Je faisais tout pour ne pas partir. Je voulais tenir, je voulais tenir la distance. Mais c’était de plus en plus difficile. Je me disais que je ne savais pas si je pourrais me passer de lui. Je n’en était pas certaine. Et pourtant je ne m’attachais à personne moi. Je m’en étais fait une règle. Peut être que c’est la situation qui veut ça. Peut être que demain ça sera différent. Ou pas. Quoi qu’il en soit, on verra bien. Je pense que pour l’heure j’ai bien d’autres choses à penser hein … Ilé tait passionné et tellement prévenant que je ne pouvais qu’aimer. J’appréciais d’ailleurs qu’il prenne son temps, qu’il n’y aille pas en mode bourrin et qu’il fasse son affaire rapidement. Pas que ça m’aurait dérangé non, parfois aussi quand c’est très intense c’est tout aussi bon, les sensations sont les mêmes. Mais vous voyez c’est quand même mieux quand on prend son temps. Je me meus sous son corps sous ses caresses que j’accueille avec plaisir. Ça pour me combler, il me comblait, il pouvait en être sûr. Et comme je ne suis pas une personne spécialement discrète –pour les choses de l’amour comme pour le reste- il doit s’en douter un peu. Je le vis sourire de mes yeux mi-clos ce qui me fit sourire moi aussi. Oui c’est comme je le dis toujours agréable de savoir que ce qu’on fait plait. Que l’on s’y prend bien. Et ça pour s’y prendre bien, oui il s’y prenait bien.

Coups de bassin. Caresses intime. Jason y allait fort et me maintenait dans une position où je ne pouvais retrouver ses lèvres. C’était une demi-torture car je voulais de nouveau y gouter. Et en même temps ses assauts m’empêchaient de trop y penser. Je lui certifiais que non je n’étais pas prête de l’oublier. Ce qui le fit ricaner. Je souris doucement me laissant aller au plaisir que je ressentais alors que mon ventre commençait à se durcir de plaisir et que mes cuisses devenaient toutes engourdies. Mon dos se cambrait de plus belle au vu de la position mais je n’étais pas contre les acrobaties. Cet angle permettais une union plus profonde et donc d’autant plus sensible. Je sentais mes pieds s’engourdir également et je soupirais. Sa main se retire de son clitoris et je soupire à la fois de déception et de plaisir, oui tout est mélangé. Il me soulève encore un peu plus et je passe mes cuisses autour de ses reins pour m’y accrocher plus encore. Il y allait de plus en plus fort et je soupirais alors que mes deux mains étaient crispées sur le drap du lit qu’elles serraient avec vigueur. Je sens le final approcher. Le bouquet de fin. L’explosion. Et alors que j’étais à deux doigts de l’orgasme il ralentit et sort carrément de moi. Je me relève comme je peux –quand même je suis assez épuisée hein !- sur les coudes et le regarde me demandant ce qu’il veut faire. Mes jambes sont comme anesthésiées et je suis trempée de sueur. Je le vois s’asseoir et continue à l’interroger du regard. Mais il attrape ma main et m’attire de nouveau vers lui me disant de venir par là. Je le rejoins plus ou moins facilement tous mes muscles étant engourdis. Mais je m’exécute, avec plaisir. De nouveau je viens me placer sur ses genoux et passe mes mains dans son dos que je caresse malgré la sueur. Je sens son intimité plaquée contre la mienne et après un long baiser fougueux je me colle à lui avant de me relever pour venir m’empaler sur lui de nouveau avec un long gémissement. Mais je ne bougeais pas tout de suite le laissant caresser mon visage. Je le regarde intensément. Je ne sais pas quoi dire ; et les mots ne sont pas nécessaires croyez moi. Il m’embrasse avec passion et c’est lui qui débute les mouvements. Je le laisse d’abord le faire seul. Bouger son bassin, faire des va-et-viens en moi. Pour le moment moi je m’occupe de sa bouche donc je lèche avec ferveur le contour. Dont je mordille légèrement la lèvre supérieure. Sur laquelle je souffle doucement pour la rendre sensible. Puis je dévie dans son cou où je m’applique à lui laisser un suçon. Oups. Puis je commence enfin à l’aider un peu. Me cambrant et me lovant contre lui j’épouse ses mouvement et lorsque sa langue fait des merveilles sur mes seins et mes tétons, je penche la tête en arrière lui laissant un accès totale. Je passe mes mains sur ses épaules pour monter et descendre sur son membre plus facilement mais rapidement il m’aidait prenant mes hanches de ses mains et accompagnant mon corps à monter et descendre sur son sexe tendu. Je sentais l’explosion arriver. Et cela pouvait se voir à mes yeux perdus que je ne pouvais plus contrôler. A mes gémissements de plus en plus longs et puissant. Et à mes cuisses se resserrant autour de ses hanches pour une étreinte plus serrée. « Ahhh … » hurlais-je à présent imprimant un rythme de plus en plus soutenu. Ma bouche était sèche, je manquais d’air, je l’entendais prendre son pied ce qui ne faisait que m’exciter que plus encore.

Le coup fatal arriva enfin. Un dernier mouvement de bassin. Son membre allait si profondément en moi que je hurlais de joie arrivant au septième ciel par la grande porte. Tel un bouchon de champagne mon orgasme fut bruyant et explosif. Je fermais les yeux et laissais mon corps en proie à cette vague de sentiments indescriptible. Pour la deuxième fois de la soirée il m’avait donné un orgasme. J’essayais au milieu de ce maelstrom de le regarder de le voir prendre son pied et je me mordais la lèvre avant de finalement hurler quand je le sentis se déverser en moi. Mes cheveux étaient humides et collaient dans mon dos et je souriais heureuse et épanouie. « Dieu que c’est bon » je fermais les yeux et posais ma tête contre son épaule alors que je continuais à imprimer des légers mouvements de bassin. Juste pour le plaisir. Pour le sentir toujours près de moi. en moi.

Je me sentais tellement bien dans ses bras. Il était d’une charmante compagnie et très doué au lit. Ce qui ne gâchait rien. Le plaisir montait tellement vite, les choses semblaient tellement énergiques que je savais bien que je ne pourrais plus tenir bien longtemps. Haletante il m’est difficile de voir clair et de répondre de moi même en réalité. Je suis déjà à moitié partie. Oh nul doute qu’après ce round ci nous aurions bien besoin de repos. C’était certain. Peut être manger quelque chose, ou boire. Ou les deux probablement. Laisser nos muscles se reposer, nos cœurs retrouver leur battement habituel. Reprendre des forces en soit. Mais pour le moment j’étais toujours unie à lui et la cadence s’amplifiait tout comme le feu intérieur qui me dévorait.

Et je partis en premier. Cela ne me dérangeait pas. A vrai dire partir en premier où en second ne fait que peu de différences. Hormis qu’il est toujours agréable de voir l’autre atteindre le pic du bonheur. Un large sourire béat aux lèvres je sentais tout mon être frissonner et trembler. J’étais encore toute pantelante quand à son tour il y parvenait lui aussi. Je le regardais dans les yeux à ce moment là. Oui c’est bien ce que je dis. Voir l’autre partir est vraiment agréable. Je soupirais d’aise et m’agrippais à son cou pour rester tout contre lui un peu plus. Son front se posait sur le mien et je souriais en le regardant. Ma respiration était difficile, mais se calmait un peu tout de même. Je dégoulinais de sueur mais ce n’était pas bien grave. Quand il posa sa tête contre mon épaule j’en fis de même et fermais doucement les yeux. Je continuais un tout petit peu à bouger. Juste comme ça. Pour m’épuiser totalement. Ce qui … ne manqua pas le peu de force qui me restait partirent dans un souffle et je m’effrondrait sur son épaule.

Heureusement qu’il eut la force de me soulever et de m’allonger sur le lit parce que moi j’aurais pas pu me séparer de lui. Mes batteries étaient totalement à plat. C’est avec un grand plaisir que je retrouvais le couvre lit frais. Et mon oreiller froid sur ma joue. Aaaah, c’était agréable un petit peu de frais. Allongée sur le ventre je profitais de la fraîcheur des parties de lit ù nous n’avions pas été pour calmer la chaleur de mon corps. Fermant les yeux je souriais en sentant sa main sur mon dos. J’ouvris les yeux pour le regarder doucement. Il semblait –tout comme moi- satisfait. Je passais mon bras sous ma joue histoire de relever un peu mon visage et continuais à le regarder. Mon cœur reprenait peu à peu un rythme plus régulier. Je souris et passe ma main sur sa joue quand il dépose un baiser sur ma tempe. Et le laisse tomber allongé à mes côtés. J’étirais un bras pour le poser sur son torse et n’en bougeais pas. Je ne me collerai pas à lui. Pas que je n’en avais pas envie, mais j’étais brûlante et lui aussi. Jouer les sangsues ne refroidirait pas nos corps.

Je soupirais doucement et après quelques minutes de repos très peu réparateur je me retournais pour me mettre dos au lit. « Je meurs de faim … tu veux manger quelque chose ? » j’essayais de me relever mais j’en avais pas encore la force. Je soupirais lourdement et me laissais tomber sur l’oreiller. « Heu, en fait pas tout de suite. Pour le moment je ne peux pas bouger ! » et je partis d’un éclat de rire assez sonore. Merde c’est con. J’étais à la fois détendue et épuisée. Pas étonnant.

J’étais en ce moment même. Oui en ce moment tout à fait précis. Heureuse et comblée. Pas besoin de penser. De réfléchis aux choses. A ce qui se passe en dehors de cette chambre. En dehors de cet appartement. La misère qui règne à Gotham. La fatigue de tous. L’insécurité, les combats de rue, les bandits. Ce monde auquel j’appartiens. Ces brigands, ces mafieux sont ma famille ; mais ce soir je ne suis pas Silvia Bartolozzi, héritière de Silvio Bartolozzi. Mais je suis Honorata Bartolozzi. Personnal Shopper dans un grand magasin. Je lui souriais et le trouvais beau. Oui il l’était. Je fermais doucement les yeux. Repos. Oui j’avais grandement besoin de repos là. Ce n’est pas dit qu’une troisième mi-temps n’arrivera pas. Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Mais pour le moment j’avais besoin d’un peu de repos. C’est plutôt fatiguant des ébats d’une telle intensité. Je me retournais et fermais les yeux. Je restais à côté de lui c’était agréable de sentir sa présence à côté de moi. Puis je me redressais pourquoi ne pas manger un peu, personnellement j’avais pas mal faim à présent. -Euhm... Pourquoi pas, c'est vrai que tu m'as ouvert l'appétit. il semblait d’accord avec moi. Mais je sentais mes muscles comme du yaourt, impossible d’y aller moi même. -Je peux aller nous chercher ce que tu veux. Tu dois avoir une sorte de garde-manger comme tout le monde. je tournais la tête et me dit qu’il était vraiment chou. Je souriais doucement et hochais positivement de la tête.

« Pouah, pourquoi pas. je ne sais pas précisément ce qui me reste, je dois bien avoir du jambon, un peu de fromage, peut être de quoi se faire des sandwich. Ou alors des œufs. Enfin je crois qu’il ya un peu de tout » je souriais doucement. « Mais t’es pas obligé d’y aller maintenant. On peut se reposer un peu d’abord hein ! » je le regardais, le choix lui revenait. Je pourrais très bien le faire plus tard, ça ne me dérangeait pas. Mais juste … pas dans l’immédiat. Pour le moment je retrouvais à peine la sensation de mes jambes. Hé oui Honey, c’est ça de provoquer un homme !

[HJ = Bouh désolée pas terrible du tout, chui' pas super en forme depuis jeudi, déprime quand tu nous tiens]

Oh oui j’étais épuisée je ne m’en cachais pas. C’est qu’à jouer avec le feu comme je l’avais fait. Lui faire un strip tease. Le laisser languir … j’avais gagné toute la puissance de l’acte qui avait suivi, et j’avais maintenant besoin de me reposer, et de reprendre mes forces. Ce n’était pas bien grave hein, la soirée n’était pas finie, du moins je ne l’espérais pas. J’avais encore tout le temps devant moi. Et puis les ébats ça creuse. Je souriais doucement et trouvais très galant de sa part de proposer de faire un sandwich, je lui indiquait donc ce qu’il y avait dans mon frigo à peu près du moins je ne connaissais pas son contenu par cœur cela dit ! mais il était serviable et y allait -"On", ça t'inclues surtout! Aller, reposes toi, je vais nous faire des sandwichs pendant ce temps. je souris doucement et m’allongeais. « Oui tu m’as épuisée ! » je fermais les yeux et l’écoutais se lever. « Merci ! » je me relevais doucement et vis le draps trop loin … par terre. Merde … bon bah … tant pis je me rallongeais sur le lit. On restera comme ça. Je m’allongeais et posais la tête sur l’oreiller bien moelleux et frais.


-Tu veux quoi comme accompagnement dans ton sandwich? Je mis quelques secondes pour réfléchir et puis lui répondis simpelment « Moutarde à l’ancienne, il doit y en avoir dans le placard du haut, juste au dessus de l’évier ! » je souriais et fermais de nouveau les yeux. Mais il revenait déjà. Je me relevais. Mes muscles se détendaient bien plus et fort heureusement ! Je pris l’assiette qu’il me tendait et m’assis. En face de lui. -Si tu veux à boire, vas falloir que tu te lèves par contre. je levais les yeux au ciel mais ne tardais pas à rire de bon cœur. Oh bien je me lèverais donc ! « D’accord. Tu veux boire quoi ? » je me levais et délaissais mon assiette qui avait pourtant l’air délicieuse et le temps qu’il me réponde j’ouvrais un tiroir et pris le premier Tshirt qui me passais sous la main. Un noir à l’effigie des Rolling Stones. Impec. En plus il me tombe à mi cuisse pas besoin de remettre de sous vêtement surtout que je n’ai qu’une envie retourner m’allonger. Je le passais et avec sa réponse je retournais à côté pour nous servir les boissons. Un grand verre d’eau avec des glaçons pour moi. Un peu de fraîcheur ne ferait pas de mal.

Je remontais sur le lit, et lui tendis son verre. « Ah attends c’est pas super stable. » je passais plus ou moins sur lui pour retirer de la table de chevet de son côté les choses qui s’y trouvaient afin qu’il puisse poser son verre sans risquer de le renverser. « Voilà ! C’est mieux comme ça ! » je m’assis de nouveau, bus une gorgée et posais le verre sur ma table de chevet de mon côté. Je pris enfin le sandwich et y mordait un bon coup. Il était délicieux. « Je vois que tu es un bon cuisinier ! »

Je souriais doucement. C’était un moment assez agréable, no même vraiment très agréable que je passais avec lui. Et en plus il était vraiment galant, il me laissait me reposer pour aller confectionner des sandwichs. Je souriais et fermais les yeux pour pouvoir profiter de ce repos bien mérité. Alors qu’il me demandait l’accompagnement, je lui indiquais ce que je voulais, et où le trouver. Bah oui hein c’est ma cuisine pas la sienne. Il n’est pas sensé avoir la science infuse et savoir où tout se trouve. -Ok, merci! je souriais et tournais la tête vers la fenêtre. Soupirant d’aise et de repos je m’étirais un petit peu.

Il revenait déjà avec les sandwich et j’avais hâte de les déguster, toute cette action m’avais donnée une faim de loup. Et en contrepartie je décidais d’aller prendre les boissons. Ouais c’était quand même le mieux que je pouvais faire. -Du jus d'orange, ce serait parfait, si t'en as. je souriais, lui fit un clin d’œil puis allais dans la cuisine afin justement de prendre un grand verre de jus d’orange pour lui et de l’eau fraiche pour moi. Quand je revenais il avait déjà fini un sandwich, je souriais, ah bah au moins je ne suis pas la seule qui a faim hein … je déposais son verre sur la table de chevet à côté, mais … il avait déjà tout bu. Ah bah c’est sûr que là pas de soucis de renverser ça sur le lit. Je souriais doucement puis commençais à manger. ENFIN.

C’était très bon et je ne manquais pas de le lui faire remarquer. -Je m'en sort ouais... Pas trop le choix quand on vit seul. je souriais en coin. Oh oui je connaissais ça ! -Et toi? Tu es bonne cuisinière ou..? je haussais les épaules. « Je ne me suis jamais vraiment posé la question à vrai dire, moi aussi je me débrouille bien quand je suis seule. Mais … » à vrai dire on avait toujours eu des cuisiniers qui faisaient à manger pour nous chez papa. Oh parfois on cuisinait ensemble mais bien souvent les gens le faisaient pour nous. « Je n’ai jamais beaucoup cuisiné. Sauf les soirées pâtes avec mon père les dimanches soirs » oui ça les pâtes on le faisait ensemble. C’était … un peu cliché je l’avoue, mais … pour les italiens, les pâtes c’est sacré et la famille Bartolozzi ne dérogeait pas à la règle. Et puis les bons plats de ma mère … bah ma mère est morte quand j’étais jeune donc … « Mais bon je suis encore en vie, et je crois pas avoir eu d’intoxication alimentaire. » je me mis doucement à rire « Donc bonne cuisinière je ne sais pas. Mais cuisinière ouais … si on veut » et terminais le premier sandwich. Je faisais une pause entre les deux pour boire un peu d’eau fraîche puis allongeais mes jambes. Pouah, je retrouvais un peu des forces, y’a pas à dire manger c’était vraiment utile.

Mais il se relevait et je me demandais pour aller où -T'inquiètes, je reviens. oh son verre. Je fis un signe de la tête, de toutes manières il n’était pas enchainé, s’il voulait se lever et bouger, je n’allais pas l’en empêcher. J’en profitais pour terminer le second sandwich. Hmmm. C’était délicieux. Je m’étirais de nouveau et terminais mon verre d’eau. Et il revenait déjà. -C'est tranquille chez toi, je n'ai pas l'habitude. Chez moi, ya les sirènes, les coups de feu, rarement, mais parfois, ça arrive... Sans oublier les klaxons et tout... Ici, à comparer, c'est le paradis du silence. je souriais. « C’est vrai que c’est calme ici. Au moins on n’est pas reveillé au plein milieu de la nuit par un mac qui a failli étouffer sa pute » je me mis doucement à rire. Oh oui j’avais déjà vécu ça. Je m’en souvenais comme si c’était hier. Je connaissais les bas-fonds de Gotham, ou les endroit juste un peu moins « riches » ou plutôt « calmes » qu’ici. « Ca ne me manque pas vraiment, même si parfois je trouve que c’est un petit peu trop calme. » je soupirais doucement. Papa n’habite pas un quartier malfamé, mais il y a quand même toujours des trucs qui arrivent. Les sirènes principalement. « Ici c’est un peu comme si on était dans un monde sans bruit. Ca peut être stressant. » oui le bruit trahissait la vie. Et c’était plus rassurant qu’un silence inquiétant. Du moins … à mon avis.

La cuisine c’est quelque chose de tout à fait naturel. Et puis j’aimerais peut être ça si j’étais un peu plus patiente. Non je ne suis pas vraiment ce que l’on peut appeler quelqu’un de patient. Je suis assez indépendante et puis surtout j’ai l’habitude d’avoir tout servi sur un plateau d’argent. Alors je n’ai jamais pris le temps de faire réellement la cuisine. Hormis comme je le lui disais, depuis que je vis seule, et puis les soirée pasta avec papa. Mais encore ça je ne considère pas réellement ça comme de la cuisine mais plus comme de la détente. Un moment de complicité entre un père et sa fille. En musique, et en italien bien entendu. -J’imagine bien la scène. De mon côté, pas de dimanche de pâtes, mais ma grand-mère m’a appris. Elle me disait que de nos jours, pour se trouver une femme, un homme doit savoir cuisiner et que mon père était un cuisinier hors pair. Du coup… pas trop le choix. je souriais doucement. « Oui c’est une scène assez étrange quand on la voit de l’extérieur. » je repoussais un peu mon assiette pour m’installer un petit peu plus à mon aise. « Donc tu as été élevé pour devenir un parfait homme à marier ? » je souriais doucement, oh je ne faisais que le taquiner. Mais bon on s’en sortait plutôt bien l’un comme l’autre et puis personne n’était tombé malade alors. -Ah ça non, je ne crois pas! je souriais doucement. Oui en effet !

Il allait reposer son verre à la cuisine, ou peut être en reprendre un. Quoi qu’il en soit, pas de soucis, je ne comptais pas le jus d’orange à la goutte près. Et j’en profitais pour manger le dernier sandwich. Je repoussais les assiettes qu’elles ne nous gênent pas. Et surtout pour pouvoir m’allonger sur le lit. Il faisait remarquer que l’endroit était plutôt calme et silencieux. -En tout cas, tout à l’heure, je crois qu’on a mis un peu d’action. je me mis doucement à rire. C’est le moins qu’on puisse dire. Surtout que j’étais comme qui dirait … bruyante. « Ca c’est sûr ! » je souriais à pleines dents et pris une mèche de mes cheveux et m’amusais à l’enrouler et la déroule autour de mon doigt.

Et puis il reprit la parole. Pour aborder un sujet un petit peu plus délicat. Mais je ne disais rien le laissant complètement dire ce qu’il voulait dire. -Je ne sais pas si c’est le bon moment pour en parler, mais j’aime être honnête… Je ne suis pas vraiment à la recherche d’une relation sérieuse en ce moment. J’ai donné en la matière et… bref, je préfère te le dire tout de suite. Je serais content qu’on se revoie, qu’on se fréquente, mais si tu cherches un petit ami sérieux, un truc à long terme, je ne suis probablement pas un bon candidat. je souriais doucement et me mis à réfléchir. Oh je ne voulais pas réellement de relation suivie. Enfin à long terme. Suivie peut être, mais .. Pas de présentation aux parents, tout le tralala. Pas être en couple quoi surtout ça. Ça n’avait rien à voir avec lui. Mais plus avec moi. Et puis il faut dire que mon exemple étant mon père … je sais qu’on peut vivre heureux sans forcément être en couple. On peut être épanoui. Oh je n’imagine pas mon père coucher avec des femmes … vision horrible maintenant que j’y pense … brrr. Mais … il semble bien s’en sortir. Je me retourne donc et je le rearde. Je ne sais pas s’il est inquiet de mon point de vue à ce sujet, mais nous avions la même vision des choses. « Moi non plus » je souriais doucement. « Tu es un jeune homme charmant. Et aussi terriblement sexy. Tu le sais bien » je lui adressais un clin d’œil. « Mais je ne suis pas à la recherche de l’homme de ma vie, de celui qui me fera une flopée d’enfant et me gardera à la maison pour lui tout seul » je souriais en coin. Je retournais su le lit et me relevais un peu dans le lit pour pouvoir poser la tête sur l’oreiller. Je regardais le plafond. « Mais te revoir … » je tournais la tête pour le regarder « … sera avec plaisir. » je souriais largement et reposais la tête sur l’oreiller. « Je pense que je me suis bien exprimée sur le sujet » je tirais doucement la langue et fermais les yeux. Bah au moins on était d’accord.

-Je ne trouve pas ça étrange, je trouve ça beau. je haussais les épaules. Peut être bien qu’il avait raison. Je suppose que c’est une question de point de vue. Mais il est vrai que pour rien au monde je raterai nos dimanches familiaux. Il était la seule famille qui me restait, je ne prendrais jamais le risque de le rater. Je l’aimais bien trop pour ça. « Oui aussi. Disons que je suis surtout très attachée à mon père, ce qui n’est pas forcément le cas de tout les gens que je connais, je suppose que c’est pour ça que je qualifie ça de bizarre. » de nos jours la vie est tellement rapide, et aussi … tendue que je ne sais pas s’il est fréquent d’avoir encore des moments en famille. Les gens semblaient pressés. Effrayés du futur, de ce qui pourrait arriver. Et je pouvais aisément les comprendre. Les choses n’étaient pas aisées ici. Et il y avait des menaces un peu partout.

Puis je plaisantais un peu disant qu’il faisait donc un parfait homme à marier, seulement je crois que je l’ai un peu vexé. Ou froissé. Du moins qu’il ne s’attendait pas à cette réaction. Faut dire que je ne suis pas toujours délicate, la franchise peut avoir des inconvénients, surtout que là c’était plus une blague qu’autre chose. -Je dirais que certains ont essayé en tout cas. je soupirais. « Je ne voulais pas t’embêter avec ça hein. Je suis désolée. » je me sentais un peu idiote à présent. Des fois Honey tu devrais apprendre à fermer un petit peu ta grande bouche !

Parler des choses plus « sérieuses » me permettait de ne plus insister sur ma bourde. Oui nous voulions la même chose. Je ne suis pas certaine de vouloir me marier un jour, avoir des enfants et tout ça. Non pas de gosses, je suis trop impatiente et peu diplomate pour ça. Ils me coureraient tout de suite sur les nerfs … mais une vie de couple … oh bon sang … papa essayait déjà de me caser avec Nevada … il est peut être très brillant pour plein de choses mais mon père n’y connaît rien aux choses de « l’amour » ou de la séduction. Je ne supporte pas ce mec. Et c’est pas parce qu’il est son bras droit qu’automatiquement je vais me mettre en couple avec lui et paf être heureuse et reprendre les affaires ainsi … non ce mec je le donnerai plus aux ordures qu’autre chose. Rien que penser à lui m’énervait … alors n’y pensons pas ! -Oui, t'as été clair et... tout est parfait, on n'aura plus à se tracasser avec ces détails. je souriais de toutes mes dents. Oui ainsi tout était parfait. Tout le monde avait son compte. « en effet » je hochais positivement de la tête et souris de nouveau. « Tu peux m’appeler quand tu veux. Ou au pire, maintenant tu sais où j’habite ! » je lui adressais un clin d’œil. Le revoir serait agréable. Ne pas s’attacher, pas de sentiments. C’était le mieux qui pouvait nous arriver. Et être sur la même longueur d’onde était agréable. J’aurais été peinée de savoir qu’il voulait une chose de longue durée. Je ne le connais pas encore assez. Et puis je ne suis pas convaincue qu’à la longue je sois quelqu’un de supportable … non en fait j’en suis sûre. Je suis trop chiante. Et je le revendique.

-Ton lit est trop confo', ça te dérange pas si je reste dormir? je le regarde doucement. « Bien sûr que tu peux. Pas de soucis. Si tu veux prendre une douche y’a plein de serviettes dans la salle de bain » je désignais la porte en face. « Et puis tu sais où es la cuisine si t’as faim ou soif. » je lui fis un clin d’œil. Oui il pouvait rester s’il voulait. Je déposais un baiser à mon tour sur sa joue. Dans le tiroir de la table de chevet je pris un élastique et me rattachais les cheveux. Je regardais mon verre, vide et dis. « Je reviens je vais chercher un verre d’eau. » je me levais d’un geste, je retrouvais ma vitalité. Il était temps, et allais dans la cuisine me servir un grand verre d’eau froide avant de revenir dans la chambre.

Je souriais doucement. Je n’étais pas une personne qui se préoccupe beaucoup de ce que l’on pense d’elle. Alors pourquoi est ce que tout d’un coup j’avais eu peur de le froisser ? Je ne saurais pas vraiment dire. Peut être que je tenais un peu à lui. Enfin pas dans un sens où on s’attache. Mais je n’aime pas blesser les gens. Ou en tout cas je n’aime pas les blesser in intentionnellment. Je me sentais un peu con, mais en fait il me faisait rapidement comprendre que je n’avais pas à m’en vouloir. Qu’il avait compris que je blaguais. La famille a toujours été un sujet sensible. Peut être que c’est pour ça que ça m’a touchée de cette manière … je ne saurais pas réellement dire pourquoi. Mais au moins … il ne m’en voulait pas. je suppose qu’il suffit que ta mère se pende en prison pour que tu aies une définition totalement différente de ce qu’est la famille … hein !?

Puis nous changions de sujet –heureusement- pour parler du fait de rester chez moi pour dormir. Et puis aussi mettre les choses au point. Non je ne voulais rien de sérieux. MAIS je n’aurais absolument rien contre le revoir ! Ce qui tombe pas mal c’est le fait que c’est aussi ce qui semble lui plaire à lui. Bien alors on est d’accord tout les deux. De toutes manières les relations à long terme je ne sais pas si c’est vraiment pour moi. Je suis certainement bien trop indépendante. J’aime pas qu’on me colle tout le temps, j’ai besoin de mon espace vital. Et puis … vous l’auriez peut être remarqué mais je suis une vraie garce. Je suis plutôt invivable ! Je souriais doucement quand il disait qu’il appelait avant de venir chez les gens. Parfait. « Parfait alors ! » je riais doucement puis m’allongeais dans le lit. Ca ne me dérangerait pas en effet de le revoir. Il était de bonne compagnie. Un amant agréable et attentionné. Il avait de la répartie. Tout ce qui pouvait me plaire somme toute. Il pouvait en effet rester dormir, je n’avais rien contre non plus. De toutes manières mon lit était parfaitement assez grand pour nous deux. Et puis je ne vais quand même pas le mettre à la porte maintenant, si ? Après s’il avait préféré dormir dans le canapé je ne lui en aurais pas voulu non plus. Mais il est vrai qu’une fois qu’on a vu mon lit on ne veut pas le quitter. Je souriais largement en l’écoutant. Il se lève tôt. Oh ce n’est pas un souci. Je me mis doucement à rire. « Oh c’est pas grave. Essaye de me réveiller que je te dise au revoir quand même. Sinon bah claque la porte en partant » je souriais doucement en m’allongeant de tout mon long sur le lit avant de me relever pour aller boire quelque chose. Ca fait du bien de se désaltérer. Quand je reviens dans la chambre je le vois déjà sous les draps ce qui me tire un sourire alors que je pose mon verre sur la table basse.

« Fatigué, hein ? » dis-je en souriant et en le rejoignant sous la couette. Je déposais un baiser sur sa joue et posant ma tête sur l’oreiller jouais avec mon doigt sur son épaule.

Je dois avouer qu’il y a quelques jours on me décrirait la soirée qui venait de se passer. Je n’y aurais pas cru. Et en même temps c’est normal. Mais la soirée était bel et bien derrière nous. Et elle avait été délicieuse. Elle laissait aussi promettre de nouvelles rencontrer délicieuses avec Jason. Ce qui me plaisait bien je dois l’avouer. Surtout maintenant que nous avons mis au clair nos intentions respectives. C’était agréable de passer du temps avec lui. Et en effet. Ca serait bien de le revoir. Nous parlions également de rester dormir. Personnellement ça ne me posait aucun problème. -Quand même pas... Si jamais tu fais la princesse au bois dormant, je te laisserai peut-être dormir tranquille. doucement je souriais en m’étirant un peu dans le lit. « Pouah j’aurais que quelques pas à faire pour retourner dans le lit et retrouver les bras de morphée ! » Je me mis doucement à rire. Mais il était mignon à ne pas vouloir me réveiller. « Enfin on verra bien hein ! » je souriais doucement. « Je peux dormir toute la matinée moi, je ne travaille pas avant 14h demain ! »

Un verre d’eau plus tard je revenais et m’installais cette fois-ci sous les couvertures. C’était agréable. Très agréable de partager son lit avec quelqu’un. Ca changeait au moins. Je le regardais doucement le voyant bailler. Fatigué hein. -Plus ou moins... J'ai travaillé moi, je te rappelle.J’arquais un sourcil et me mis doucement à rire. « Bien vu ! » je déposais un baiser sur sa joue et souriais. Puis il se déplace pour se retrouve plus proche de moi Je souris et me décale un peu pour lui laisser plus d’aise tout en restant près de lui quand même. Je souriais en l’observant de plus près et quand il caressait ma joue avec son pouce. -Tu sais... si je ne travaillerais pas aussi tôt, j'en profiterais. j’arquais un sourcil. « Ah ouais !? » mais déjà il venait m’embrasser largoureusement alors que je passais mes mains autour de ses épaules pour prolonger le baiser. Alors qu’il décollait ses lèvres des miennes je souriais doucement « Je vois ça … » doucement je lui volais un baiser avant qu’il se couche de nouveau. « Je m’en voudrais de te faire dormir au boulot ! » je souriais doucement et me penchais pour éteindre la lumière. Les yeux ouverts je passais les bras au dessus des couvertures et soupirais doucement.

Je ne suis pas en sucre, et puis de toutes manières je peux dormir. J’ai du temps demain matin. Et puis de toutes manières j’ai le sommeil tellement lourd que ce n’est même pas sûr qu’il arrive à me réveiller. Ou au contraire j’y retournerais bien rapidement après son départ. Quoi qu’il en soit, ce n’était pas un problème. Je souriais doucement. Il était agréable. Et taquin. C’est vraiment une rencontre inattendue et pourtant dans une optique positive.

Pouah j’aurais bien pu continuer à le câliner ainsi. Mais bon parfois il faut savoir dormir. Je souriais doucement puis me mis à bailler à mon tour. Ouais il faut croire que moi aussi je suis totalement crevée. Nos activités n’ont pas été très reposantes hein. Le repos bien mérité du guerrier est arrivé. J’éteignais la lumière d’une main et m’allongeait de nouveau à côté de lui. J’étais tentée de peut être me tourner vers lui. Mais ce n’était pas une bonne idée. Et puis je n’avais pas l’habitude d’avoir quelqu’un dans mon lit. Du coup je restais allongée sur le dos et commençais à sentir mes paupières lourdes. Le sommeil s’emparait doucement de moi et je me retournais sur le côté pour me rouler en boule. Vieille habitude.

Le matin, prise dans mes rêves, j’entendis au loin une sonnerie. Je bouge doucement dans le lit Mais pas assez encore pour me réveiller. Et je suis sur le ventre. Allez savoir comment je me suis retrouvée ainsi. Je bouge beaucoup. Espérons qu’il n’a pas reçu de coup dans la nuit. Je grognais doucement et bougeais un petit peu. -Honorata, réveilles-toi, je dois y aller, le boulot m'attend. J’entendais sa voix au loin mais les mots faisaient leur chemin dans mon esprit. Doucement j’ouvrais les yeux. « Mhh. Oh pardon » doucement j’ouvre les yeux, un peu difficilement j’avoue. Mais ils se font à la lumière et au réveil. Je me relève difficilement. « Bien dormi ? » demandais-je alors que je m’étirais. Je me levais ensuite et pris une veste en laine posée sur un fauteuil. « Tu as le temps de manger quelque chose où tu dois juste partir ? » demandais-je en allant à côté de lui et déposant un furtif baiser sur ses lèvres. Puis je me dirigeais vers le salon en m’étirant une nouvelle fois. J’étais encore à moitié endormie mais c’était pas si grave.

Bon en le regardant un peu mieux il semblait ne pas avoir de bleu ou de bosses. Peut être alors que je n’avais pas trop bougé. Où en tout cas je suppose que si j’avais trop bougé il me l’aurait dit. A moins qu’il soit poli et qu’il n’en dise rien. Mais bon je le savais bien qu’il était poli. Mais franc également. Enfin bref pas la peine de se prendre la tête. Ce n’est pas non plus come si je battais les gens pendant mon sommeil. Et ma tête est si lourde. Je retrouverai avec plaisir mon lit tout à l’heure quand il sera parti … Respect à lui de se lever et d’aller travailler si … tôt ! Je me levais doucement et certainement très lentement quand on sait que je suis une vraie marmotte. J’ai toujours du mal à me réveiller, mais peu à peu mon corps se remet en marche. Je dois avoir une mine horrible. Mais bon … Je passais une main dans mes cheveux pour les remettre e place. Au moins eux. Et lui demandais s’il avait passé une bonne nuit. -Plutôt oui. je souriais. Ah bah tant mieux alors. Moi aussi. Cela faisait bien trop longtemps que je n’avais plus eu d’homme dans mon lit. Des copines pour une « pyjama party » peut être mais d’homme. Non. J’espérais à présent que je ne l’avais pas collé toute la nuit. Cela serait affreusement gênant. Mais je me gardais bien de le lui demander. Je ravalais cette « peur » et me levais pour lui proposer un petit déjeuner. Enfin s’il avait le temps surtout. -Il est assez tard, je dois y aller. Il aurait fallu que je te réveille plus tôt... Mais hey, on se reprendra une prochaine fois. je soupirais « Oh je vois ! » je hochais positivement de la tête. « Oui on s’arrangera mieux la prochaine fois ! » je lui fis un clin d’œil et me dirigeais vers l’entrée de l’appartement en m’étirant. J’avais encore le corps tout endormi mais je pouvais bien au moins le raccompagner jusqu’à la porte. Pas jusqu’en bas de l’immeuble je suis quand même nue sous le Tshirt mais quelques pas ne vont pas me tuer. Il me rejoignait rapidement. -Au revoir Honorata et on garde contact. je me retournais vers lui et souris de toutes mes dents. « Au revoir Jason » je déposais un baiser sur ses lèvres puis ouvris la porte. « Tu sais ou j’habite. Et j’ai ton numéro » maintenant que j’y pensais je n’étais plus sûre qu’il avait le mien. Il s’était passé tellement de chose. Mais il était débrouillard avec mon nom et mon adresse ce n’était pas difficile à trouver. Et puis dans mon dossier au garage ça devait être inscrit aussi. J’ouvrais la porte le laissant sortir puis dit finalement « Courage pour ta journée. Et à très bientôt ! » je souriais de nouveau et le regardais s’éloigner. Ascenseur ou à pieds. Une fois que je ne le voyais plus je fermais la porte et soupirais. J’étais heureuse. Un large, très large, sourire aux lèvres je me traînais de nouveau jusqu’au lit ou je m’effondrais lourdement. Morphée ne tarda pas à me trouver de nouveau.

FIN je suppose tu peux poster une dernière fois si tu le souhaites mais je pense avoir fini pour ma part