| Habitations | |
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l'appartement est plutôt ancien, des années 1930 environ. Pour y accéder, malheureux, vous devrez choisir entre Charybde et Scylla : soit les escaliers en pierre glissante et usée jusqu'au 5e et dernier étage, soit l'ascenseur ancien orné de vitraux dépolis, avec le volet en accordéon de bois qu'il faut tirer pour que la cabine antédiluvienne se mette en marche, dans un gémissement poussif. Mais ne laissez pas vos doigts s'égarer ! Vous pourriez les y laisser.
Si vous pensez être arrivé aux bouts de vos peines, car comme Ulysse vous avez fait un long voyage, détrompez vous. Il vous reste à trouver l'entrée de l'appartement, soigneusement dissimulée derrière une énorme crassule en pot, ayant réussi, on ne sait comment, à monter le long du chambranle de la porte.
La porte passée, vous pouvez vous accorder un soupir. Un long couloir au plancher en chêne massif s'offre à vous, avec un petit placard dans le mur droit mais le mur à gauche n'est rien d'autre qu'une grande façade végétale, et débouche à droite sur une cuisine ouverte et moderne, blanche et quasi-clinique. On y trouve des ustensiles de cuisine, classiquement, mais aussi une variété étonnante de béchers et d'appareils étranges. Au-dessus du frigo, un appareil pour faire germer des graines. Sur le rebord de la fenêtre, une multitude de plantes, apparemment des herbes aromatiques, mais aucune indication sur les pots de fer blanc.
À gauche, un petit salon jaune encombré par un vieux sofa en velours bordeaux passé, recouvert d'une multitude de coussins et de plaids. Là encore, les plantes sont partout : sur la table basse, les rebords des fenêtres et dans les sujets des livres qui encombrent les étagères, le sol... Une petite porte donne sur une salle de bains classique mais à l'humidité étouffante, qui alimente un mur entier d'orchidées au-dessus de la baignoire. Vous sortez de là, éberlué, et votre regard est attiré par une pièce qui semble extrêmement lumineuse. Il s'agit de la chambre de notre universitaire, qui compte un grand lit poussé dans un coin avec sa petite tablette, un petit dressing derrière des portes vermoulues à la peinture écaillée, et une coiffeuse de bois sombre et au miroir légèrement terni, chiné dans une brocante. Le meuble est encombré de pots de verre emplis de substances diverses, sans indications. Mais ce qui a capté votre curiosité, c'est la luminosité de la pièce qui se dégage d'une minuscule véranda, dont la porte n'est jamais vraiment fermée. J'ai dit véranda, mais le terme approprié serait plutôt serre, au vu de son contenu : une jungle miniature, un fouillis végétal où il est difficile de reconnaître les espèces, tant elles ont été manipulées. Un paradis du botaniste, mais totalement privé.
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C'est spacieux, éclairé, moderne : terriblement in et fatalement impersonnel... Une cuisine ouverte (jamais utilisée) donnant sur un immense salon. Un couloir dessert une chambre à coucher, une grande salle de bain, les toilettes et une chambre d'amis - reconvertie en studio où les guitares et les amplis se bousculent. Le loft donne sur une terrasse d'une taille suffisamment respectable pour faire des soirées jusqu'à pas d'heure.
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Grand loft dans une ancienne usine désinfectée, toute retapée en trois beaux lofts, à trois étages différents. Celui-ci se trouvent au dernier étage, avec une vue sur la Tour Wayne et le quartier des affaires. Lumineux, spacieux, plutôt agréable à vivre, on pourrait presque être content d'y vivre s'il se trouvait dans un quartier moins sombre. La nuit, on peut croiser de drôles de loustiques dans les parages, mais cela n'effraie pas le propriétaire du loft, bien au contraire, ça donne un peu d'animation ...
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Au nord du quartier de affaire, la baie vitré du salon donne sur une immense tour de bureau tendis que la petite fenêtre de la salle de bain offre une vue sur le canal et les ruelles de l'Uptown Gotham. A mi chemin entre le loft et le duplex, l'appartement de Zoëva est spacieux, composé d'un grand salon / cuisine, de deux chambres (dont l'une sur la mezzanine) d'une salle de bain et enfin, d'un immense dressing. C'est sobre, blanc et gris, épuré et en bazars.
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