis allergique aux chiens. Pour ce qui est de la visite, si ce soir n’est pas trop tard pour vous, je suis disponible"

Alors là…Il s’était attendu à bien des choses mais pas à ça. Cet homme semblait presque impatient. Ça lui faisait bizarre, quelqu’un qui balayait si facilement le fait qu’il soit aveugle pour simplement le voir lui. Un sourire, immense, prit place sur son visage et il acquiesça. Il aurait peut-être dû aller se doucher avant, mais ça ne semblait pas déranger l’homme en face de lui. Homme dont il ignorait encore le nom.

Ils traversèrent la ville en voiture. Ce qui lui faisait bizarre, étant donné qu’il prenait bien plus souvent les transports en communs que le taxi (et conduire n’était, par évidence, pas une option) pour finalement arriver à l’appartement de Mathias, nom qu’il a appris durant le trajet. Première chose qu’il remarqua, il lui décrivait tout, absolument tout, au détail près. Ca l’étonna. Deuxième chose qui lui fit se poser plus d’une question : il ne le guidait pas en le tenant par le bras ou quoi que ce soit. Juste une touche sur l’épaule pour lui dire qu’il devait tourner, l’avertissait en avance d’un obstacle…Ca lui était si étrange. Il avait déjà eu des gens qui ont fait visiter leur appartement à Dante, tout ça pour simplement que Dante ne parte en claquant la porte. Il ne comprenait pas pourquoi les gens avaient besoin de lui parler comme s’il était un idiot ou un retardé. Ici, Mathias semblait savoir ce qu’il fallait faire, comment faire pour faire visiter un aveugle sans le froisser. C’était…Rafraichissant. L’explication de tout cela est que la tante de Mathias qui était aveugle elle aussi, ayant vécu plusieurs années avec elle il a pris des habitudes à ce propos. Finalement, Dante fut victime de sa franchise un peu trop poussée quand il lui demanda si vraiment, être colocataire avec un handicapé ne le dérangeait pas. Jusque-là, rien ne lui disait le contraire, mais sait-on jamais. La réponse ?

"Ça va paraître étrange ce que je vais vous dire, mais…Je suis un peu maniaque. Or, comme je vous l’ai dit, j’ai vécu avec ma tante et je sais par expérience que vous ne bougez rien, alors, ça m’arrange…"

Là, ce fut le truc de trop. Dante explosa de rire. Un rire sincère, vrai. Ce type, il l’aimait bien, définitivement. C’était la personne la plus humaine qu’il ait croisé depuis son arrivée à Gotham. Il batailla un peu pour passer son bras autour des épaules de Mathias, déclarant.

"Mathias, je pense qu’on va aller loin toi et moi !"

Et il avait raison. En un sens. Mathias lui a tout montré à Gotham (tout ce qui était montrable du moins), lui a parlé de ces personnalités influentes. Bruce Wayne, Harvey Dent, Hugo Strange…Il s’est avéré être un jeune homme plein de vie, certes un peu maniaque, mais parfait hôte de maison et un ami précieux et fidèle. Pour tout dire, c’est lui qui lui a permis d’entrer dans la vie de cette ville à temps plein, grâce aux sorties qu’ils organisaient, et surtout, surtout, il lui a trouvé un travail, un vrai. Pas simplement guitariste de remplacement au pub. Dante avait un travail d’animateur radio dans la radio locale de Gotham. Sa voix plaisante, son esprit vif et sa bonne humeur étaient ce qui avait séduit les directeurs de la radio.

"Mais comment t’as fait Matt ? Tu travailles dans les assurances !" avait-il demandé un soir autour d’une bière.
"Eh bien…Je connais un type, qui connait un type qui a un TARDIS."
"Pardon ?"
"Non je déconne, ça c’était dans Robin des Bois au théâtre. Non je connais un type, qui connait un type qui a des contacts dans la radio. Alors j’ai fait jouer une faveur qu’il me devait et puis après c’est toi qui a tout fait. Je leur aie juste dis que mon coloc cherchait un boulot et que tu t’y connaissais en musique. Toi tu les as charmés. C’est encore autre chose."

Il ne pouvait pas dire autre chose, Mathias était un cadeau tombé du ciel pour lui. Alors il tentait de lui rendre la pareille dès qu’il pouvait. Ce qu’il ne pensait pas, c’était le perdre si tôt. Pourtant ces « je connais quelqu’un qui connait quelqu’un… », ça n’était jamais bon. Il n’y avait pas porté attention sur le moment, tellement euphorique d’avoir enfin trouvé un vrai job. Pourtant il fut confronté à la réalité des choses un soir il y a deux ans. Il faisait chaud, malgré la pluie battante et le sommeil semblait fuir Dante. C’est d’ailleurs la seule raison pour laquelle il entendit Mathias rentrer ce soir-là. En revanche, le bruit qu’il faisait dans sa chambre l’aurait réveillé quoi qu’il arrive. On aurait dit qu’il s’amusait à déménager tout le mobilier de sa chambre cette nuit. Intrigué et inquiet il fallait bien le reconnaître, Dante se leva, prenant sa canne blanche et toqua à la porte de Mathias, où il ne reçut que je le silence. Il retoqua et cette fois reçut un grognement douloureux en réponse. La porte étant verrouillée, le brun dû enfoncer la porte (son épaule s’en souvient encore) de la chambre pour enfin avancer vers le lit. Il essuya plusieurs échecs à trouver le lit avant de finalement l’atteindre, accueillit par une odeur qu’il ne pensait pas sentir aussi fortement ici. Du sang. De là où il se trouvait, les odeurs de sang, de terre mouillé et une once de quelque chose métallique lui parvenaient claires comme s’il avait le nez directement dedans. Ce qui n’était pas pour le rassurer. Sa décision d’appeler les pompiers fut entraver par Mathias lui-même, alors qu’il saignait, ça n’était plus un doute maintenant : il avait trouvé la blessure à force de tâtonnements. Au ventre. Avec un peu de chance, il pourrait le faire soigner à temps. Au final, il s’est levé pour ne plus être atteignable directement pas Matt et passa son coup de fil à une ambulance. Dix heures plus tard, Mathias était mort. L’ambulance était arrivée rapidement, il avait été emmené à l’hôpital tout aussi rapidement. Le problème ? La balle qui avait perforé il ne savait plus quel organe qui a rendu la blessure fatale, malgré les tentatives des médecins de le sauver. Les médecins lui ont rapporté qu’avant de l’anesthésier, il avait demandé à un certain Dante de « rester loin des Bartolozzi. Des mafieux. Loin d’être un idiot, il se doutait que quelque part, Matt avait trempé dans des affaires avec des mafieux. Probablement le pourquoi du comment de sa blessure…

Ça fait deux ans ; Dante il a continué à travailler à la radio, ne laissant rien paraitre de la douleur face à la mort de son meilleur ami transparaître au travail. Quant aux derniers évènements survenus à Gotham…Ca ne le rassure pas. Il se dit que certes, la loi Dent a bien fait son travail, mais qui a arrêté le Joker et l’Epouvantail ? Batman. C’est dans cette optique qu’il a créé sa radio pirate ; non pas pour faire passer Batman pour le moyen de rédemption de Gotham, ni même de faire oublier la mort qu’il a sur les bras. Il veut juste qu’on prenne aussi en compte qu’il a arrêté deux dangereux criminels avant de tuer un honnête homme. Ce qui l’étonne d’ailleurs, mais ça, il se garde bien de le dire.

christine • Code ok by Amaliya• Via Bazzart • 4/7

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Harleen Quinzel

Harleen Quinzel

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ϟ Arrivée à Gotham le :
16/09/2012

ϟ Participation :
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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyVen 21 Sep - 1:14

bienvenue sur le forum et merci pour ton inscription.
Fais nous signe quand tu as terminé tout ça Wink
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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyVen 21 Sep - 6:58

Goooosh Aidan ! J'y crois pas ... ♥
Bienvenue sur le forum ! j'espère que tu t'éclatera bien parmi nous =)
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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyVen 21 Sep - 7:52

Bienvenue Dante ^^
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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyVen 21 Sep - 8:08

Bienvenue sur le forum Very Happy
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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyVen 21 Sep - 9:37

Je te souhaite la bienvenue sur le forum. Bon courage pour ta fiche de présentation et à bientôt Wink
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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyVen 21 Sep - 10:03

Bienvenue & bon courage pour ta fiche ^^
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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyVen 21 Sep - 10:22

Bienvenue à toi contente de voir plein de petit nouveau avec nous, en espérant que tu aimera notre compagnie *-*

On t'attend avec impatience de par tout y compris la CB pour mieux te connaitre Wink
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Harleen Quinzel

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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyVen 21 Sep - 16:02

J'aime beaucoup ton histoire Very Happy Franchement bien écrite et passionnante.
Hâte de Rp avec toi Wink




Youhou! Un nouveau fou est parmi nous!


Et bien oui, tu ne rêves pas mon petit bouchon, tu as bien été validé par un des membres de notre staff. Plein plein de possibilités s'offrent à toi à présent. Mais la première et la plus importante est certainement celle de passer du bon temps en notre compagnie et crois moi nous y veilleront.

Mais passé cela il faudrait que tu ailles recenser ton avatar dans ce sujet et aussi ton double compte si tu en as un dans ce sujet. Tu peux aussi si tu as des personnages indispensables à ton histoire aller créer des scénarios rien que pour toi tu trouvera les instuctions dans ce sujet.

Mais n'oublie pas que nous aimerions en savoir plus sur toi. Certes ta fiche est superbe mais n'oublie pas de t'occuper de tes liens dans cette section et tes topics dans celle là. N'oublie pas qu'il est toujours utile de préciser ce genre de choses, notamment les liens, tu aimes savoir qui est ami avec qui? L'inverse est aussi vrai!

Les Demandes de base sont également importantes et se trouvent ici pour ce qui est des logements, colocataires ou rangs.

Maintenant il ne me reste plus qu'une chose à te souhaiter!
BON JEU PARMI NOUS!
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Alfred Pennyworth

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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. EmptyDim 4 Nov - 23:14

Non recensé(e). Pas de nouvelles. Supprimé(e)
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MessageSujet: Re: Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Dante Gabrielli - Radio Gotham vous salue. Empty

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