Oui je venais d'atteindre le sommet de la plénitude. Et je le regardais à présent dans les yeux. un large sourire aux lèvres. j'avais tout de même besoin de me reposer un peu. ce qui ne veut pas dire pour autant que je n'ai pas de nouvelles idées derrière la tête. Je caresse doucement de la main son bras. Et de l'autre le dessus du lit. Je soupirais doucement alors que je sentais mon corps tiédir doucement mais néanmoins toujours las et ivre du plaisir qui vient de l'assaillir. Je tournais doucement ma tête pour le regarder. Il était très beau. je vois que mes idées, mes fantasmes et mes pensées ne lui avaient pas rendu justice. Je me rapproche de lui pour déposer des baisers sur sa bouche. Plusieurs petits baisers sans ne penser à rien d'autre que le plaisir que nous venions de partager tous les deux. En communion. Il était bon amant. Et il était aussi très beau ce qui ne gâchait rien à la chose. Mais si je l'avoue volontiers, je l'avais déjà imaginé nu devant moi, le voir en vrai c'est encore mieux! Il me regarde avec un large sourire et je peux lire sur son visage que le moment lui a plu.

Il se défait de moi et je me repose sur le lit, une main sur le lit, jouant avec une mèche de mes cheveux et l'autre posée sur mon ventre. La même qui va chercher son bras pour le caresser doucement et je turne la tête pour l'observer avec envie. Oui en tenue d'Adam il est si tentant. -C'est moi ou t'as des idées derrière la tête? je fis un large sourire en le regardant puis pris un air faussement innocent. Puisqu'on sait très bien l'un comme l'autre que je n'ai rien d'innocent du tout. « Moi ? » dis-je d'un air faussement gêné, flirtant même jusqu'à l'implication qu'il me prêtait de mauvaises intentions. Il se pose sur le côté et je le regarde. -T'avais raison en tout cas, ta chambre est vraiment grande.

Je souris et répondit simplement. « Je sais ! » je me retournais et posais de nouveau la tête sur l'oreiller. Je sens son regard posé sur moi, et je sens qu'il me détaille. Qu'il le fasse, je n'ai pas honte de mon corps, non bien au contraire. Je le sais beau. Peut être pas parfait bien sûr, personne pas même un corps humain n'est parfait. Mais je dois avouer que j'ai sacrément eu de la chance. Je tiens beaucoup de ma mère me dit on. Cependant ce n'est jamais mon père qui me l'a dit. Il détestait ma mère je crois. Il s'est battu pour moi. Je chassais ces pensées de ma tête d'un coup de pied mental et reposais mon regard sur lui. Je pouvais enfin prendre le soin de le détailler. Je me tournais et passais une main derrière ma nuque pour me tenir à moitié relevée. Je l'observais et posais ma main sur son torse. Sur son tatouage. Dans le feu de l'action je ne l'avais pas vu. Ni remarqué. Je le touchais du bout du doigt traçant la croix de la pulpe de mon doigt. « Tu en as beaucoup d'autres? » demandais-je mais avant d'avoir une réponse voila que je le renversais sur le lit pour l'examiner de plus près et traquer le moindre centimètre de sa peau à la recherche de cette encre imprimée sur son corps. Je cherchais en premier lieu sur son flanc puis sur les reins, mais rien. J'observais ensuite ses cuisses, mais toujours pas je remontais alors le long de son corps pour en trouver un sur son épaule et le dernier que j'avais déjà caressé sans le savoir du bout du doigt à l'intérieur du bras.

« Ils ont une signification ? » mais après tout peut être que c'était trop personnel comme question. Cela ne me regardait peut être pas. Et en fait, certainement pas du tout! Mais le mien avait une signification. Je n'en avais qu'un seul et j'avais déjà bien assez souffert. Je n'en ferai jamais de nouveau. Plutôt mourir. Doucement je posais mes bras sur son torse et posais mon menton sur mes mains pour le regarder. Oh oui j'avais bien des idées. Mais je préférais le laisser se reposer un petit peu d'abord. A moins qu'il soit prêt à repartir. Je me relevais doucement puis dit « Tu veux que j'aille chercher nos verres ? »

Oui oui mes intentions restaient pour le moment obscur. Des plus obscures. Ou pas en fait, c'est pas si compliqué à deviner. Mais bon allez savoir On verra plus tard. Pour le moment un petit peu de repos. On appelle pas ça un truc du genre ... le repos du guerrier!? Et puis pour le moment je partais à la découverte de son corps. Le nez presque collé à son épiderme je cherchais sous mes doigts les autres tatouages éventuels qu'il pourrait avoir en plus de cette croix sur son torse. -Deux autres, contre mon épaule et au creux de mon bras droit. Et il m'aidait. Oh dommage, j'aurais pas pu aller voir dans tout les recoins. Je le regardais et soupirais l'air faussement déçue puis prenant soin de les observer je passais mon doigt dessus. oui c'est tout con mas c'est un réflexe chez moi. Passer le doigt sur un tatouage dès que j'en vois un. d'ailleurs je le fais bien souvent avec le mien de tatouage. Je lui demandais s'ils avaient une signification. Peut être que oui. Et puis aussi peut être que non. Parfois c'est sans conséquent, ou sans réelle pensée, juste pour l'esthétisme. Je l'écoutais attentivement m'en expliquer la raison. -Plus ou moins. L'épaule, c'est une sorte de proverbe que j'aime bien. "What Goes Around Comes Around" et enfin, après une rupture, ça fait du bien de se faire tatouer se genre de choses. Au creux du bras, l'espèce de dague, c'était juste un truc que je trouvais cool à me faire tatouer, j'avais genre seize ans, j'étais un petit rebelle. Pareil pour la croix. Rupture difficile hein. Je fis une grimace. oui je pouvais comprendre. Cela peut motiver beaucoup. Et puis c'est une manière de mettre dans le passé ce qui s'est passé. Et s'en souvenir aussi. Apprendre de ses erreurs. Je souriais ne sachant pas trop quoi répondre de plus et je continuais en silence à observer les tatouages avec précision.

-Et toi? T'en as? j'aurais du m'attendre à cette question. Je relevais les yeux vers lui et levais mon poignet pour lui montrer le tatouage. Sur l'intérieur de mon poignet. "Mary Ann" écrit en assez petit. Je hochais de la tête. « Qu'un seul. » Je le sentais caresser mon dos et posais quelques instant ma joue sur son torse, presque niveau de la croix. « Le prénom de ma mère. » peu le savaient. Et pourtant je ne m'en cachais pas. je n'avais pas honte de qui j'étais. S'il avait posé des questions plus définies il aurait pu deviner que j'étais la fille d'un riche mafieux. Seulement ce n'était pas arrivé parce que je suppose qu'il n'y a peut être pas pensé.

Puis une idée me prit. Aller chercher les verres. Ça me permettrait de me dégourdir les jambes. Je lui proposais d'aller prendre nos verres. -Ah bien ouais, si tu veux. je souriais doucement puis me relevais pour descendre du lit et me diriger -toujours nue- dans le salon pour prendre nos deux verres. Je revenais dans la chambre et lui tendit son verre qu'il finit par boire d'un seul trait. -Hoon, pu de cognac... je souris doucement et pris une gorgée d'amaretto. « Monsieur a soif? » j'arquais un sourcil de manière perverse et un sourire du même genre s'y ajoutait. Il se levait et s’approchait doucement de moi venant déposer des baisers dans mon cou. Ah bah après on dit que c'est moi qui ait des idées hein ... Mon sourire s'élargit et je ferme les yeux pour profiter de ce moment mais j'allais boire une nouvelle gorgée quand il prit mon visage pour m'embrasser. Le cognac et l'amaretto se mélangeaient ainsi que nos salives mais ce n'était pas si désagréable que ça. J'approfondissais ce baiser en passant ma main libre dans son dos nu et l'attirai vers moi. Quand nos bouches se décollèrent je le regardais en souriant puis bus une nouvelle gorgée de manière à terminer mon verre. « Plus d'Amaretto non plus » un large sourire pervers se fit sur mes lèvres alors que je continuais à caresser doucement son dos et que je venais déjà lécher la peau de son cou avec ma langue à présent sucrée.

Je n'avais pas outre mesure envie de parler de ma mère. Ou de mon tatouage. Et je n'avais pas non plus envie de mentir. Non je ne voulais pas "ternir" sa mémoire. Aussi quand on me demandait où elle était ou ce qu'elle faisait je répondais la vérité. J'étais une enfant née en prison. Aussi étrange que ça puisse paraitre, oui j'étais née dans la cellule de ma mère à Arkham. Oh bien sûr c'est une histoire qui étonne. Une histoire qu'on n'imagine pas pour la petite fille de riche que je suis, et pourtant. C'est bien la preuve que les apparences ne font pas tout hein.

J'allais chercher les deux verres d'alcool. Ils n'avaient presque pas été touchés en fait. Mais on il faut dire qu'on avait eu autre chose en guise d'apéritif. Je lui rapportait son verre et le vis amusée finir le sien d'un trait. Par mimétisme je finissais par faire de même. Le pouvoir de persuasion. D'imitation. Je souriais doucement alors que ses lèvres se déposaient de nouveau dans mon cou et sur mes lèvres. -Ah ça... Petit manipulateur. Mais comment lui en vouloir. Le verre devient bien vit superflu. Et puis n'oublions pas toutes les idées qui me trottent dans la tête sans que je n'ose les admettre. Ou du moins ... Les dire à haute voix.

-Tu sais ce que je me dis? je cessais de lécher méthodiquement son cou et posais mes yeux sur lui. « Non, mais éclaire ma lanterne je t'en pries » dis-je d'une voix sensuelle et suave. Il s'écarte doucement et je prends une mine boudeuse en le regardant. Pourquoi il s'éloigne!? -Que la nuit pourrait être longue. oh ... tout de suite la moue s'efface pour laisser place à un grand sourire et je hoche positivement de la tête. « En effet. La nuit pourrait être longue. » Il prend mon verre et le sien et les pose sur un meuble à portée de main. Puis il se dirige vers l'autre côté de la pièce et va a la fenêtre. JE souris doucement et prenant mon draps d'une main je m'enveloppais dedans. Ouais quand même, pas besoin de faire profiter aux voisins d'en face de ma plastique de rêve. Il écarte les rideaux et regarde dehors.

-J'adore les lumières de la ville la nuit. Gotham est plus belle la nuit je trouve. je souris et acquiesce. Oui Gotham est une ville qui vit la nuit. Un petit peu comme Las Vegas. En bas les gens sont tout petits, les voitures roulent et on peut voir leurs phares. Le dixième étage m'offre une vue assez panoramique de la ville. C'est assez joli. Et calme. Ca détend un peu. « Toutes les villes sont belles de nuit. » je souriais doucement et m'approchais posant mon front contre la vitre. « Mais ma ville c'est Gotham » je tournais la tête vers lui puis vint me placer entre la vitre et lui. « La nuit est jeune ... et ... Gotham s'éveille. »

Je souriais. Je n’avais pas envie de le laisser partir. Et je ne savais pas non plus quoi faire. Enfin je veux dire, comme vous le savez –peut être- je n’amène pas souvent des gens chez moi, des mecs encore moins. Mais une chose est sûre, il partira quand il voudra. Mais est ce qu’il ne se sent pas obligé de rester ? Est ce qu’il a envie de rester ? Non ce n’est pas un manque de confiance en moi. Mais plutôt un manque d’habitude en la matière. Je ne le mettrai pas dehors A moins peut être qu’il mette le feu. Ou qu’il trouve le moyen de me fâcher. Mais franchement … à ce que j’ai pu voir il peut faire plein de choses, amis pas me fâcher. A ces pensées quelques images parvinrent à mon cerveau et me laissèrent songeuse et inspirée. Mais bien rapidement je laissais tomber. On verrait bien. Il partirait quand il voulait. Et s’il restait dormir … hé bien qu’il reste dormir. Ca ne me posait aucun problème. S’il partait … je boirai certainement un nouveau verre d’Amaretto et j’irai me coucher épuisée. Je soupirais. Ne pas mettre la charrue avant les bœufs. On avait notre temps.

Il s’éloignait et je fis la moue doucement. Oui petite fille à papa oblige c’est une posture que je connais plus que jamais. La lèvre en avant, les yeux un peu emplis de larmes, comme si j’allais fondre en larmes, et quelques petits battements de cils. Sur Silvio Bartolozzi ça marchait à tous les coups. Et en général aussi. Il me quittait pour aller près de la baie vitrée. Je souriais puis drapais ma nudité dans le draps beige. Oui c’est que quand même à se promener toute nue, à brasser l’air je commençais à avoir légèrement froid. Et puis aussi, pas besoin d’offrir le septième ciels à d’éventuels pervers du soirs dans l’immeuble en face. Oui ma vue est splendide. Et j’aime souvent m’asseoir là à regarder dehors. Je ne peux m’empêcher de me comparer à une reine ou à une déesse qui observe la vie du commun des mortels.

Mais bientôt je lui imposais une toute nouvelle vue. Un tout petit peu plus vallonnée que les rues de notre belle Gotham. Et je sentais son regard sur moi qui m’amusait grandement. J’aimais savoir que j’étais regardée. Et encore plus que j’étais détaillée. Et je savais que son regard s’attardait sur chacune des courbes de mon corps. Comment je le savais ? De la même manière que je l’avais observé tout à l’heure sur le lit. -C'est bien dit. je haussais les épaules puis souris. C’était surtout vrai.

Il combla de nouveau l’espace entre nous pour déposer ses lèvres sur les miennes et je souris largement. Je ferme les yeux au moment ou le j’entends fermer les rideaux derrière moi. J’insère avec insistance ma langue dans sa bouche cherchant fébrilement la sienne alors qu’il me plaque contre le mur. Je lâche ses lèvres et sa langue pour respirer un petit peu. Un sourire en coin je le regarde, directement dans les yeux et mordille légèrement ma lèvre inférieure. Oh bon sang qu’il est sexy. De nouveau je l’embrasse et le baiser devient de plus en plus pressant. Il y avait quoi réellement dans cette pizza. Du gingembre ? Ma main gauche vient se perdre dans ses cheveux alors que je lui masse délicatement les cheveux. Ma main droite vient se poser naturellement sur sa joue puis rejoint l’autre dans ses cheveux. Heureusement qu’il me plaque au mur hein … sinon le drap tomberait. Doucement je plie le genou et je caresse avec le côté de sa cuisse lentement puis je passe vers l’intérieur de sa cuisse et continue à frotter mon genou contre son entrejambe. Entre temps mes deux mains descendent de ses cheveux et prennent en coupe son visage et le maintient à quelques centimètres de mon visage. Pas possible de m’embrasser. Mais pas possible de ne pas me regarder non plus. Un sourire pervers nait sur mon visage alors que je continue ma douce torture.

Plaquée contre ce mur par Jason je sentais le froid qui m’avait un peu rejointe tout à l’heure de faire la malle rapidement. Ses baisers étaient agréables. Et oui y’a pas a dire, s’il disait ne pas être trop compétent et même un peu rouillé avec les filles, j’aimerai bien savoir ce que c’est quand monsieur est en pleine forme ! Les baisers se succédaient sans se ressembler et je devais résister à l’envie de lui sauter dessus sur le champ. Je perdais mes mains dans ses cheveux pour ne pas presser les choses. Pour ne pas me lancer trop tête baissée dedans. Puis me vint une idée. Le faire doucement languir. Faire monter l’envie et le désir graduellement. Je ne faisais que l’effleurer de mon genou. Avec mon grand sourire pervers aux lèvres je l’observais et guettais tout signe ou réaction de sa part. Ses mains parcouraient tantôt le drap tantôt ma peau puisqu’il n’étais pas vraiment très … couvrant. Il joue le jeu, je peux le voir dans ses yeux. Il pourrait très bien renverser la situation. Il pourrait très bien se libérer de mon semblant d’emprise sur lui. Il tentait de se libérer mais n’y parvenait pas. Ou alors ne voulait pas y parvenir.

Mon genou plié je posais ma main sur son épaule pour tout de même garder un peu d’équilibre –ça serait con de se vautrer- et je continuais doucement à le frotter contre son entrejambe sui réagissait tout à fait normalement. Je baissais doucement les yeux et souris largement heureuse de voir que j’avais réussi mon travail. C’était je l’avoue assez injuste. C’est toujours plus simple de faire réagir un homme. Il suffit d’y mettre le doigté. Je le laissais de nouveau libre de ses mouvements lâchant son visage, le même sourire pervers toujours aux lèvres.- et finit par reposer ma jambe pliée au sol comme si de rien n’était. De ma main posée contre son épaule je le repoussais un tout petit peu, de manière à faire tomber le drap entre nous. Oups. J’étais de nouveau nue et toute à sa disposition en face de lui. Bientôt je comblais de nouveau l’espace entre lui et moi pour venir déposer ma bouche sur son torse. J’y laissais des baisers enflammés alors que mes mains elles caressaient son dos avec envie. Je le repoussais doucement à l’aide de baisers passionnés, sur ses lèvres de nouveau en direction du lit ou il fut obligé de s’asseoir. Je n savais pas précisément ou je voulais aller. Je vins m’asseoir sur ses genoux, dos à lui, sentant entre nous son membre tendu sous le tissu de son boxer. Je laissais ma tête aller en arrière sur son épaule à lui et léchait tout ce qui était à portée de mes lèvres. Mes mains caressaient ses cuisses du bout des doigts alors qu’au creux de son oreille je murmurais « Jason … dirige moi. »

Tout était juste impeccable. Dans le sens ou il n’y a pas besoin de beaucoup de mots. De « directions » pour que chacun agisse. C’était un genre de jeu entre nous deux, pas de mots, ou alors très peu. Je m’amusais donc à le faire réagir. A sentir tout son être me désirer, me vouloir mais ne pas pouvoir me toucher. C’était pourtant un jeu dangereux, mais j’étais prête à y jouer. J’étais joueuse. Quitte ou double. Hébien je doublais la mise sans hésiter. Cepedant je ne voulais pas tout ruiner non plus aussi j’arrêtais de torturer son entrejambe pour lui redonner sa liberté. C’est avec un plaisir non dissimulé que je l’accueille de nouveau sur mes lèvres et sur mon corps. Je commence à sentir ma peau se réchauffer. Parce que qui dit masturbation de l’un dit échauffement de l’esprit de l’autre.

Mais je le repousse un peu, laissant ainsi tomber le drap qui n’étais là que pour la mise en scène. Je m’occupe de son torse. Je ne suis pas avare en attentions en général il est toujours aussi agréable d’en donner que d’en recevoir. Ses mains glissent sur mon ventre puis sur mon intimité qu’il tente de caresser mais peine perdue, je le repousse de nouveau. Cela dit si j’avais anticipé son geste j’aurais certainement attendu un petit peu avant de le repousser sur le lit. Pas grave. De toutes manières il pourra se rattraper quand il voudra. Assise sur ses genoux telle une écolière peu sage, je lui susurrais à l’oreille de me diriger. Je voulais qu’il me dise ce que lui voulais que je lui fasse. Je voulais pouvoir le combler en sachant précisément comment y arriver. Que faire et surtout, l’entendre me le dire. Sa main sur ma poitrine m’arrache un soupir alanguit. Oui ma poitrine est très sensible et ses mains dociles savent la combler. Il la serre dans sa main. Contre son bras et je sens le désir monter en moi également en flèche. Mais alors son autre main s’insinuant vers mon intimité elle me provoqua un long râle de plaisir. Le contact de ses doigts était un vrai délice. J’étais impatiente et en même temps j’aimais cette torture. Mes mains caressaient toujours ses cuisses. Ses dents mordillant mon lobe eut pour effet de me faire basculer la tête encore plus en arrière laissant mes cheveux bruns cascader dans son dos alors que je me cambrais sous ses caresses intimes. Je ne boudais pas mon plaisir. Un regard vers lui et je voyais que ça lui plaisait. Qu’il aimait ça tout autant que moi et je fermais les yeux en murmurant son prénom au creux de son oreille. Pantelante j’essayais de murmurer quelques mots. « Comment … puis-je te faire plaisir ? » oh oui. Je voulais lui donner du plaisir aussi. Alors qu’il continuait ses caresses et me répondais, je posais ma main sur la sienne pour l’inciter à y aller plus profondément s’il le souhaitait.

Jason prenait les choses en main, au sens propre comme figuré d’ailleurs et je devais bien avouer que cela me plaisait énormément. Tout comme je l’avais fait me désirer tout à l’heure, c’était à son tour de me rendre folle d’envie et de plaisir. De me consumer à l’idée de le toucher de nouveau. Ses mains sur mes seins prodiguaient des caresses délicates mais appuyées. Expertes d’un hommes qui connaît mes faiblesses. Assise sur ses genoux et ses deux mains aux endroits stratégiques de mon anatomie je n’avais d’autre choix que de me laisser aller au plaisir. Et il n’y allait pas de main morte j’aime autant vous le dire. Mon dos collait au sien par la sueur que mon corps produisait déjà. Signe de la chaleur et du désir qui commençait à m’étreindre de nouveau. Je murmurais son prénom au creux de son oreille dans des tons différents selon les caresses qu’il me portait. Aigu quand il déplaçait un peu ses doigts et plus rauques quand il intensifiait le caresses sur un point spécifique.

Puis bientôt les caresses ne suffirent plus. Je gémissais de plaisir alors que je tentais entre mes cris de savoir ce qui lui ferait plaisir à lui. Je guidais ses doigts vers mon intimité lui indiquant d’y pénétrer doucement. Ce faisant je lâchais un râle un peu plus grave que les autres et je fis bouger doucement mon bassin désireuse de continuer ce contact si agérable. Je descendais alors ma main sur mon clitoris que je caressais doucement. L’auto torture il n’y avait rien de mieux. Je commençais à frissonner et a être prise de quelques convulsions. Ma réponse ne tarda pas. -Je ne sais pas... étonne moi. mon cerveau n’était plus à même de réfléchir pour le moment. Ce qu’il sembla comprendre puisqu’il arrêta net ce qu’il faisait. Je soupirais légèrement frustrée. Il desserrait son étreinte et je pouvais le sentir. Je me sentais extrêmement frustrée. Mais je dois bien avouer que je l’avais bien cherché. Je reprenais doucement mon souffle. Le surprendre hein … un petit sourire s’étira sur mes lèvres et alors que je me tournais mon visage vers lui je répondis simplement. « Tu me fais confiance !? » je l’embrassais puis me relevais de ses genoux. Je ne le regardais pas et allais dans mon armoire pour prendre un foulard avant de revenir vers lui pour le nouer autour de ses yeux. « Shhh » il voulait de la surprise. Il allait en avoir. « Je reviens tout de suite, ne bouges pas » je laissais ma langue courir sur ses lèvres puis partit.

Après m’être assurée qu’il ne voyait vraiment pas je pris quelques affaires dans le placard et allais dans la salle de bain. Là bah j’y passais un ensemble sexy. Un corset montant avec décolleté pigeonnant rose pâle. Le tout noué par un gros ruban devant. Avec je passais une petite culotte de la même couleur bordée de dentelle noire avec des portes jarretelles et des longs bas noirs. Un coup de brosse dans les cheveux pour les remettre en ordre, de l’eau sur le visage pour reprendre ses esprits, et un nuage de parfum fruité. Pèche. Je passais un peignoir de soie que je fermais devant avec la ceinture.

Je retournais dans la chambre où il n’avait pas vraiment bougé. Toujours assis sur le bord du lit, les yeux bandés. « Tu peux retirer le bandeau ! » dis-je alors que je me plaçais à un mètre en face de lui. Ce qu’il fit. « Une seule toute petite règle monsieur. Tout avec les yeux. On ne touche pas. » je fis un large sourire et ajoutais. « … du moins pas pour le moment » j’arquais un sourcil provocatrice et attendais qu’il me donne le « top départ ».

Il aimerait bien savoir ce que j’allais faire hein ? Non pas question, sinon comment est ce que je pourrais le surprendre. J’allais dans la salle de bain et me préparais quelque peu. Oh pas grand chose, mais de quoi pouvoir l’allumer un petit peu. Je revenais dans la chambre et lui dit qu’il pouvait de nouveau regarder. Enfin en tout cas retirer le bandeau. Il souriait ce qui m’encourageait à continuer. Oui c’est toujours utile et agréable de voir et savoir qu’on ne s’est pas planté. Son regard posé sur mon corps recouvert de ce peignoir il semblait essayer d’imaginer ce qui se trouvait dessous. Mais avant de commencer. Il y avait une petite règle. Aucunes mains baladeuses. Aucun baiser. Rien, pas de touché. Pas de sa part en tout cas. Je souriais largement alors qu’il le promettait.

« Bien, alors allons y » dis-je un sourire pervers aux lèvres Je m’avançais d’un demi pas et baissais le peignoir d’un côté. Puis le remontait. Je le baissais de l’autre côté cette fois. Avant de le remonter aussi. Je passais une main dans mes cheveux sensuellement puis la descendit sur mon cou alors que je penchais la tête en arrière et que je passais mes mains sur mes seins, mes flancs et mes hanches puis devant au niveau de mon intimité puis sur les cuisses. Je le regardais un sourire en coin aux lèvres et finis par me mettre dos à lui. Je mettais une jambe sur le côté qu’il puisse en voir la longueur et le bas noir. Puis répétais la même chose de l’autre côté. Mon corps toujours dos à lui je tournais la tête pour de manière théâtrale lui envoler un baiser avant de me retourner de nouveau. Doucement et délicatement je saisis le bas du peignoir que j’entrepris de relever lentement sur mes jambes. Au dessus du genou. Le long du bas. Pour arriver aux attaches des porte jarretelles. Pour le laisser tomber de nouveau à sa place. Je pris la ceinture nouée devant moi et tirais un petit peu dessus, oh très peu. Puis encore un petit peu. Lentement, terriblement lentement. Jusqu’à ce qu’elle tombe par terre et laisse entrevoir un tout petit peu de mon ensemble. Mais pas encore beaucoup. Ou pas encore assez. Je m’approchais de lui. A quelques centimètres de sa personne et d’un coup ouvrait le peignoir pour le laisser voir ma tenue. Je posais mes mains sur mes hanches afin de dégager le peignoir de la vue. Lui laissant le temps d’admirer le moindre détail. Le galbe que le corset me faisait. La transparence de la culotte. Les attaches des portes jarretelles. La douceur des bas. Et puis le ruban devant. Je me mis à pousser un soupir provocateur alors que je me débarrassais du peignoir. « Alors … Surpris ? » demandais-je toute sourire. Question qui n’amenait pas spécialement de réponse. Je m’avançais doucement devant lui. Et gardais ma poitrine à quelques centimètres de son visage. Je sentais son souffle chaud dessus qui faisait frissonner ma peau. D’un geste lent. Infiniment lent je remontais ma jambe droite le long de sa jambe pour venir la poser d’abord sur sa cuisse, puis je me reculais pour poser ma cheville sur son épaule. Je ne le regardais à présent plus. Je décrochais une première attache. Puis une seconde. Et puis les dernières et entrepris de faire rouler sur ma jambe le bas noir.

Je me doutait bien qu’il était assez surpris. Mais en même temps c’était le but. Dire que je l’avais déjà beaucoup fait serait mentir. Mais oui j’avais déjà fait quelques striptease. Et puis papa possède une boite de strip, alors oui je sais aussi observer et constater ce qui marche. Tout comme ce qui ne marche pas. Bien sûr ça je ne le dirais pas, mais je dois avouer que ça a son avantage pour le coup. Sa tête ahurie m’encourageait à continuer, m’incitant même à aller encore plus lentement. Oh la vilaine fille.

Peignoir ouvert devant lui je lui laissais le temps de s’habituer. Bien qu’il ait déjà vu mon corps. J’avais choisi cet ensemble exprès. Je souriais largement puis posais ma main sur son menton pour lui fermer la bouche qu’il avait ouverte sous le « choc ». Et puis je continuais le jeu. Parce que oui, je n’avais pas encore fini. Et je me demandais s’il me laisserait aller jusqu’au bout. Est ce qu’il cèderait ou bien est ce qu’il attendrait sagement. Ca seul l’avenir nous le dira. Alors qu’il me demandait s’il ne pouvait vraiment pas toucher, pas même pour aider je tapotais de mon doigt sur son nez. « Même pas pour aider, non non ! Je suis une grande fille. Je sais le faire moi même ! » dis-je avec un clin d’œil entendu. Je l’observais et souriais largement quand il commençait à allonger le bras prête à me reculer s’il le fallait, mais au dernier moment il décidait de rester « sage ». enfin non pas sage. Plutôt patient disons !

Après un premier bas retiré je reposais la jambe au sol et répétais l’opération de l’autre côté. Lelong de son mollet, la cuisse, le flanc, le bras. Mais au lieu de le poser sur son épaule je le posais sur son torse pour y prendre appui et de nouveau dégrafais les attaches une à une et rouler de nouveau le bas jusque la cheville. Une fois fini je restais quelques instants ainsi en face de lui et le regardais en humidifiant les lèvres à l’aide de ma langue. Mais je reculais quand même finalement et détachais le porte jarretelle au niveau de la ceinture laissant le bas de mon ventre à l’air. Délicatement je lançais le sous vêtement sur sa tête. Il ne restait plus que le corset et la culotte. Je passais ma main gauche dans mon cou puis dans mes cheveux avec une petite pose « à la pin up ». D’un pas je le rejoignais et vint m’asseoir sur ses cuisses face à lui. Oui mon corps entrait en contact avec lui mais il ne me touchait pas. Un sourire aux lèvres je me penchais sur le côté pour prendre un de bas que j’y avais laissé trainer et pressant ma poitrine galbée sur son torse je lui passais les mains dans le dos et les nouais à l’aide du bas. C’était purement symbolique hein. Je n’avais même pas serré. L’idée était là. Le « pas touche » défiant. Je mourrais d’envie de savoir s’il ferait quelque chose ou pas. Puis je relâchais la pression sur son torse. Le corset était serré contre ma peau. Et je me reculais doucement pour saisir le haut du ruban qui le maintenait en place. Je défis le nœud et la pression sur mes seins se relâcha doucement. Un passant. Un second. Un troisième. Au bout du quatrième ma poitrine jaillit du corset mais je faisais comme si je n’y prêtais pas attention continuant lentement de défaire tout les passants.

Alors que le pauvre jeune homme doit prendre son mal en patience, et que je m’amuse, vraiment beaucoup à l’embêter un large sourire ne quitte pas mes lèvres. Je connais l’adage qui sème le vent récolte la tempête. Je ne pourrais pas faire celle qui ne s’y attendait pas après. Mais il faut dire que c’était aussi exactement ce que je cherchais. J’en faisais des tonnes. Des mouvements lents, saccadés, des regards lourds de sens. Et je le sentais prêt à bondir s’il n’y avait pas cette (stupide) règle que j’avais instaurée. Il suivait chacun de mes gestes avec attention ce qui m’engageais encore plus à continuer. Allez courage Jason, il ne reste plus grand chose. Encore un peu de patience. Il soupire, impatient mais moi je souris de toutes mes dents.

Le corset commence lui aussi à se faire la malle. Assise sur ses cuisses je sens l’ampleur du désir qui se propage en lui. Il essaye un peu de bouger, mais non je reste sur lui et sur ses cuisses extrêmement confortables. Sa tête effleure la mienne. Hmmm c’est presque un manquement à la règle ça. Mais bon. Je le regarde et sens ma poitrine à présent nue contre son torse et je souris. Son regard est suppliant mais j’arque un sourcil amusée. Non non, encore un peu de courage mon petit. Puis il ose un baiser sous ma mâchoire. Je le regarde avec l’air de vouloir le punir puis je haussais les épaules faisant comme s’il n’avait rien fait. Je défaisais le dernier passant. Bas, très bas sur son torse. « Hmmm … » est ce que je voulais le rendre fou ? Peut être bien. « tu voulais que je te surprenne ! » j’arquais un sourcil et de la même manière que le peignoir j’ouvrais en grand le corset me retrouvant donc totalement poitrine à l’air face à lui. Je soutenais son regard alors que doucement je laissais le corset tomber à terre derrière moi. Je passais avec provocation ma main dans mes cheveux alors que l’autre allait sur ma poitrine lentement avant de se poser sur son épaule. Je m’aidais de cet appui pour me relever.

J’allais par la suite m’allonger sur le lit, derrière lui et caressais de la main son flanc. Puis cessais et passais mes mains sur mon corps pour finir sur mon intimité passant délicatement ma main sous le tissu commençant à me caresser. Puis d’un air innocent et tellement évident je lui dis simplement. « Tu viens ? » d’un air un petit peu impatient. « Je ne suis pas contre les plaisirs solitaires mais … »

Je le regardais d’un air assez fier. C’était un peu con peut être mais je voyais qu’il pouvait et savait se tenir. Bon parfois un peu difficilement bien sûr. Mais au moins il se tenait. Qu’on se le dise, moi à sa place je l’aurais déjà plaqué au mur, au lit ou au sol hein. Oui je ne suis pas une personne très patiente. Mais pour ça il avait tout mon respect. Je m’amusais donc avec lui, pour le tester et voir ses limites quand même. Après tout il l’avait un peu cherché, non ? Il était celui qui avait voulu que je le surprenne. Tout compte fait je n’avais fait que ce qu’il attendait de moi. Un sourire de victoire sur le visage je le toisais.

Est ce qu’il pouvait me toucher maintenant ? Je ne répondrais pas non. J’allais m’allonger sur le lit un petit peu plus loin. Mon regard se faisait insistant alors que je me caressais doucement devant lui. Je souriais en coin quand il défit ses liens pour venir me rejoindre. Oui je l’y avait invité. J’avais fini mon petit jeu. Mais mine de rien je continuais à me caresser et commençais doucement à gémir. Mais il venait se placer au dessus de moi. « Je sais, je sais » dis-je avec une pointe d’arrogance qui n’en était pas. Juste le ton. « Tu sais que t’es pas mal non plus ! Vraiment » je déposais mes lèvres dans son cou « Pas mal non plus ! » Mais voilà que je récoltais ce que j’avais semé. Il m’embrassait avec fougue et passion et je savourais ces retrouvailles charnelles avec plaisir. Oui moi aussi ça m’avait manqué de ne pas le sentir me toucher, faut pas croire. Ma main devenait gênante sur mon intimité puisqu’il venait coller son bassin contre elle et commençait à mimer les coups à venir. Je soupirais et retirais donc ma main. Il bougeait lascivement son corps contre le mien, faisant monter la température en pic. Il écartait mes jambes doucement et je me mordais la lèvre inférieure. Son autre main prenait possession de mon cou pour garder mon corps le plus à proximité du sien et retirais son boxer. Un large sourire fut la première réponse à sa question. Ma main toujours en bas frôlait son sexe tendu. Prêt à l’usage. « Comme tu préfères » dis-je avec piquant alors que bien sûr je préférais qu’il se joigne à moi. Je saisit soudain son sexe le plaquant contre le mien à travers le tissu l’invitant à faire ce qu’il voulait avec en caressant mon clitoris avec son intimité. Oui oui, il pouvait, il pouvait tout à fait. Un sourire pervers naquit sur mes lèvres alors que je me cambrais au contact de nos intimités.

Je le regardais avec envie. Ses compliments, malgré ce que je disais et ce que je laissais paraître me faisaient plaisir. J’étais juste comme ça. Je rigolais bien sûr. Ils me faisaient plaisir et m’allaient droit au cœur faut pas croire. Mais j’étais dans cette optique de jeu. De séduction où je menais la danse. Du moins je l’avais menée pendant ce petit effeuillage. C’était assez drôle. Mais je n’étais pas une personne qui avait besoin de tout contrôler non plus. Mais il était très sexy lui aussi, oh oui sinon nous n’en serions pas là à présent. Un large sourire aux lèvres je le regardais. Non je ne le regardais pas, je le dévorais des yeux.

Je l’avais frustré, je l’avais embêté et titillé. Et je recevais ces baisers fébriles en guise de cadeau. Oui c’était pour moi des cadeaux. J’accueillais ses lèvres avec passion alors que mes mains parcouraient son corps avec envie et chaleur. Mon corps était en fusion tout comme le sien. Mon souffle se coupait de plus en plus et je n’avais que trop hâte de ce qui allait suivre. Le désir était poussé et la tension était à son comble. Chacune de ses caresses me laissait chancelante. Est ce qu’il pouvait à présent coucher avec moi. Je ne pris pas la peine de répondre oui. C’était plus qu’évident. Je gardais son sexe en main le caressant avec attention. Oui oui. Il pouvait. Non même il devait, sans quoi il me frustrerait à son tour. Il leva mes jambes et me défit de ma culotte. Je souriais largement. Voilà une réponse totalement satisfaisante.

Monsieur s’amusait à frotter son membre contre mon intimité et je ne pus me retenir de gémir profondément. Ce contact charnel achève de dérégler mes sens et je me cambre alors qu’il continue à me titiller de son sexe sans pour autant encore entrer en moi. Je me mords la lèvre au sang pour me retenir de hurler de plaisir. Pour me retenir de le supplier de me prendre sans plus attendre. Oh non je n’ai pas le droit de dire ça. Pas après ce que je lui ai fait. Alors je me tais juste, profitant de ce touché des plus agréables. Ses cuisses contre les miennes me rendent folle et quand il entre enfin en moi j’exulte de plaisir dans un long râle des plus expressif. Je rejettais ma tête en arrière sous le poids de la chaleur que je ressentais en ce moment même au niveau de nos sexes joints. Il commençait lentement. Pour bien me faire languir. Me tirant de multiples gémissements équivoques. Je le sentais de toute sa longueur en moi, chose des plus agréables. Puis il accélérait la cadence un peu et je peinais à trouver ma respiration. Il me maintenait les jambes largement ouvertes et risquait une de ses mains sur le ventre puis sur mes seins qui rebondissaient au rythme de ses assauts. Il pressait ses cuisses contre mes jambes et entrait plus profondément en moi. Je ne ressentais pas de douleur, je ne connais pas trop mon taux de flexibilité, mais sous le coup du plaisir et de l’adrénaline, le corps peut faire plein de choses insoupçonnées. Il y va de plus en plus vite et j’ai l’impression de laisser échapper un gémissement presque continu tellement je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle entre chaque assaut violent.

Mais il cesse le rapport d’un coup me laissant aussi désemparée que contente de pouvoir respirer un peu. Je rouvre les yeux et le cherche du regard. Bon sang il va finir par me rendre accro à son corps, et j’ai l’impression d’être une junkie en manque les quelques secondes ou il est séparé de moi. Fort heureusement il revient rapidement s’allonger sur moi pour m’embrasser avec fougue. Je laissais ma langue vagabonder avec la sienne alors que je griffais légèrement son dos pour l’inviter à me pénétrer de nouveau. Il passe sa main sous mon genou qu’il plie aisément pour de nouveau entrer en moi. Nouveau gémissement. Mais il a la bonté de me laisser respirer. Ce dont je lui suis gré. S’il reprend une cadence de fou, nul doute st que je fais exploser avant l’heure, ce que je ne souhaite pas du tout. Non je veux que ça dure. Des baisers langoureux se mettaient en place alors que je parcourais son flanc de ma main de manière lente. Son corps était juste magnifique. J’avais envie de le dévorer. Je descendais ma main sur ses fesses que je caressais langoureusement au rythme de ses mouvements de reins tranquille pour le moment. Mais monsieur pousse le vice plus loin et vient ajouter au rapport sa main sur mon clitoris. Dès que son doigt le frôle je lâche un cri de plaisir au beau milieu d’un de ses baisers enflammés. Mon petit bouton de plaisir se gonfle grace aux caresses prodiguées et je sens mes muscles se crisper. Je me cambre de plus en plus l’aidant, accompagnant ses mouvements et il mêle ses gémissements aux miens. Son visage restait proche du bien et tout était sensible, ma peau réagissait à toit. Même à son souffle sur mon nez. Sa langue sur la mienne. Nos sueurs se mélangeaient et la cadence accélérait alors qu’il me soulevait de plus en plus. La position qu’il avait prise me faisait sentir son pénis en entier en moi et de plus en plus alors qu’il me levait.

« Oh bon sang Jason … » dis-je entre deux gémissements. Je me cambrais et l’aidais à l’aide de mes hanches, me mouvant en même temps que lui , suivant son rythme. « Maintenant je saurais quoi imaginer quand je serais en sol- » mais je n’eux pas le tems de terminer le mot parce qu’un gémissement ne put s’empêcher de se frayer un passage hors de ma bouche. J’étais aux anges. Littéralement aux anges. Et là pour le coup j’étais entièrement soumise. Qu’il fasse ce qu’il souhaite, je le suivrai. Mais je le laissais seul maître à bord pou l’instant. Et puis … il avais les choses tellement bien en main.